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Les organismes latino-américains et caribéens ont des choses à enseigner au Conseil de Sécurité de l’ONU (MPPRE)

Caracas, 06 août 2013 (MPPRE).- « Le Conseil de Sécurité a beaucoup de choses à apprendre de l’expérience de l’Union des Nations Sud-Américaines, l’Unasur ; du Marché Commun du Sud, le Mercosur ; et de la Communauté Latino-Américaine et Caribéenne, Celac ainsi que de l’Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique, l’Alba ».

C’est ce qu’a déclaré le Ministre des Affaires Étrangères vénézuélien, Elías Jaua Milano, dans une interview à Telesur, depuis la ville de New York, après son intervention lors de la Session du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies, durant laquelle un débat a été mené au sujet de la coopération régionale pour le maintien de la paix et la sécurité.

Il a signalé que « les organismes sous-régionaux d’Amérique Latine et de la Caraïbe ont prouvé une majeure efficacité dans la résolution des conflits de façon opportune et sans bureaucratisme ».

Elías Jaua a réaffirmé qu’il n’est pas nécessaire de bombarder, d’armer des groupes, d’intervenir militairement, de bloquer économiquement un pays quand il est possible de construire d’autres mécanismes pour la solution de controverses.

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Source : Ministère des Affaires Étrangères du Venezuela

Traduction : Luis Alberto Reygada pour Le Grand Soir

»» http://www.mppre.gob.ve/index.php?o...
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Cuba. Ce que les médias ne vous diront jamais (prologue de Nelson Mandela)
Salim LAMRANI
En Occident - en Europe et aux Etats-Unis tout particulièrement -, Cuba suscite énormément de critiques et de controverses. Ce petit pays de onze millions d’habitants dispose d’une couverture médiatique disproportionnée par rapport à sa taille et les médias sont unanimes pour stigmatiser la plus grande île des Caraïbes et diaboliser son leader historique Fidel Castro. Les attaques sont virulentes, jamais nuancées et à sens unique. Cuba serait un enfer pour ses habitants avec un système (…)
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Rien ne fait plus de mal aux travailleurs que la collaboration de classes. Elle les désarme dans la défense de leurs intérêts et provoque la division. La lutte de classes, au contraire, est la base de l’unité, son motif le plus puissant. C’est pour la mener avec succès en rassemblant l’ensemble des travailleurs que fut fondée la CGT. Or la lutte de classes n’est pas une invention, c’est un fait. Il ne suffit pas de la nier pour qu’elle cesse :
renoncer à la mener équivaut pour la classe ouvrière à se livrer pieds et poings liés à l’exploitation et à l’écrasement.

H. Krazucki
ancien secrétaire général de la CGT

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