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L’Amérique latine et les pays du BRICS opposés au Qatar à l’ONU

Les ambassadeurs du groupe des pays de l’Amérique latine à l’ONU ont adressé une lettre au délégué permanent du Qatar aux Nations Unies Mechaal Hamad Al Thani, dans laquelle ils rejettent le texte du projet de résolution déposé à l’Assemblée générale sur la situation en Syrie.

Selon le site de la chaine de télévision alMayadeen, « les représentants de l’Argentine, du Pérou, du Brésil, de Chili, de l’Uruguay, et du Mexique ont exigé la modification de paragraphes essentiels et la condamnation des exactions de l’opposition armée tout comme la condamnation des attaques des forces gouvernementales ».

Ceux-ci ont par ailleurs demandé d’ajouter des paragraphes qui appellent « à mettre fin à la militarisation accrue du conflit en Syrie », et de modifier des paragraphes liés au processus de transition politique de sorte qu’ils deviennent conformes au texte de l’accord de Genève conclu le 30 juin dernier.

Les ambassadeurs des pays de l’Amérique Latine ont par ailleurs appelé à « annuler tous les paragraphes qui reconnaissent l’opposition comme étant le représentant légitime du peuple syrien, « parce que de nombreuses délégations ne sont pas en mesure d’approuver un tel langage ».

De leur côté, les délégations des pays du BRICS (qui regroupent l’Inde, l’Afrique du Sud, la Chine, la Russie et le Brésil) ont adressé une lettre similaire au délégué qatari. (Agences)

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La Chine sans œillères
Journaliste, écrivain, professeur d’université, médecin, essayiste, économiste, énarque, chercheur en philosophie, membre du CNRS, ancien ambassadeur, collaborateur de l’ONU, ex-responsable du département international de la CGT, ancien référent littéraire d’ATTAC, directeur adjoint d’un Institut de recherche sur le développement mondial, attaché à un ministère des Affaires étrangères, animateur d’une émission de radio, animateur d’une chaîne de télévision, ils sont dix-sept intellectuels, (…)
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Quand je suis arrivé au pouvoir, les multinationales recevaient 82% des revenus de nos matières premières et nous 18%. Aujourd’hui c’est l’inverse ! J’ai fait ce qu’il y avait à faire pour mon peuple. J’attends maintenant qu’on m’assassine comme ils ont fait avec Chavez.

Evo Morales, Président de la Bolivie

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