Alors que l’île traverse une de ses pires crises économiques, le président de l’Institut cubain d’amitié avec les peuples, Fernando González, estime que la solidarité internationale est aujourd’hui « plus que jamais essentielle ».
Entretien avec la journaliste Maïlys Khider pour le média Le Grand Soir.
Déclaration du ministère cubain des Affaires étrangères. Le ministère des Affaires étrangères rejette fermement un nouvel acte de complicité des États-Unis dans la violence terroriste contre Cuba. Les autorités judiciaires américaines ont décidé de libérer Alexander Alazo, l'individu qui, le 30 avril 2020, en pleine rue, a tiré 32 coups de mitrailleuse sur l'ambassade de Cuba dans ce pays, où se trouvaient 7 personnes.
« Nous sommes prêts à nous asseoir à la table, sur un pied d’égalité, pour discuter avec les États-Unis de toutes les questions qu’ils souhaitent aborder. »
Ces derniers temps, on a observé une série d’actions destinées, depuis les États-Unis, à porter atteinte à l’économie de Cuba à travers la plate-forme El Toque. Ces actions ont eu un impact à l’échelle monétaire du pays, ce qui a provoqué une augmentation des prix et en conséquence, a affecté le produits intérieur brutes (PIB) de Cuba.
J'ai entendu ces noms de la part de quelqu'un qui s'était présenté à moi comme un fonctionnaire du Département d'Etat, affecté à l'ambassade de Paris. C'était il y a quelques années, dans le bar d’un élégant hôtel parisien, à quelques mètres du musée du Louvre. Cinq jours plus tôt, il m'avait abordé lors d'un cocktail à la Maison de l'Amérique Latine...
Dénoncée au sein même du pouvoir étasunien, la présence anachronique de l’île dans la liste des « États soutenant le terrorisme » continue de renforcer les effets dévastateurs du blocus imposé depuis 1962.
Dans son dernier bilan, un think tank états-unien rapporte que les sanctions imposées par Washington continuent d’asphyxier l’île.