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Si Battisti nous était conté (Poème spontané)

Césare Battisti sera jugé au Brésil le 9 septembre 2009

L’écrivain et ex militant politique poursuivi, Cesare Battisti, est encore détenu au Brésil, au mépris de la Loi et de la jurisprudence, bien qu’il eut dû être libéré en janvier 2009 en raison de la reconnaissance par le gouvernement brésilien de sa condition de réfugié politique. Et l’Italie continue à remuer ciel et terre pour imposer son extradition, dans une campagne où elle mobilise des ressources astronomiques et utilise des pressions disproportionnées pour amener les autorités brésiliennes à ses vues. Nous demandons aux citoyens sensibles à la justice, au Brésil et dans le monde, de signer et divulguer cette pétition pour la libération de Cesare Battisti. Lien pour déposer sa signature : http://www.abaixoassinado.org/abaixoassinados/4914)

Si Battisti nous était conté

Poème spontané

Le sol était si glissant des miasmes de leur génuflexion

Qu’il était impossible à un être humain de rester debout

C’est aussi pour cela que Césare pris ses jambes à son cou

Au-delà de l’absurde des histoires construites par ses accusateurs

Par d’abyssaux comploteurs doublés de tristes informateurs.

Césare qui peut te reprocher des rêves insensés mais indéterminés

sur le fond rien d’abyssal la raison tu l’as puisée dans ton éducation

que ta famille italienne avant toi de résistance t’a léguée sur le fond.

Et c’est sur la forme que vous voulez le juger combien de fois Césare

tu devras leurs répéter que c’est une chose dont tu as bien su te garder

d’abord par conscience ensuite parce que tu ne l’as pas fait

On te reproche de ne pas abdiquer de ne pas te soumettre enfin.

Comme un abyssal assassin vous le traquez comme s’il était un chien

pour lui faire endosser tous vos crimes à venir et passés

c’est pourquoi on vous entend aboyer depuis que nous sommes nés

Nous vous sentons remplis de haine acharnés prêts à tout

mais pour rien… Césare n’est pas un assassin.

luis lera

URL de cet article 9106
   
L’Histoire m’acquittera
Fidel CASTRO, Jacques-François BONALDI
L’Histoire m’acquittera (en espagnol : La Historia me absolvera) est un manifeste d’auto-défense écrit par Fidel Castro en octobre 1953, à la veille de son procès (il est jugé pour avoir attaqué la caserne de Moncada le 26 juillet 1953, en réaction au coup d’état de Batista). Fidel Castro est diplômé en droit, il manie la plaidoirie, exercice qu’il connaît bien, avec aisance : il y explique ses actes et son implication dans le soulèvement contre Batista mais surtout, il y développe ses (…)
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Si on commence à dire aux gens comment ils doivent s’habiller, alors peut être qu’on devrait commencer par interdire les costumes."

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