Sérieusement, vous y avez cru ? Vous pensiez vraiment qu’une fois instauré le Pass Sanitaire disparaîtrait un jour ? Quelle naïveté ! Ca vaut le coup de traiter les gens de débiles ou de complotistes quand vous refusez de voir ce qui est devant vos yeux… Et vous les avez laissé nous voler la démocratie sans rien faire, malgré leurs promesses sans cesse rompues et la publicité de leurs intentions !
Non mais vous pensiez quoi ? Qu’en vous soumettant vous seriez « du bon côté » ? Vous avez même fini par croire à la propagande selon laquelle l’ennemi ne serait plus le virus mais le « non-vacciné » ! En réalité vous n’avez fait que leur permettre, à travers les « 2 minutes de la Haine » (voir) auxquelles vous participez quotidiennement devant CNEWS ou BFM, d’instaurer un régime de contrôle social et de surveillance permanents, au nom de ce qu’ils vous ont dit être la condition de votre nouvelle liberté, désormais fondée sur l’accomplissement préalable de vos « devoirs ». Ce (…)Lire la suite »
Ce n’est pas une petite histoire que ce coronavirus : il est les symptôme évident du dysfonctionnement de nos sociétés, le signal d’alarme que quelque chose de pourri est en train de détruire l’Humanité dans tous ses sens.
Dès le départ il y a eu un manque d’informations et de crédibilité des informations en provenance de la Chine. Lorsque le confinement a été imposé là-bas, ici on ne prenait le confinement que comme une preuve supplémentaire du caractère autoritaire des Chinois. Pensant avec la prétention habituelle des « Occidentaux » que si toutefois le virus passait par chez nous, on l’arrêterait bien vite.
Du coup, c’est dans une impréparation totale que le Covid-19 s’est propagé partout, présenté par nos gouvernants et tous les experts médiatiques habituels comme une « petite grippe » dont on faisait toute une histoire. Il nous semblait tout de même que la Chine en faisait un peu trop. En pensant plus ou moins secrètement que la dictature avait une vertu non négligeable, (…)Lire la suite »
Cela fait des mois que les gilets jaunes expriment leurs colères, leurs questions, leurs volontés, leurs malheurs. Des mois que les journalistes tentent ou font semblant de tenter de les comprendre.
Alors quand arrive un type qui, au lieu de les prendre pour des cons ou des violents, ce type leur explique comment le système fonctionne, que ce type donne son livre en pdf, défend (gratuitement ?) les leaders du mouvement, cela semble difficile à croire : il ne ferait ça ni pour de l’argent, ni pour le pouvoir, ni pour la notoriété ?
Et oui, il y a encore quelques gars comme ça, ça peut paraître un peu désuet mais que voulez-vous, il a sans doute été nourri au romantisme de la classe à laquelle il appartenait.
Un gars qui au lieu de demander aux gilets jaunes si ils sont violents, antisémites ou complotistes, préfère leur donner une explication rationnelle du monde capitaliste, comme il fonctionne pour de vrai.
Un gars qui dit qu’il n’y a pas besoin de complot ni de juifs ni (…)Lire la suite »
« Ils ne seront conscients qu’après s’être révoltés, mais ils ne se révolteront qu’une fois conscients »
Voici ce qu’écrit Winston Smith à propos des prolétaires, dans le célèbre 1984 de George Orwell.
Cette phrase exprime à la perfection la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui encore, 70 ans après sa publication.
Il faut que les « prolétaires » (c’est-à-dire les individus qui ne font pas partie du « Parti » – la majorité des citoyens en réalité) se révoltent contre le système établi, alors qu’en réalité ils n’ont pas conscience qu’il faudrait qu’ils le fassent.
Pourtant, il existe de nombreux faits qui devraient faire réagir le peuple dans le sens de la révolte. Mais comme la propagande tourne à plein régime, divisant et opposant ses victimes au gré de ses volontés, les réformes s’enchaînent les unes derrière les autres sans qu’on puisse espérer même les ralentir.
Il existe certains sujets sur lesquels il s’agirait de s’opposer sérieusement, si (…)Lire la suite »
« On n’établit pas une dictature pour sauver la révolution, on fait une révolution pour établir une dictature ».
Voilà une phrase qui devrait éclairer d’un jour nouveau la politique de « Blitzkrieg » mise en place par le gouvernement Macron.
Car il faut être honnête, et regarder les choses en face : soit Macron ne comprend pas qu’il est en train de favoriser à la fois la convergence des luttes et la montée de la colère dans la population toute entière – et il faudrait le remercier pour ça car il accélère ainsi la prise de conscience de milliers de citoyens qui n’avaient pas encore compris qu’ils ne faisaient pas partie de l’ascension cordée, soit Macron est un homme intelligent qui a bien compris que pour continuer à gouverner les riches ne pourront pas faire l’économie d’une dictature fondée sur le contrôle total des masses. C’est pour eux le seul moyen de sauver le capitalisme dans un monde qu’on ne sait plus comment diriger autrement tant les défis pour sauver notre planète sont incommensurables.
Ne pouvant pas se permettre de mettre en place une dictature à partir d’un illégitime coup d’Etat, ils tentent de créer une contestation suffisamment grande et violente pour justifier la mise en place d’une dictature en (…)Lire la suite »
Je crois bien en avoir déjà causé ailleurs, mais j’ai toujours le doute qu’évoquer un bon sujet au mauvais moment n’ait pas l’impact qu’il pourrait avoir s’il était traité au bon. Et ces jours derniers convergent tous tellement en ce sens que j’ai décidé de retenter mon sujet. Il y a eu la conférence Tedx de Jorion, Monique Pinçon-Charlot, les « fainéants » de Macron et ceux « qui ne sont rien », les « anti-spécistes » vegan radicaux, des discussions sur le capitalisme comme responsable de tous nos maux…. enfin en gros une sorte de dichotomie entre les discours compréhensibles, logiques, raisonnables de la plupart des gens, avec une réalité contraire qui semble au premier abord indéfendable : les riches possèdent déjà tout, et ils essaient encore par tous les moyens d’en gratter un peu plus sur le dos des pauvres. Personne ne trouve cela normal et pourtant c’est bien ce qui se passe : on veut faciliter les licenciements pour favoriser les embauches !
Face à cette contradiction (…)Lire la suite »
L’autre jour je discutais avec un gars que je connais un peu, avec qui l’on discute parfois politique. Je venais de lire un article sur « Legrandsoir.info », que je voulais lui faire lire, à propos de l’horreur qui se produisait à Mossoul, en Irak.
Aussitôt qu’il a vu d’où venait l’article, il a tout de suite cessé la discussion en émettant cette sentence définitive : « ah oui, je connais « Le Grand Soir », c’est un site complotiste ». Il ajouta qu’ils étaient pro-chavez et pro-russe, et fin de la discussion.
Il ne lisait pas les articles de ce site, ni celui-ci ni les autres. Comment pouvait-il le savoir ?
C’est qu’une fois un site estampillé « complotiste », les gens pensent que ceux qui les lisent sont eux-mêmes des complotistes. Ou qu’il leur suffirait de lire un des articles de ce site pour basculer subitement du côté obscur.
Prenons le cas du Venezuela. Pour être honnête j’avoue n’y connaître rien, mais comme la situation commence à devenir assez tendue je me dis (…)Lire la suite »
Si nous étions en 1984, des drones pourraient nous surveiller d’en haut, de maison en maison, de rue en rue, de quartier en quartier… Nous nous lèverions le matin pour aller travailler dans un ministère quelconque, sous l’oeil de BIG BROTHER dès le petit déjeuner. Notre smartphone, notre télé, notre caméra de sécurité. On nous surveille, on nous protège ?
Au boulot nous discuterions avec les collègues des terroristes et de la guerre, en espérant bien qu’un jour tout cela se termine. Mais nous ferions attention à ce que nous pourrions dire, on ne sait jamais…
Nous en serions sûrs, nous les gentils on finirait bien par gagner. D’ailleurs l’ennemi n’avait-il pas reculé ?
On rentrerait chez nous la peur au ventre quand nous croiserions une femme sous une burqa (serait-ce vraiment une femme ?), prêts à la dénoncer au moindre geste suspect.
On s’enfermerait chez soi pour apprendre à nos enfants ce qu’il faut faire et comment, ce qui est bien ou pas. En regardant le télécran – (…)Lire la suite »
Monsieur Mélenchon, nous sommes nombreux (très nombreux) à y avoir cru ces derniers jours, jusqu’au dernier moment. Si tous ceux qui ont voté Macron par peur de Le Pen avaient voté selon leur coeur, ou si Hamon s’était rendu à l’évidence en vous soutenant, vous seriez peut-être aujourd’hui au deuxième tour ; mais on ne refait pas l’Histoire. L’arnaque du vote utile a une fois encore fait du bon boulot…
Quoi qu’il en soit, notre futur président sera bien élu à partir d’environ un quart de l’électorat Français, et la majorité à l’Assemblée leur sera difficilement accessible. Vous avez un coup à jouer dans la reconstruction d’une vraie gauche, et j’espère sincèrement que vous n’apporterez pas votre soutien à Emmanuel Macron. Cet homme n’est pas de gauche, et ses discours sont lamentables. Il ne vaut pas mieux que Marine Le Pen, et vous ne devez pas -à mon avis- faire s’effondrer votre crédibilité par un soutien qui saboterait tout ce que vous avez réussi à construire.
Maintenant, (…)Lire la suite »
Hier on m’a montré un SMS : l’auteur de celui-ci faisait savoir qu’il avait appris, par une « amie dont l’ex-mari est policier », qu’une menace sérieuse d’attentat terroriste pesait sur la plage où mon interlocuteur devait se rendre, lui enjoignant d’éviter les endroits où sont regroupés de nombreuses personnes… La belle affaire !
Il suffit pourtant de taper sur google « menace terroriste plages » pour tomber sur quelques dizaines d’articles plus ou moins récents répertoriant allègrement les divers moyens qu’auraient des terroristes pour réaliser un carnage sur les plages -qu’elles se situent au nord, au sud ou à l’ouest de notre bel hexagone. Facile, sur les plages il y a toujours du monde (enfin quand il fait beau !). Comme sur les marchés d’ailleurs, et puis aussi les bars, les feux d’artifices et de multiples autres endroits…. Et puis que ce soit en avion, avec une mitraillette ou une grenade, il est évident qu’à n’importe quel moment, dans n’importe quel endroit, un fou (…)Lire la suite »