Les indécrottables gogos du « vote utile » sont servis. Valls va les tondre à souhait comme nous tous le serons ! Et il est à craindre que ce ne soit pas suffisant pour les faire cesser de faire les moutons. Si vous avez le moindre doute, lisez ce qui suit et pour saurez pourquoi il faut vraiment laisser vos bâtons à la maison avant de monter marcher samedi 12, tellement ça pourrait vous démanger de vous en servir !
Le Grand Soir a publié récemment un article signé Mauris Dwaabala, qui a rencontré ici comme ailleurs de vives critiques de la part de ceux qui veulent suivre aveuglément, souvent sur la base d'informations partiales ou erronées concernant l'autre point de vue, les justifications du Parti communiste français sur la ligne adoptée pour les élections municipales.
Comme ce que dit J-L Mélenchon rejoint sur plusieurs points ce que je pensais en toute indépendance, surtout pour ce qui concerne les grandes villes, je propose ici les passages relatifs à ces élections.
Ils méritent d'être médités pour ce qui concerne quelques villes phares.
M. Dwaabala
L’ancien candidat du Front de Gauche français analyse la crise européenne et fait l’éloge des modèles latino-américains.
Dans ses pages « Débats », Le Monde daté du 5 octobre dernier, a publié une tribune intitulée « Hugo Chavez, un homme diffamé ». Il s’agit en fait d’une version tronquée. Nous publions ci-dessous la version intégrale du texte signé par Jean-Luc Mélenchon et Ignacio Ramonet, en signalant en rouge les parties manquantes.
Sur son site web, en revanche, Le Monde en a publié la version intégrale, amputée toutefois des notes de pied de page. Elles sont ici rétablies.
L’article que vous allez lire traite de l’affaire Assange, de l’Equateur, de nos médias.
C’est un extrait (la deuxième partie) d’un long article (« Le MEDEF ne sent plus d’arrogance ! ») écrit sur son blog par Jean-Luc Mélenchon.
Si nous le publions ici, ce n’est pas parce qu’il cite aimablement LGS quand d’autres le dénigrent, ni parce que nous sommes d’accord sur tout. C’est parce que nous avons dans cet article la démonstration de ce qu’un homme politique peut savoir, s’il le veut, sur l’Amérique latine, sur l’état de la liberté d’expression là -bas et chez nous et parce que l’auteur donne à nos idéologues cachés derrière leur carte de presse, à nos journaleux qui trébuchent sous leur burka mentale, une leçon de professionnalisme journalistique.
Et puis, voyez la cohérence : Charlie Hebdo attaque le Grand Soir. La presse privée (de scrupule) équatorienne attaque Rafael Correa. LGS fait connaître la vérité sur Rafael Correa et sur Julian Assange. Charlie Hebdo attaque Correa et Assange et s’appuie sur Reporters sans frontières. Jean-Luc Mélenchon défend LGS, Correa, Assange et dénonce RSF. Notre presse privée (de scrupule) attaque Jean-Luc Mélenchon, LGS, Correa, Assange et promeut RSF.
Le Grand Soir.
(Le titre et le sur-titre sont du GS).
Le coup de massue des résultats électoraux à 20 heures, dimanche 22 avril, pour ceux qui espéraient voir émerger une puissante gauche de gauche ayant défait le FN !
Les commentateurs, politilogues, sondagistes, occupèrent les écrans pour disserter sur la surprise : le score de Marine Le Pen, à "près de 20 %" Et donc la semi-défaite du Front de gauche.
LGS vous propose ici, et offre à discussion, une étude détaillée et contextualisée des résultats du vote. Elle est de la plume de Jean-Luc Mélenchon sur son blog, mais on imagine que c’est toute son équipe qui est allé ainsi scruter les chiffres, les posant sur des terrains significatifs, établissant des comparaisons probantes, faisant le travail que ne feront pas les médias et révélant d’autres "surprises" de taille, qu’il vaut mieux connaitre si l’on veut comprendre ce qui va se passer dans ce pays.
Demain ?
LGS
Jean-Luc Mélenchon a non seulement été un leader étudiant, un dirigeant syndical, un journaliste et un professeur de français, il a aussi fait partie de la direction nationale du Parti socialiste (PS) dont il a démissionné pour créer le Parti de gauche (PG) en novembre 2009. L’ex-sénateur Mélenchon est aujourd’hui député européen. C’est l’un des rares hommes politiques européens au fait des processus politiques et sociaux en cours aujourd’hui en Amérique du Sud. Il répond ici aux questions de Hernando Calvo Ospina