Ne plaisantons pas. Je suis conseiller municipal, ça ira pour l’instant.
J’accepterai à la rigueur, à la rigueur, un poste de ministre des forêts, menuiseries et terrassements, afin de faire brûler d’un coup tout le bois disponible, d’empêcher que les stocks soient transformés en battes de base-ball et manches de pioches.
Et hop ! qui sera comme un poisson dans l’eau (sans casque, donc) dans la rue et dans les salons alternatifs ?
Monsieur le ministre moi-même.