On trouve dans plusieurs pays des Instituts Confucius, établissements culturels publics à but non lucratif qui dispensent des cours de chinois sous l’inspection des ministères de l’éducation des pays hôtes. Il existe également des Instituts Goethe pour l’allemand, ou Cervantes, pour l’espagnol, l’association Dante pour l’italien, etc.
C’est durant la Seconde guerre mondiale qu’une idée, aussi brune que les autres, monte à la tête des nazis : instrumentaliser les communautés des Etats « musulmans » de l’URSS afin que ces derniers, Tchétchènes, Kazakhs, Ouzbeks, tirent dans le dos des Soviétiques.
Cette chronique portera sur une absence, sur un nom qui n’a pas été mentionné, sur un lien qui n’a pas été établi. De quoi s’agit-il ?
Bachar Al-Assad avait averti les Européens que leur duplicité finirait par se retourner contre eux. L’ignorance de ce théorème n’en finit pas de présenter l’addition.
Le 6 octobre 2020, Samuel Paty, professeur d’Histoire au collège du Bois-d’Aulne à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) donne un cours d’enseignement moral et civique sur le thème de la liberté d’expression. Il y montre une caricature du « prophète ».
Je suis sur l’autoroute en direction de Toulouse, sur le retour d’Agen où je viens de passer une journée soutenue auprès de ma mère qui a 101 ans bien pesés. Je me sens apaisé, tout va bien, mais j’ai besoin de radio, d’une radio qui parle, car la musique à la radio ne manque jamais de me faire penser à la réflexion de mon père « s’il y a de la musique, c’est que c’est jour de grève ». France-Info me foudroie. Décapitation .
Alors que le peuple catalan a été admirable de sang-froid, de solidarité, d’unité, de courage, face au crime des « Ramblas », les dirigeants du Parti populaire en appellent à « l’unité nationale contre le terrorisme » (on connaît !) et tentent d’isoler, de discréditer, la mairesse de Barcelone : la progressiste et très populaire Ana Colau, à la tête d’une coalition podémiste, verts et rouges Catalans, nationalistes de gauche...
Bachar Al Assad n’aurait jamais pu tenir si la majorité de son peuple était contre lui.
« Il y a là des minutes, nous le sentons tous, qui dépassent chacune de nos pauvres vies. Alep, Alep outragée, Alep brisée, Alep martyrisée, mais Alep libérée ! Libéreé par son peuple c’est-à-dire la Syrie qui se bat. La Syrie éternelle. »