Depuis des années, les citoyens et contribuables français laissent se dérouler des échanges d’expérience de leurs gendarmes avec les organes de répression de l’état d’apartheid, occupant de la Palestine.
Ce type de relations sécuritaires n’est pas plus conforme à nos valeurs républicaines que la fréquentation de nazis ukrainiens, mais cela semble précieux pour les gouvernements successifs à Paris, qui ont un faible pour le sionisme et le contrôle violent de la plèbe.
On n’a pas fini de voir nos flics se suicider.