L'attitude de la France envers la guerre sino-japonaise qui débuta en 1937 a donné lieu à divers jugements. Officiellement neutre, la France est souvent présentée comme ayant été, au moins moralement, favorable à la Chine. Si certains témoins des événements ont écrit que la France était allée jusqu'à aider la Chine, des travaux plus récents ont néanmoins évoqué le fait que le gouvernement français avait officiellement interdit le transit de matériel de guerre en route vers la Chine par la frontière indochinoise. L'étude de ce problème, c’est-à-dire de la question du transit du matériel de guerre, permet de déterminer qu’elle a été concrètement l’attitude du gouvernement français devant l’agression japonaise de la Chine, agression qui menaçait à terme l’Indochine française. Cette question est devenue de plus en plus importante à mesure que le blocus japonais de la Chine progressait et conditionnait la capacité du gouvernement de Jiang Jieshi (Tchang Kaï-chek) à poursuivre ou non le combat.
L'attitude de la France envers la guerre sino-japonaise qui débuta en 1937 a donné lieu à divers jugements. Officiellement neutre, la France est souvent présentée comme ayant été, au moins moralement, favorable à la Chine. Si certains témoins des événements ont écrit que la France était allée jusqu'à aider la Chine, des travaux plus récents ont néanmoins évoqué le fait que le gouvernement français avait officiellement interdit le transit de matériel de guerre en route vers la Chine par la frontière indochinoise. L'étude de ce problème, c’est-à-dire de la question du transit du matériel de guerre, permet de déterminer qu’elle a été concrètement l’attitude du gouvernement français devant l’agression japonaise de la Chine, agression qui menaçait à terme l’Indochine française. Cette question est devenue de plus en plus importante à mesure que le blocus japonais de la Chine progressait et conditionnait la capacité du gouvernement de Jiang Jieshi (Tchang Kaï-chek) à poursuivre ou non le combat.
Comme chaque année le 8 mai est l’occasion, en France, en Europe, et dans le monde, de fêter la victoire sur l’Axe lors de la Seconde Guerre mondiale et de commémorer les morts de ce conflit. Si aujourd’hui les phases successives de la guerre sont assez connues, et leurs horreurs largement prouvées et démontrées, d’autres aspects de cette sombre période demeurent méconnus. C’est le cas des camps de « relocalisations » étasuniens, qui servirent à enfermer plus de 120 000 personnes, ressortissants Japonais et Étasuniens d’origine japonaises de 1942 à 1945.
Six ans après la catastrophe nucléaire de Fukushima-Daiichi, les réfugiés de la radioactivité se voient contraints de rentrer dans leurs villages contaminés. Une aberration dénoncée par le chercheur indépendant japonais Shinzô Kimura.
Avec Trump, Tokyo risque de perdre sa position de samouraï embauché par les Américains mais il s'oppose toujours à Pékin et à Moscou. Cela ressemble à « un film kitch sur les arts martiaux », estime Andre Vitchek, journaliste américain.