Il y un commentaire de lecteur extrêmement intéressant sur l’article en lien de la DH liégeoise, à propos de l’affaire Madaras et de la bien nommée Symphonie pathétique :
« Pour mémoire Poutine a déclaré que Tchaïkovski ne devait pas être joué dans le répertoire car il était homosexuel. Grossière erreur du public de Bournemouth. »
Voilà !
Savez-vous que Lavrov a rappelé : « Il ne faut pas lire Dostoïevski, car il était épileptique ».
Zakharova, hier matin à l’heure du thé : « Il ne faut par regarder les films de Tarkovski, car il a trahi l’Union soviétique. De plus, il admirait Antonioni et Bergman, des réalisateurs capitalistes ». (J’insiste : elle a dit ça HIER MATIN. C’est prouvé. Quelle conne, cette Maria !)
Choïgou : « Мой мозг находится в носках, а пенис играет на пианино. Когда я смотрю в зеркало, я вижу свои ягодицы, играющие на раковине. »
Traduction certifiée : « Prokofiev, qui était né en Ukraine, a écrit un opéra qui s’appelle Guerre et Paix... La paix ? Jamais ! Les Soviétiques veulent la guerre ! La guerre ! La gue-hè-hè-hè-hèrre ! Trouvez-moi Prokofiev, camarades, qu’on le noie dans du novitchok ! » (Il me fait peur, moi, Léon Tol...euh... Sergueï Choigou...)
La totalité du peuple soviétique, tous les matins sur la Place Rouge depuis le début de l’invasion suivie des massacres à Kharkov et Marioupol, un poignard M-51 dans chaque main : « À mort Gogol !... À mort Gogol !... »
On a même vu Staline et Béria sans chemise ni pantalon danser le Kasatchock en compagnie de Rika Zaraï sur la scène du Bolchoï. (Source : Raphaël G***.) ― Et je ne dis rien de mon chat sibérien qui me regarde d’un mauvais œil...
Sales bêtes...