Courrier International, février 2007.
L’Ecole latino-américaine de médecine de La Havane, une des vitrines du régime castriste, accueille 7 000 étudiants venus de pays voisins - dont de jeunes Américains trop peu fortunés pour étudier chez eux.
Dans le parc John Lennon, à La Havane, des Cubains s’évertuent à retenir les paroles de la chanson Imagine inscrites sur le socle de la statue du chanteur : "You may say I’m a dreamer,/But I’m not the only one." John Lennon est devenu l’une des icônes culturelles de cette ville de rêves. Mais, au bout de quatre décennies d’embargo américain et de régime castriste, le rêve socialiste a viré à l’aigre pour certains Cubains. Et personne n’a jamais imaginé un "paradis socialiste" bâti sur l’enfer d’un blocus économique.
Les contradictions sont pourtant communes au sein de la société cubaine. La crise du logement, l’irrégularité des transports et l’obligation de faire la queue pour presque tout rappellent les conditions de vie de nombreuses économies du tiers-monde. Cuba reste cependant un cas à part. L’île n’a peut-être pas de réserves d’or et de dollars, mais elle peut se targuer de réussites certaines dans les domaines de la médecine et de l’enseignement. (...)
- Lire la suite sur Radio Air Libre www.radioairlibre.be
Sur les conséquences humaine de l’ embrago contre Cuba :<BR>
Le Mur d’Eau, par Jens Glüsing.
Fidel Castro malade, Miss Monde acnéique, presse métastasée, par Maxime Vivas.
USA : les ennemis de Cuba en perte de vitesse, par Gabriel Molina.