Aujourd’hui, mardi 19 mars 2013, un grand moment de renommée internationale vient de se dérouler en Libye. Nicolas SARKOZY vient d’être accueilli en « libérateur » pour avoir libéré le peuple de la dictature insupportable de cet ignoble KADHAFI !
Le secrétaire à la Défense étatsunien Leon Panetta, les traits de plus en plus ravinés, sans doute par l’exercice du pouvoir et la bénédiction papale malgré tout accordée, a été entendu par le Congrès le 7 février, sans doute pour la dernière fois ès qualité. Et sans doute (bis) est-ce la raison pour laquelle il s’est un peu laissé aller à ce dangereux penchant de ne pas dissimuler la vérité, ou, dans tous les cas, la réalité des faits. Le sujet de cette audition était l’attaque de l’ambassade des États-Unis à Benghazi, le 11 septembre 2012, ayant abouti à l’assassinat de l’ambassadeur Stevens.
Les terroristes face à leurs rejetons
Reprenons depuis le début :
Afghanistan, 1979. L’URSS envahit le pays, les Américains, décidés à abbattre les Soviétiques, créent les Talibans et, dans la foulée, Al Qaïda. Ils sont alors des « résistants » contre l’envahisseur. Les Américains leur avaient même fourni les fameux Stingers qu’ils, soit dit en passant et expérience faite, leur refusent en Syrie.