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Tant pis si les pacifistes ouïghours s’entrainent avec Daesh

Rangez les stylos, sortez les bombes et les fusils

On trouve dans plusieurs pays des Instituts Confucius, établissements culturels publics à but non lucratif qui dispensent des cours de chinois sous l’inspection des ministères de l’éducation des pays hôtes. Il existe également des Instituts Goethe pour l’allemand, ou Cervantes, pour l’espagnol, l’association Dante pour l’italien, etc.

Dans une charte (copie ci-après) dont le ton est une déclaration de guerre à un pays ennemi, des élus français demandent la suppression des subventions dont bénéficient les Instituts Confucius.

Quand j’entends le mot culture…

En parfaite ignorance des conséquences (cf. l’enseignant Samuel Paty) de l’admission en France, sans le moindre contrôle, de 50 à 60 000 Tchétchènes dont beaucoup étaient des combattants islamistes fanatisés, les signataires de la charte s’engagent à tout mettre en œuvre pour protéger, soutenir financièrement et politiquement, les associations de la diaspora ouïghoure.

L’argent de la culture, de la paix, du rapprochement entre les peuples, doit passer sans contrôle dans les poches de possibles islamistes politiques qui ont échoué à faire triompher la charia dans leur pays. Nulle part en effet il n’est prévu la moindre investigation sur leur passé, leur séjour éventuel chez Daesh, les faits qui leur sont reprochés en Chine.

Les signataires de la charte sèment des graines dont nous reparlerons quand elles auront germé.

En voici quelques-unes qui se forment et se formatent en Syrie :

Les fous de dieu qui, comme leurs coreligionnaires en Tchétchénie, n’auront pas réussi à imposer la charia au Xinjiang, trouveront la France comme terre où éventuellement poursuivre la lutte.

Continuer à recevoir des Ouïghours sans aucun contrôle, à cause d’un imaginaire « génocide » et d’une réelle hostilité à la Chine, promettre de les choyer, s’attaquer aux Instituts Confucius, c‘est ranger les stylos sans vouloir regarder si des couteaux s’aiguisent.

Maxime VIVAS

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Si vous avez déjà accordé de l’importance à ce qui se diffuse pendant un journal télévisé, si vous vous êtes déjà intéressé à ça pendant, disons, plus de 30 secondes, c’est que vous êtes soit un de ces étudiants en comm’ qui y croit encore, soit un de ces journalistes qui voudrait nous y faire croire encore, soit vous étiez malade et alité devant la télé. Sinon, vous avez un sérieux problème de perception.

Viktor Dedaj

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