Un article à lire et le commentaire suivant dont voici un extrait.
Il y a bien des choses qui ne sont pas dit sur le modèle gouvernemental cubain.
L’extrait du commentaire très informatif. Il faut lever l’OMERTA....
« « remonte à 1975-1976 quand, une fois dépassée la pire époque de lutte de classes et de combat ouvert contre l’impérialisme étasunien, la Révolution cubaine décida de s’ « institutionnaliser » et se dota d’une Constitution inscrite dans les fibres même de la nouvelle société : son avant-projet fut discuté, à compter du 10 avril 1975, par 6 216 000 personnes dans des milliers de réunions d’un bout à l’autre du pays. La commission constituante créée dans ce but prit en considération les modifications proposées à l’Introduction du texte et à 60 des 141 articles ; le Premier Congrès du Parti communiste (décembre 1975) approuva cet avant-projet qui fut soumis, en février 1976, à référendum : 5 602 973 Cubains, soit plus de 98 p. 100 des électeurs, l’entérinèrent. Cette Constitution, promulguée le 24 février 1976, fut soumise à ce même processus en 1992, quand, les circonstances internationales et donc les conditions de survie nationales de la Révolution ayant radicalement changé, elle fut remaniée dans un certain nombre de ses articles clefs, débattue dans tout le pays puis adoptée par référendum. » »
Commentaire de :
Jacques-François Bonaldi 1er décembre 19:34
Puisque vous nous présentez votre vision condescendante et hautaine de la « démocratie cubaine », même si elle fait de clichés et d’a-peu-près, vous voudrez bien, j’espère, lire la mienne : elle est tirée d’un livre sur Cuba qui sera publié prochainement sur Internet.
Bien à vous
Jacques-François Bonaldi (La Havane)
Sur l’article.
ttp ://www.agoravox.fr/actualites/international/article/la-belle-democratie-de-fidel-186934
Ce commentaire explicite, c’est à nous de le répandre. Pourquoi ?
Un extrait qui met les choses en perspectives sur la démocratie occidentale versus les démocraties progressistes d’Amérique Latine.
« « « Que je sache, rien de ce genre n’existe dans les si « démocratiques » États-Unis, pas plus d’ailleurs qu’en Europe… Dois-je rappeler que la classe politique française a voté en 2008 (rien moins qu’à Versailles, de si sinistre mémoire pour le peuple révolutionnaire, quel symbole !) une profonde réforme de la Constitution française, et tout ceci en catimini, sans que ledit peuple ait eu son mot à dire. » » »
Jacques-François Bonaldi (La Havane)
Nous pouvons considérer, en regard du Chili d’Allende, que les politiques progressistes d’Amérique Latine est le passage du système capitaliste-con-libéral sauvage (à la pensée archaïque-anglicane anti évolutioniste) au monde libéré de l’exploitation. Est-ce le but que nous recherchons et que nous tentons de concevoir ?
Le Devoir de philo
Jean Jaurès et le supplément d’âme
Comment la pensée du pacifiste français peut nous aider à surmonter la crise de la gauche politique
7 juin 2014 | Robert Tremblay Chercheur autonome, Ph. D. (histoire)
Pour Jean Jaurès, la révolution socialiste n’est concevable que dans le cadre de la légalité démocratique, c’est-à-dire par une conquête graduelle et légale par le prolétariat des institutions parlementaires et de la puissance de la production.
http://www.ledevoir.com/societe/le-devoir-de-philo/410354/le-devoir-de-philo-jean-jaures-et-le-supplement-d-ame