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Des soldats Israéliens se prennent en photo pendant qu'ils soumettent un garçon Palestinien. (RT.com)

Les Forces Israéliennes qui sont affectées à Jérusalem Est Occupée apparaissent posant dans une vidéo pendant qu’elles soumettent un garçon palestinien blessé.

Cette vidéo inquiétante enregistrée par Rami Alarya, et rendue publique par le Centre de Media Indépendants (IMC), est accompagnée selon le site The Electonic Intifada de cette description et de cette analyse :

[ note du Grand Soir : l’article original de Saed Bannoura est ici : http://www.imemc.org/article/66947 ]

"Les soldats ont assailli le garçon au cours des affrontements qui ont eu lieu dans la localité [al- Eizariya] de Jérusalem-Est occupée.

"Un des soldats a essayé d’entraîner le cameraman et son collègue, Alarya et Amin Alawya, loin de la scène tandis qu’ils leurs criaient : "Ca suffit, ça suffit, éloignez-vous ! Qu’est-ce que vous voulez ?".

"Des sources médicales ont dit que les soldats avaient tiré sur Yassin al- Karaki, garçon de 13 ans, avec une balle métallique recouverte de caoutchouc qui a atteint le garçon de 13 ans à la jambe. A partir du moment où il est tombé, les soldats ont commencé à l’agresser et à user de violence avec lui.

"Les soldats se sont pris en photo avec le garçon blessé. Un soldat a récupéré par terre un coktail Molotov et pendant que le garçon criait en hébreu : "Ce n’est pas à moi ! Ce n’est pas à moi !", un soldat lui a répondu : "C’est le tien, c’est bien, c’est le tien".

"Un des soldats retenait le garçon avec une prise de strangulation et se moquait de lui en imitant des mouvements de lutte. Pendant que d’autres prenaient des photos. Alors que le garçon pouvait à peine respirer."

Le 10 Janvier 2014

»» http://actualidad.rt.com/actualidad...
URL de cet article 24392
   
La face cachée de Reporters sans frontières - de la CIA aux faucons du Pentagone.
Maxime VIVAS
Des années de travail et d’investigations (menées ici et sur le continent américain) portant sur 5 ans de fonctionnement de RSF (2002 à novembre 2007) et le livre est là . Le 6 avril 2006, parce que j’avais, au détour d’une phrase, évoqué ses sources de financements US, RSF m’avait menacé dans le journal Métro : " Reporters sans frontières se réserve le droit de poursuivre Maxime Vivas en justice". Au nom de la liberté d’expression ? m’étonné-je. Quoi qu’il en soit, j’offre aujourd’hui (…)
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(...) quelqu’un a dit il y a vingt ans : "vous pouvez croire tout ce qu’on raconte sur cet homme, sauf qu’il est mort".

(...) Ce lieu sera pour toujours un témoignage de lutte, un appel à l’humanisme. Il sera aussi un hommage permanent à une génération qui voulait transformer le monde, et à l’esprit rebelle et inventif d’un artiste qui contribua à forger cette génération et en même temps en est un de ses symboles les plus authentiques.

Les années 60 étaient bien plus qu’une période dans un siècle qui touche à sa fin. Avant toute chose, elles ont été une attitude face à la vie qui a profondément influencé la culture, la société et la politique, et a qui a traversé toutes les frontières. Un élan novateur s’est levé, victorieux, pour submerger toute la décennie, mais il était né bien avant cette époque et ne s’est pas arrêté depuis. (...)

Avec une animosité obstinée, certains dénigrent encore cette époque - ceux qui savent que pour tuer l’histoire, il faut d’abord lui arracher le moment le plus lumineux et le plus prometteur. C’est ainsi que sont les choses, et c’est ainsi qu’elles ont toujours été : pour ou contre les années 60.

Ricardo Alarcon,
président de l’Assemblée Nationale de Cuba
Allocution lors de l’inauguration de la statue de John Lennon à la Havane, Décembre 2000

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