« Qui est Maxime Vivas, ce Français qui dénonce des « fake news » sur les Ouïghours et fait le bonheur de Pékin ? » s’interroge Laurence Defranoux en titre d’un long article dans Libération du 30 mars 2021 (1).
En réponse dans son récent livre, (Ouïghours, l’horreur était dans nos médias, Editions Delga, mars 2024), l’interpellé soutient que Libération fait le bonheur de Washington en diffusant des “fake news”, bonheur redoublé quand sa journaliste choisit Raphaël Glucksman comme préfacier pour son propre livre (2).
Nous, jeunes Insoumis de pacotille, promus par les médias pour tirer dans les buts de LFI déclarons que :
L’œuvre de Serge Pey, poète prolixe international*, a été couronnée par le Grand Prix national de Poésie (SGDL) et le Prix Guillaume-Apollinaire (équivalent du prix Goncourt pour la poésie).
Il répond par ce poème au déchaînement des médias contre Maxime Vivas, coupable d’avoir écrit : « Ouïghours, pour en finir avec les fake news ».
Clémentine Autain : 22 avril. « Mettre le mot sur l’horreur, c’est se donner des moyens de la combattre. A l’internement de masse des Ouïghours, aux stérilisations forcées, à leur mise en esclavage… nous devons opposer une voix ferme et haute de ses valeurs. » (sic).
Le 6 octobre 2020, Samuel Paty, professeur d’Histoire au collège du Bois-d’Aulne à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) donne un cours d’enseignement moral et civique sur le thème de la liberté d’expression. Il y montre une caricature du « prophète ».
Un samedi ordinaire. Ça canarde, ça court, ça matraque sur la grande avenue. Je tousse, je pleure, j’en ai marre. Je m’engage dans une rue adjacente et j’avise un café. La terrasse ne sent pas trop la lacrymo. Un peu quand même, mais bon, le samedi, en ville, hein ?
1) Celui qui ne vote pas perd le droit de parler ensuite.
2 Celui qui a voté pour un candidat qui a été battu doit respecter « le verdict des urnes » et attendre le prochain scrutin.
3) Celui qui a voté pour le candidat élu n’a pas le droit de le critiquer après (« Il ne fallait pas voter pour lui »).
Titre d’Europe 1, le 10 août 2018. « Venezuela : le député arrêté reconnaît son implication dans l’"attentat" ».
Ce titre va rendre fou le DECODEX du Monde. Un coupable avoue sa participation à une action qui, pour Europe 1 et la plupart des médias français, n’a peut-être pas eu lieu.