N’en déplaise à certains « défenseurs » des Droits de l’Homme, animés par une indignation à géométrie variable, l’assimilation entre la cause palestinienne et la cause tibétaine relève de l’escroquerie intellectuelle.
Après le scandale de Sogyal Rinpoché (voir www.tibetdoc.org → Religion → Bouddhisme dans le monde) que le dalaï-lama a bien dû se résigner à désavouer (voir www.tibetdoc.org → Politique → Exil et dalaï-lama), voilà un autre moine bouddhiste de premier plan devant faire face à de graves accusations, comme le révèle The Guardian du 29 novembre 2017, mettant à jour un article du 27 octobre, signé Katherine Ellison à San Francisco et Rory Carroll à Los Angeles, et complété par Julia Carrie Wong.
Sous le titre "Le monde devrait s’inquiéter des atteintes à l’environnement au Tibet", on a pu lire sur le site de Libé du 29/11/2017 une interview par Laurence Defranoux de Dolma Tsering, députée du « Parlement tibétain en exil ». C’est le droit, bien sûr, d’un organe de presse d’interviewer n’importe qui ; mais ne serait-ce pas aussi son devoir de faire preuve d’un minimum d’esprit critique ?
Édité en 2017 par le Mercure de France, vient d’être mis sur le marché un livre de petit format (10 cm X 16 cm), de moins de 100 pages, intitulé "Le goût du Tibet", sous-titré "Les grands écrivains racontent le Pays des Neiges". Il est vendu au prix de 3,90 € comme supplément au N° 464 de la revue GEO d’octobre 2017.
Faisant écho à la dépêche de Dharamsala du 1er septembre 2017, le site France-Tibet du 15 septembre 2017 nous apprend que « l’équipe nationale des exilés tibétains » va jouer dans la Coupe du Monde de Football 2018 organisée par la ConIFA (Confédération des associations de football indépendantes).