Washington et ses alliés de Londres jouent selon leurs propres règles.
L' état nation du peuple juif vient d' assassiner plus de 60 000 civils Palestiniens .La propagande française s’en fiche mais se fait la courroie de transmission de l’assassinat, qualifié là de scandaleux, d’une dizaine d’enfants syriens par, dit-on, Hezbollah, qui vivaient sous occupation juive, tués par un missile encore inconnu, enfants qu’elle requalifie d’israéliens.
Quel âge d'or ! En Ukraine, les armes occidentales n'apportent pas la victoire. Le Moyen-Orient est en feu, avec la Chine, c'est un défi ouvert. Et rien ne changera de sitôt.
L'ancien président a déclaré que les États-Unis pourraient renoncer à défendre Taïwan contre une invasion chinoise. Derrière cette option, médiatisée par le retrait de Joe Biden, il y aurait un accord tacite avec Pékin pour maintenir le dollar comme monnaie dominante, affaiblissant les “ big tech ” et les grandes fortunes et favorisant ainsi les “ alliés ” de l'ancien président, Elon Musk en tête.
[TIM est l'opérateur historique de réseaux de télécommunications en Italie. Comme France Télécom, il a été privatisé dans les années 1990 et est aujourd'hui une société cotée en bourse dans laquelle l'État italien détient une participation. Cassa depositi e prestiti est le correspondant italien de la Caisse des dépôts et consignations.] L'acquisition du réseau de télécommunications italien de TIM par le fonds étasunien KKR et le fait de confier les activités d'intelligence économique de la Cassa Depositi e Prestiti à Globintech, une société de cybersécurité dirigée par d'anciens cadres de la CIA, soulèvent des questions préoccupantes quant à la souveraineté technologique et à la sécurité nationale de l'Italie. Ces deux événements mettent en lumière une tendance inquiétante : l'influence croissante d'entités étrangères, liées aux services de renseignement et militaires étasuniens, sur les secteurs stratégiques italiens.
<< C' est moi le plus sioniste et génocidaire .>> << Faux . C'est moi >>
Le 12 juin, la Chambre des représentants des États-Unis a voté un projet de loi appelé « Resolve Tibet Act ». Une délégation étasunienne, dirigée par Nancy Pelosi et le président de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis, le Républicain Michael McCaul, s’est ensuite rendue en Inde pour remettre une copie du texte au dalaï-lama. Après Hong Kong, le Xinjiang, Taïwan et la Mer de Chine du Sud, les États-Unis viennent donc de ressortir la « question du Tibet » de leur boîte à outils de propagande contre la Chine, et ils vont plus loin que jamais dans la provocation.