RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Enseignement à Cuba : ce qui grandit un petit pays

L’ école démocratique, 30 novembre 2006.

Dossier : Enseignement à Cuba

Durant les dernières vacances de Pâques, l’Appel Pour une Ecole Démocratique organisait un voyage d’étude à Cuba. Un groupe de 19 enthousiastes (à part deux, tous des enseignants) goûtait pendant deux semaines à l’hospitalité cubaine et pouvait voir de l’intérieur son système d’enseignement, de la maternelle à l’université, de l’enseignement de la deuxième chance jusqu’aux instituts pour handicapés.

Dans ce dossier thématique, nous voulons partager notre goût pour l’enseignement cubain. Nous n’avons pas la prétention de vous livrer une oeuvre académique, mais nous avons tout de même essayé, sur base de nos expériences et d’un peu d’étude, de vous donner une vue systématique.

Nous avons demandé aux participants de se focaliser chacun sur un aspect déterminé et d’en faire rapport. Le tout débouche sur une association de matériel d’étude et d’impressions de voyage, avec évidemment différentes interprétations des expériences vécues, chacun ayant son style.

La rédaction a délibérément donné carte blanche à chaque auteur. Il faut avouer que les divergences d’opinion montaient dans le groupe dès qu’il était question de l’enseignement belge... Dans cette introduction, nous voulons exposer quelques aspects sociaux et l’évolution récente de Cuba, informations nécessaires pour bien comprendre la (R)évolution de l’enseignement des dernières années dans l’île.

Pauvre mais développé

Cuba continue à nous déboussoler. C’est un pays du tiers monde, mais puisqu’on n’y trouve pas la misère criante typique d’un pays du sud, on a tendance à oublier qu’on est bel et bien dans un pays pauvre. Grâce au développement fort de l’île dans les domaines de l’enseignement, de la science, des soins de santé, de la culture,...on la considère spontanément suivant les critères d’un pays riche et développé. Ce qui est évidemment une erreur. Si, dans ces articles, vous faites abstraction des circonstances matérielles (souvent faibles) et oubliez les noms des lieux, vous pourriez croire à un voyage d’études en Espagne, au Canada ou encore dans la riche Norvège. (...)

- Lire la suite de l’ introduction et télécharger le dossier complet sur l’enseignement à Cuba sur le site de L’ école démocratique www.ecoledemocratique.org

Pourquoi les arrestations à Cuba ? <BR>
par Wayne Smith, ancien responsable la section des intérêts US à la Havane.

Fidel Castro malade, Miss Monde acnéique, presse métastasée, par Maxime Vivas.

Aprés Fidel, par Raúl Zibechi.

Reporters Sans Frontières et Cuba : L’ art de se tirer une balle dans le pied, par Viktor Dedaj.

 Illustration : Cuba est une île, un livre de Danielle Bleitrach, Viktor Dedaj
avec la participation de Jacques-François Bonaldi.


URL de cet article 4437
   
Même Thème
Missions en conflit
Piero GLEIJESES
Cet ouvrage présente un récit haletant de la politique cubaine en Afrique de 1959 à 1976 et de son conflit croissant avec les États-Unis. L’auteur conduit le lecteur des premiers pas de Cuba pour aider les rebelles algériens combattant la France en 1961, à la guerre secrète entre La Havane et Washington au Zaïre en 1964-65 — où 100 Cubains menés par le Che Guevara ont affronté 1 000 mercenaires contrôlés par la CIA — et, finalement, à l’envoi héroïque de 30 000 Cubains en Angola en 1975-76, (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et, en un tour de mains, ils créeront assez d’argent pour la racheter. ôtez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais, si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.

Sir Josiah Stamp,
Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941,
2ème fortune d’Angleterre.

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.