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Il nous emmerdera jusqu’au bout…

De toutes les promesses contradictoires et incohérentes que le petit marquis cocaïné et sadique virtuose du en même temps, nous a faites pendant 5 ans, il n’en a tenu qu’une seule, celle de nous faire boire le calice jusqu’à la lie...

Hier encore, lui et ses sbires des médias, de la police et de la justice s’en sont donné à cœur joie ! Comment ? Le petit peuple des territoires osait relever le tête après avoir été terrifié, emprisonné, verbalisé, censuré, culpabilisé, distancié, piqué et repiqué, interdit de tout et son contraire pendant la soi-disant pandémie ? Comment ? Il osait reprendre vie, reprendre espoir, reprendre la route et venir faire la fête dans SA capitale ? Mais c’est inouï, incroyable, insupportable ! Un crime de lèse-majesté !

Le parti de l’ordre des nantis confits d’auto-satisfaction imbécile s’est, derechef, mis sur le pied de guerre pour interdire l’entrée de SA capitale à la populace qui montait gaiement des territoires.

La province, les régions, les territoires

Quand j’étais jeune on parlait de la province, puis on a parlé des régions et maintenant on parle des territoires. Toutes ces appellations sont évidemment imposées par la France qui commande à la France qui obéit et elles ne sont pas anodines.

Notez la dérive en termes de lien. Le mot « province » vient du latin provincia et signifie « pour lier » (pro : pour et vincire : lier). Les provinces étaient des parties reliées entr’elles d’un tout, la nation. Le mot région, qui vient du latin regere, diriger, n’implique pas de réciprocité. Il installe un rapport de gestion administrative du haut vers le bas. Avec le mot territoire, il n’y a plus aucun lien institué en droit, pas même de subordination. Un territoire est soumis à la loi du plus fort, comme on le voit en Israël où le mot « territoire » fait référence aux territoires palestiniens occupés par une armée coloniale dont le but est de se débarrasser de la « vermine » autochtone.

La vermine du convoi « dit » de la liberté

Le mot vermine a été utilisé et revendiqué hier sur un plateau de la TV parisienne par un syndicaliste policier particulièrement remonté contre le convoi de la liberté, pardon le convoi « dit » de la liberté. Un élément de langage repris en chœur par les perroquets des plateaux de TV parisiens et épinglé par Maffesoli : « C’est étrange, cette expression... Pourquoi « dit » de la liberté ? Non, c’est le convoi de la liberté... »

Mais on a compris qu’il s’agit ici d’établir une distanciation sociale entre les personnes garantes de l’ordre républicain, et la pègre, la vermine, sale et désordonnée par nature, dont l’existence même est un facteur de désordre, surtout quand elle ne se contente plus d’obéir aux ordres désordonnés du tyran.

Les check-points et les frontières

De désordre, il n’y en avait pas, absolument pas ! Partout Les convois étaient ordonnés, joyeux et bon enfant. Ils étaient accueillis avec enthousiasme et solidarité là où ils passaient, même par les gendarmes qui les escortaient occasionnellement.

Sauf à Paris où Macron et le parti de l’ordre des nantis se sont évertués à créer le désordre pour pouvoir en accuser le convoi « dit » de la liberté. Ils ont bloqué la capitale pour empêcher le Convoi de la liberté de la bloquer, ce qu’il n’avait absolument pas l’intention de faire puisque Paris était une étape vers Bruxelles. Malgré les rodomontades de la classe « dite » dirigeante, les Français ont compris qu’elle ne dirige plus rien, raison pour laquelle, sans doute, sa seule occupation est de nous diviser pour régner.

Pour défendre SA ville contre les hordes de barbares venus des territoires, le parti de l’ordre des nantis a mis en place des points de contrôle sur toutes les routes d’accès à la capitale, comme dans les territoires palestiniens, où les malheureux autochtones ne peuvent pas faire 10 km sans se heurter à un point de contrôle et des soldats israéliens armés jusqu’aux dents, qui ont pouvoir de vie et de mort sur eux et qui les font, au mieux, poireauter des heures en plein soleil pendant que leurs légumes et leurs fleurs se fanent dans les camions, juste pour les « emmerder ».

L’élite stato-financière mondialisée a supprimé toutes les frontières en nous faisant croire que c’était ça le progrès et la liberté. L’argent, les biens et bien entendu, les riches, circulent librement sur la terre entière. Mais vous remarquerez que, en même temps, comme dit notre maître vénéré, les riches érigent de plus en plus de frontières autour d’eux. Ils vivent dans des quartiers et des résidences protégées, entourées de murs, à l’écart de la vermine (et soit dit en passant des migrants). Ils circulent entourés de policiers et de gardes du corps. Ils ont leurs restaurants, leurs clubs, leurs lieux de villégiature, leurs avions. Certains disent qu’ils ont fait sécession.

La frontière n’a donc pas disparu, elle a seulement changé de place. Au lieu de protéger les pays, elle protège les possédants contre ceux qui n’ont rien, ceux à qui ils ont tout pris.

Hier le parti des possédants a construit une nouvelle frontière, un mur de tanks, de canons à eau, de gaz, et de milliers de policiers pour protéger SA ville et SON président, qui ne voulait pas avoir à s’enfuir lamentablement comme Justin Trudeau, ni comme il a failli le faire au début du mouvement les Gilets jaunes, et perdre ainsi l’appui des milliardaires et des médias qui assurent sa réélection. Et tant pis pour ces commerçants, ces restaurateurs et ces touristes sur lesquels le parti de l’ordre pleure des larmes de crocodile à chaque mouvement social !

Après s’être offert l’Etat, la justice, les médias, les politiciens et les élections, les riches viennent de s’offrir Paris, désormais interdite à la vermine populaire.

Les plateaux de TV parisiens (saut RT France et Sud radio) sont bien entendu aussi interdits aux participants du Convoi de la Liberté. Les médias officiels se sont rendu compte qu’ils avaient commis une erreur en invitant des Gilets jaunes, au début du mouvement. Un jour, nous avons vu apparaître à la TV de vraies personnes qui avaient de vrais problèmes, pour qui les mots avaient un sens et ne servaient pas uniquement à occuper le terrain en parlant pour ne rien dire. Un vrai miracle ! Même si les chaînes choisissaient souvent d’interviewer le GJ le plus idiot ou le plus bizarre du groupe afin de discréditer le mouvement, ils n’ont pas pu étouffer la vie, l’enthousiasme, l’authenticité, l’intelligence, la lucidité, le courage de ces Gilets jaunes. D’un seul coup d’un seul un vent de fraîcheur, de vérité et de liberté a soufflé sur les plateaux, éclipsant les élites zombies à la langue de bois qui ventousent les plateaux. Et alors, catastrophe, les Gilets jaunes sont devenus populaires !!!

Cela a servi de leçon à la classe possédante. Ses petits soldats médiatiques ont reçu l’ordre d’invisibiliser la rue. Depuis, ils ignorent les manifestations des Gilets jaunes du samedi. Ils ignorent les participants au Convoi de la liberté. Ils ignorent et censurent avec l’aide des GAFAM tous les protestataires et tous les dissidents. Cultiver l’entre-soi, tout en parlant de pluralité, c’est bien plus sympa !

Le Convoi de la liberté

Hier donc, les habituels squatteurs des plateaux de la TV dite nationale (experts-système et journalistes-système) commentaient les sondages, pardon les rolling comme ils disent maintenant – l’anglais c’est plus chic – tout en se félicitant du nombre d’unités de police, de charges policières avec ou sans gaz lacrymogènes, de verbalisations, d’interpellations, avec cerise sur le gâteau celle de Jérôme Rodrigues (lui crever un œil ne leur a pas suffi), de voitures bloquées, arrêtées, emmenées à la fourrière, etc. Ah quelle est belle notre police ! Quel bonheur de la voir protéger aussi efficacement les riches et les nantis, et notre avenue-la-plus-belle-du-monde, des factieux du Convoi de la liberté !

On aurait dit, quand ils en parlaient, qu’ils se penchaient sur une autre espèce, une espèce invasive venue d’une autre planète, une espèce qui se répand et qui menace leur tranquillité, leur bonne conscience et leurs privilèges. Mais qui sont ces gens ? D’où sortent-ils ? Que peuvent-ils bien vouloir ? Evidemment il n’est pas question de le leur demander, ce serait trop dangereux pour les adeptes du risque zéro. Qui sait quelles maladies ils pourraient amener sur les plateaux où il n’y a que des vaccinés triple dose, quand même malades, mais pas gravement. Non, il n’est pas question de les écouter, encore moins de leur donner satisfaction, l’argent ne ruisselle que dans un seul sens...

De toute façon, ils seront bien obligés de retourner à la niche, pardon dans les territoires, ce soir ou demain au pire et, avec un peu de chance et pas mal de répression, on n’entendra plus parler d’eux pendant un moment. Rendons grâce à notre admirable police et venons-en aux choses sérieuses !

L’Ukraine

Le Covid c’est fini, il ne fait plus recette, mais nos médias ont toujours dans leur besace, quelques menaces d’avance qui, brandies à bon escient, feront le profit des annonceurs et la joie d’un gouvernement qui règne par la peur.

Ah justement, quelle chance, Poutine s’apprête à envahir l’Ukraine, c’est Biden qui le dit. Ah là là le méchant Poutine est de plus en plus méchant. Peu importe que Poutine n’ait aucun intérêt à envahir l’Ukraine, un pays au bord de la faillite artificiellement soutenu par la « communauté internationale (traduire l’Occident) juste pour « emmerder » Poutine ! Poutine est méchant, donc il va envahir l’Ukraine ! C’est clair comme 2 et 2 font 4...

Il a tout de même l’avantage, le méchant Poutine, d’offrir au gentil Macron l’opportunité, juste avant les élections présidentielles, de faire de belles images pour la TV, en se faisant passer pour un négociateur. Qu’il est malin ce Macron ! Les présentateurs cooptés qui se font passer pour des journalistes, ils sont très malins eux aussi, sont en extase. Ah comme nous sommes malins, nous les élites, nous réussissons à abuser, écraser, exploiter, piller, voler, violer et même tuer en toute impunité, se congratulent-ils télépathiquement avec de petites mines entendues et de petits sourires gourmands. Comme c’est jouissif d’être malin (malignus « qui engendre le mal ») et c’est moderne ! L’intelligence (intellegere « comprendre ») est complètement dépassée, il faut être malin pour s’en sortir dans ce monde sans foi ni loi !

Bon, en tout cas c’est réglé, Poutine va envahir l’Ukraine, on aura une guerre jusqu’au dernier Ukrainien, une guerre à nos portes, ce sera génial pour Biden, les va-t-en guerre et l’industrie de l’armement. Et tant pis si on y passe aussi !

Vous avez vu Don’t look up ? C’est un film catastrophe qui est en réalité une violente satire des élites occidentales. Dans le film, pour des raisons électoralistes et lucratives, la présidente étasunienne et le milliardaire qui la conseille (et l’arrose) refusent de faire exploser une comète qui se dirige vers la terre. Ils se contentent d’ordonner à leur population de ne pas regarder en l’air, d’où le titre du film. Quand le désastre est imminent, ils s’envolent dans leur fusée vers une autre planète.

Voilà, selon Orlov, le saisissant message du film :

“Chers citoyens de l’humanité civilisée qui croient encore que les États-Unis sont le centre du monde et la riche Shining City on the Hill (de dollars de plus en plus sans valeur) : apparemment, nous avons tous ensemble approché le bord d’un abîme et sommes sur le point, peut-être dès cette année, de nous y effondrer. Pourquoi cette triste fin nous attend-elle, alors que nous, vos dirigeants intrépides, maîtres du dollar, serviteurs dévoués du Prince de ce Monde, avons tenu tous les leviers de la gouvernance mondiale entre nos mains à partir de 1991, lorsque l’URSS a cessé d’exister ?

“Comment avons-nous réussi à nous planter à ce point en seulement 30 ans ? La réponse est : parce que nous sommes devenus une bande de dégénérés. À quoi ressemble notre dégénérescence ? Pour plus de détails, voir notre film Don’t Look Up. Il s’agit d’une exposition honnête du genre de monstres dégénérés que nous sommes devenus, y compris les militaires, les politiciens, les scientifiques, l’élite des médias... Nous sommes tous des monstres – des monstres dégoûtants, dégénérés, répugnants !

“Dans le même temps, vous, chers membres des classes inférieures de notre grande société, vous êtes également devenus une bande de dégénérés. À quoi ressemble votre dégénérescence ? Encore une fois, regardez notre film. C’est un grand miroir dans lequel vous pouvez vous voir. Vous êtes devenus un troupeau sans cervelle de monstres dégradés, vils et méprisables. Nous admettons que vous vous êtes dégradés grâce à nos efforts, parce que nous vous avons conduits sur cette voie. Mais personne ne vous a enlevé le libre arbitre que Dieu vous a donné. C’est vous qui êtes devenus dépendants de toutes les saloperies que nous vous avons imposées en recherchant le profit. Et donc nous sommes tous unis dans nos échecs, et donc notre destin est un destin commun. »

Les élections présidentielles

Le cas de la guerre en Ukraine ayant été réglé à la satisfaction générale, nos sangsues de plateaux passent au sujet le plus important, le seul sujet qui les préoccupe vraiment, à savoir les élections ou plutôt la course de petits chevaux des élections et l’extrême-droite. Ah l’extrême-droite, si elle n’existait pas il faudrait l’inventer ! Mais comme Mitterrand l’a déjà fait, il n’y a plus qu’à l’entretenir pour que Macron gagne les élections... Effectivement, ils sont très malins !

Effectivement est le tic de langage le plus répandu sur les plateaux. Encore plus que Voilà. Du latin effectus, effectif signifie réalisation, résultat, effet, accomplissement. C’est justement ce qui n’arrive jamais sur les plateaux, ni dans la vie de la plupart des gens qui les squattent. Ils disent et font n’importe quoi et n’ont jamais à en subir les conséquences, les effets. Des experts Covid pétris de conflits d’intérêt nous ont terrorisés, en exagérant et mentant sans vergogne. Mais rien ne leur arrivera. Ils n’auront pas à rendre de comptes, ni à réparer le mal qu’ils ont fait. Tous les effets de leurs effectivement sont retombés sur nous et sur nos enfants.

Pour en revenir à la campagne électorale, il n’est pas question d’aborder sérieusement les sujets qui fâchent : l’effondrement de notre économie, l’explosion de notre déficit commercial et de notre dette, la destruction de nos services publics, l’appauvrissement et l’abêtissement des populations, la diminution de l’espérance de vie et l’abandon des personnes âgées, le chômage et les délocalisations et encore moins les dividendes record et la contribution de l’Etat à ces dividendes avec nos impôts.

Bien qu’une grande partie de ces catastrophes économiques et sociales soient la conséquence de notre appartenance à l’UE, qui en plus nous coûte un pognon de dingue (contribution nette autour de 8 milliards), il est interdit de s’interroger sur les avantages et inconvénients d’en faire partie. La plupart des partis de gouvernement ont renoncé à en parler et ceux qui en parlent sont ostracisés, censurés et interdits de plateaux. Et tout le monde trouve normal que les GAFAM censurent tous les contenus non orthodoxes.

Pas question non plus de parler de la corruption, des conflits d’intérêt, des avantages et privilèges indus et illicites, du gaspillage d’argent public, de la collusion des pouvoirs, des paradis fiscaux. Il est pareillement interdit de remettre en cause la politique extérieure atlantiste et néo-coloniale de la France et son appartenance à l’OTAN. Pareil pour la démocratie, il n’y a pas de débat de fond sur l’absence de contre-pouvoirs, le RIC, les institutions, leur adéquation aux besoins de la population, leur dévoiement, leur durcissement. Et cela ne choque personne que le nouveau système d’attribution des parrainages permette à des partis qui tiennent des départements ou des régions, ou qui sont en position de force comme la Macronie, de décider qui aura ou pas ses parrainages et donc qui sera ou pas candidat à la présidentielle.

Le sujet tabou le plus dramatique de tous, le tabou qui n’est jamais, jamais brisé sauf parfois par Lutte ouvrière, c’est la propriété privée de la monnaie et des moyens de production. La bourgeoisie a réussi à naturaliser sa main mise sur la monnaie et la production, mais cela n’a rien de normal et les conséquences de cet état de fait sont profondément délétères puisque cela entraîne la destruction de notre environnement et la manipulation du vivant dans le seul but de faire du profit.

Mais pourquoi se préoccuper de toutes ces questions pénibles et compliquées ? Parler des petites phrases et des sondages est bien plus amusant ! Et de toute façon rien ne changera puisque tout va bien pour les nantis. Selon les médias officiels, la voix de notre maître, le pass vaccinal a tout réglé, les riches sont très très contents et Macron sera réélu parce qu’il a tout bien fait. Voilà, tout est parfait dans le meilleur des mondes, et il faudrait être bien malhonnête, nous affirment nos maîtres, pour prétendre le contraire.

« Circulez, il n’y a rien à voir ! » nous répètent-ils sur tous les tons, certains d’échapper à la catastrophe dans laquelle ils nous entraînent, en s’enfuyant, au bon moment, dans leurs îles du Pacifique, leurs abris anti-atomiques ou leur base spatiale, comme dans le film Don‘t look up !

Et puisqu’on ne peut rien y faire car ils détiennent tous les pouvoirs, autant faire semblant de les croire et aller cultiver notre jardin (après avoir voté Mélenchon ou Poutou, ou LO, pour sauver l’honneur !) en attendant la fin qui viendra, de toute façon, d’une manière ou d’une autre...

»» http://domimuse@yahoo.com
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Thomas Frank. Pourquoi les pauvres votent à droite ? Marseille : Agone, 2008.
Bernard GENSANE
Rien que pour la préface de Serge Halimi (quel mec, cet Halimi !), ce livre vaut le déplacement. Le titre d’origine est " Qu’est-ce qui cloche avec le Kansas ? Comment les Conservateurs ont gagné le coeur de l’Amérique. " Ceci pour dire que nous sommes en présence d’un fort volume qui dissèque les réflexes politiques, non pas des pauvres en général, mais uniquement de ceux du Kansas, dont l’auteur est originaire. Cela dit, dans sa préface, Halimi a eu pleinement raison d’élargir (…)
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Si vous avez déjà accordé de l’importance à ce qui se diffuse pendant un journal télévisé, si vous vous êtes déjà intéressé à ça pendant, disons, plus de 30 secondes, c’est que vous êtes soit un de ces étudiants en comm’ qui y croit encore, soit un de ces journalistes qui voudrait nous y faire croire encore, soit vous étiez malade et alité devant la télé. Sinon, vous avez un sérieux problème de perception.

Viktor Dedaj

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