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Le 24 novembre, Edouard Philippe nous appelle à poursuivre la lutte !

Sur la 2, le premier ministre s’est comporté comme Juppé en 95, droit dans ses bottes ! Il n’écoute rien ni personne comme Macron. 300 000 personnes manifestent, rien. Seul discours, on poursuit la politique d’austérité et rien ne nous arrêtera. Nous non plus. A Montreuil, nous prenons l’engagement de ne pas cesser l’action multiforme jusqu’à ce que l’impôt sur les grandes fortunes soit rétabli. Cet impôt rapporte 4 milliards par an. Suffisant pour lancer une grande politique de transition écologique. De Rugy, ministre de l’écologie le refuse alors qu’il nous fait les poches pour engraisser les compagnies pétrolières. Nous ne le laisserons pas nous plumer !

Le mouvement des gilets jaunes tient bon et demeure uni. C’est la condition du succès. Refusons la récupération politique d’où qu’elle vienne. L’auto-organisation fonctionne très bien. Chaque village, chaque ville connaît le terrain et les habitants. C’est le lieu le plus approprié pour débattre et décider des formes d’action.

Je vous soumets une proposition qui permettrait le rassemblement des automobilistes et des écologistes.

Organiser partout une initiative dont vous définiriez la forme et le contenu. Pourquoi ne pas se manifester ce jour-là pour exiger ensemble le rétablissement de l’impôt sur les grandes fortunes ?

Devant les inégalités croissantes et l’injustice fiscale, des millions de concitoyens partagent notre position mais ils n’ont pas participé le 17. Interrogeons-nous pourquoi et essayons de les convaincre d’entrer dans le mouvement. Près de 80% des Français soutiennent les gilets. On a du grain à moudre. Travaillons à les faire participer à ce mouvement qui va marquer durablement la vie sociale et politique.

Vu mon âge, après 68, je vais connaître le deuxième grand affrontement d’idées.
Formidable espoir !

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Déposséder les possédants - La grève générale aux « temps héroïques » du syndicalisme révolutionnaire (1895-1906)
CHUECA, Miguel
Textes de Édouard Berth, Henri Girard, Jean Jaurès, Hubert Lagardelle, Paul Louis, Fernand Pelloutier, Émile Pouget, Georges Sorel et Henri Van Kol Réunis & présentés par Miguel Chueca La grève générale exprime, d’une manière infiniment claire, que le temps des révolutions de politiciens est fini. Elle ne sait rien des droits de l’homme, de la justice absolue, des constitutions politiques, des parlements ; elle nie le gouvernement de la bourgeoisie capitaliste. Les partisans de la (…)
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"Acheter un journaliste coute moins cher qu’une bonne call-girl, à peine deux cents dollars par mois"

un agent de la CIA en discussion avec Philip Graham, du Washington Post, au sujet de la possibilité et du prix à payer pour trouver des journalistes disposés à travailler pour la CIA. dans "Katherine The Great," par Deborah Davis (New York : Sheridan Square Press, 1991)

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