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Obama, le "preacher" fabriqué à la machine

Prix Nobel de la paix, et vampire goinfre de tout ce qui peut se prendre sur cette Terre. L’humaniste caissier veut remplir les goussets des banques américaines.
Le sait-il ? Et quel réel pouvoir a-t-il ?

 

Ce carnassier, Pinocchio, à cordes de banques, dans son église ornée d’armes ne fait que suivre la piste de l’agenda étasunien : la grande Afrique. Toujours dans l’oeil de l’Aigle magique. Disséquer les peuples... Par les cisailles fomentées de la C.I.A.

Le monde est une tribu à conquérir, à transformer. Les gloutons ventrus bavent d’avoirs. Monsieur Obama n’est qu’un preacher de seconde main... Il passera à l’Histoire comme le "suivant" de l’arriéré mental Bush Fils. Bon gars, videur de bars.

C’est maintenant l’ère de l’humain-marchandise, le besogneux mouton asservi. Le "croyant" globuleux, sans lunettes que celles des informations étriqués des journaux. Il est en solde à tous les jours. Au prix le plus bas. Modèles Wal-Mart. Tous étranglés par la machinerie simiesque et lourde du rouleau compresseur. De la viande pour les polichinelles estampés du sceau des États.

On tricote des guerres comme des bas. Ford a inventé la chaîne de montage. Les étasuniens ont passé les guerres à la machine à tricoter.

Mais au-delà de toutes ces manoeuvres périlleuses, polies, jointes aux du religieux parfum du "bien", il y a l’humain, au bout de la chaîne. Il y a l’humain qu’on ne voit pas. Car à travers la machine à pondre de l’argent, le citoyen - dans sa vie de tous les jours -est devenu le petit pendu qui doit survivre. Il est sacrifié, médaillé, vanté, soumis aux marchés. C’est un descendant de Darwin en bourse.

L’Histoire, sans cesse trafiquée est un outil de fausse connaissance. On rendra le soudeur responsable de la fabrication des armes. C’est du Nationalsozialismus version "moderne".

La "démocratie" fabrique ses prêtres mollusques. Ces têtards succombent tous aux "grandes causes". Et la machine en mouvement, incontrôlable, avale désormais les "grands" autant que les petits.

Nous élisons les "grands" pour nous grandir, nous améliorer, changer ce monde. Mais au fond, ne sommes nous pas que l’artisan d’une dent d’engrenage ?

Dieu est maintenant une "idée". Et les prêtres des vendeurs ignares.

Hosties nous sommes !

Gloup !

Viva la mondialisation !

P.S. : Le tapis à l’entrée de la maison est fabriqué à la ma-Chine. Dire que ma mère passait des heures pour les fabriquer à la main, dessinant son plan, et tout cela avec de vieilles étoffes tranchées en lamelles, récupérées. Je suis archaïque et dépassé ? Ah ! la mauvaise nouvelle est que vous êtes maintenant la machine et que l’artisan tricote des usines, des billets, des guerres. On dit que c’est le progrès... Dans l’autobus de la pauvreté et de la misère, il y a tellement de monde qu’on nous dit maintenant d’avancer en arrière. On ne sait pas que la porte arrière est ouverte...

On nomme cela un flux...

Gaëtan Pelletier

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« Cremada » de Maïté Pinero
Bernard Revel
Prix Odette Coste des Vendanges littéraires 2017 Maïté Pinero est née à Ille-sur-Têt. Journaliste, elle a été correspondante de presse en Amérique Latine dans les années quatre-vingts. Elle a couvert la révolution sandiniste au Nicaragua, les guérillas au Salvador et en Colombie, la chute des dictatures chiliennes et haïtiennes. Elle a écrit plusieurs romans et recueils de nouvelles dont « Le trouble des eaux » (Julliard, 1995). Les huit nouvelles de « Cremada », rééditées par Philippe (…)
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Croire que la révolution sociale soit concevable... sans explosions révolutionnaires d’une partie de la petite bourgeoisie avec tous ses préjugés, sans mouvement des masses prolétariennes et semi-prolétariennes politiquement inconscientes contre le joug seigneurial, clérical, monarchique, national, etc., c’est répudier la révolution sociale. C’est s’imaginer qu’une armée prendra position en un lieu donné et dira "Nous sommes pour le socialisme", et qu’une autre, en un autre lieu, dira "Nous sommes pour l’impérialisme", et que ce sera alors la révolution sociale !

Quiconque attend une révolution sociale “pure” ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution.

Lénine
dans "Bilan d’une discussion sur le droit des nations", 1916,
Oeuvres tome 22

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