Merci pour votre témoignage Mme. HERDHUIN.
Oui, c’est troublant et confus les infos sur cette grève étudiante.
J’appuie le mouvement étudiant.
Surtout, que cette fois-ci, il défend la population contre l’austérité.....
Mais la société québécoise est selon la chanson : tant qui aura quec chose dans le frigidaire...
Dire, que nous sommes dans la position de pro-agir par rapport a tous les pays qui sont dans un état tel qu’ils ont tout à faire, tout à construire, sous éduqué, misère, faim et maintenant tous les terrorismes...
Que peut-on faire réellement pour les aider.
D’abord, cessez de reconduire des gouvernants néo-libéraux.
Il y en a trois au Québec : PLQ son naturel, la CAQ bourré de con....servateurs, le PQ qui me fait penser au PS d’Hollande et toujours mal préparé....sans agenda de changement, il ne fait aucun travail de fond auprès de la population, un travail qui ne peut que se faire par les citoyens eux-mêmes.
Lisez l’article du Monde Diplomatique de janvier 2015.
PODEMOS, la parti qui bouscule l’Espagne.
Les forces et les faiblesses du mouvement citoyen y est souligné. Très instructif.
Petit passage :
« « Le recrutement social du parti s’est également élargi à travers la création de plus de mille « cercles » à travers le pays. » »
Il y a quelques "objectifs", incontournables, à élaborer avant d’être au pouvoir :
Un agenda politique rassembleur.et une stratégie « souple » de mise en place sytématique.
Il y a les fondamentaux, sans lesquels aucune société ne peut exister :
Le mode de revenu
Le mode de travail
Le contrôle et le mode économique
Donc, le travail de fond auprès de la population tourne autour de ces trois axes.
Les autres aspects suivront naturellement...éduc, santé, mode de scrutin, etc...
Lorsque la population fera consensus sur les solutions des trois fondamentaux, le néo-libéralisme "kaputt".
Mais pour le moment, ce qui est troublant, c’est que les associations étudiantes demeurent immuables sur leur mode de fonctionnement des manifestations.
Elles se tirent dans le pied. NON OUI
Elles devraient réfléchir à trouver des modes efficaces... pour mobiliser, pour manifester...
Il y a une chose qu’il faut comprendre, la violence, c’est le fait du fascisme.
Des gens des associations étudiantes, en employant la méthode, les fascistes auront tout le loisir de l’utiliser après-coup et vous faire porter le chapeau.
Laisser les méthodes des fascistes aux fascistes.
D’ailleurs, les fascistes "intelligents" ne le diront pas qu’ils le sont.
Et puis, aujourd’hui, ils sont plus sophistiqués, du moins en occident, bien sûr, ils ont leurs hommes de main.
Autre chose..
Comment reconnaître un esprit qui s’oriente vers le fascisme ?
Question intéressante, n’est-ce pas.
Avec un peu de réflexions, il est facile de trouver les critères et les cractéristiques.
Mais, orientons nos énergies à trouver les solutions adéquates, et l’alternative rassembleuse.