Et puis Madonna (et Cee-Lo) a disparu au milieu d’une mer de lumières dorées illuminant le message "PAIX DANS LE MONDE
C’est bien l’image des États-Unis : un empire romain.
Du clinquant, du faux, de la richesse et des plumes de paon en or.
On se pavane. Reste qu’à l’autre bout du monde, là où la superpuissance puise son or noir et qu’elle ronge la Terre comme un rat d’égout, cette monstruosité dont le règne aura duré cent ans aura fait autant de grabuge qu’un bulldozer aux tentacules d’acier. Une armada de rats d’acier, qui boivent du vitriol pour se doper.
Vive la liberté ! Du moins la leur, et leur apparente. En dessous de cette couche de vernis se cache une fosse ombrée.
C’était un beau show !
En Afghanistan, des soldats, filmés en train de regarder la partie, se tenaient, droits, cloués à la « grandeur » de leur pays.
Patriot Act. Patriotes partout…
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L’Empire romain, pour garder son vernis, devint une dictature.
Il est difficile de voir l’Amérique (USA) dans sa beauté et sa splendeur quand on connaît un peu l’histoire de ce pays.
Géronimo et Ben Laden.
Des méchants partout. Et sa CIA, la plus grande usine au monde dans la fabrication de terroristes.
Le passé collé au présent
On est entré dans l’Ouest en saccageant toute forme de culture, détruisant les peuples et s’accaparant des terres. Puis on est allé chercher des esclaves. On a créé des crises économiques, etc.
On a bousculé l’Amérique du Sud, grugé les pays par des infiltrations, planté des « zélus » aux quatre coins du monde. En ce moment, on infiltre les pays aux prises avec des dictateurs.
Le meilleur vendeur d’armes au monde. Les meilleures banques au monde. Tout le « monde » appartient aux États-Unis d’Amérique. Et la lune…
World Peace ?
Dans quelques années, ils vont descendre en Afrique…
Un descendant d’esclaves aura fini le travail des blancs hautains. Ou un puritain javellisé. Plus blanc que blanc.
Rappel historique
En 39, Hitler a envahi l’Europe, au nom de la race aryenne, épurant tout pour un règne de 1000 ans. On forma une coalition, Les Alliés, pour lutter contre ce mal, sorte de Satan à moustache.
C’était la guerre éclair. Créée par notre peintre raté. Un aquarelliste bon pour le métro de Montréal.
Les États-Unis, eux, on inventé la guerre visqueuse, la serpentine attaque sinueuse, ondulante, flexible, reptilienne, et j’en passe.
L’Amérique consomme 80% des richesses du globe.
Elle est sans doute responsable de 80% des problèmes géopolitiques de la petite planète.
C’est la guerre à la torche électrique.
La question est la suivante : faut-il créer une alliance pour ce nazisme travesti ?
Hitler avait charmé son peuple qui l’idolâtrait. Il s’en est servi pour l’armer à des fins personnelles et prétendument historiques.
Le nazisme avait ses grands spectacles, ses grands rassemblements, ses petits drapeaux agités.
Il a nourri son peuple aux grains de la réussite, de la fierté, de l’orgueil et du « sentiment national ».
Le nazisme était en noir et blanc.
On est passé à la couleur…
Leur grandeur a fini par faire et refaire notre petitesse.
Mais l’Amérique est vierge…
P.S. : Vite, un psychanalyste des foules
Gaëtan Pelletier, La Vidure