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Chávez. L’homme qui défia l’histoire

Cette biographie complète du commandant Hugo Chávez, écrite par un intellectuel vénézuélien reconnu, révèle les traits essentiels d’un personnage qui n’appartient pas seulement à la légende mais aussi à l’histoire de son temps.

Le lecteur est entraîné dans ce parcours exceptionnel, de la province de Barinas jusqu’aux plus hautes charges de la plus grande révolution d’après la guerre froide. Le portrait intime et politique rejoint ici l’épopée de la libération d’un peuple et de tout un continent.

514 pages

Référence : 978-2-37607-100-6

Chávez. L’homme qui défia l’histoire. Biographie

MODESTO E. GUERRERO

29 euros

Préface de Rémy Herrera, chercheur au CNRS, Centre d’Économie de la Sorbonne

Sur l’auteur :

Modesto Emilio Guerrero

Né à Paraguaná, Venezuela, en 1955. Journaliste et militant politique et social, député en 1982, il fut également représentant de l’Union nationale des travailleurs (UNT) jusqu’en 2006. En 2007, il a créé la section du parti chaviste PSUV à Buenos Aires. Son travail de diffusion de la pensée bolivarienne en Amérique latine l’a imposé comme une source d’informations reconnue pour la presse et les mouvements politiques et sociaux. Il est, entre autres, l’auteur de livres en espagnol Haiti, le dernier Duvalier, 1986. Panamá, Souveraineté et révolution, 1990. Reportages sur l’Amérique latine, 2007. Spécialiste des questions internationales, il écrit régulièrement pour le célèbre journal Página 12, de Buenos Aires et pour les revues Contra Editorial et Buenos Aires económico.

»» http://editionsdelga.fr/portfolio/modesto-e-guerrero/
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Depuis 1974 en France, à l’époque du serpent monétaire européen, l’État - et c’est pareil dans les autres pays européens - s’est interdit à lui-même d’emprunter auprès de sa banque centrale et il s’est donc lui-même privé de la création monétaire. Donc, l’État (c’est-à -dire nous tous !) s’oblige à emprunter auprès d’acteurs privés, à qui il doit donc payer des intérêts, et cela rend évidemment tout beaucoup plus cher.

On ne l’a dit pas clairement : on a dit qu’il y avait désormais interdiction d’emprunter à la Banque centrale, ce qui n’est pas honnête, pas clair, et ne permet pas aux gens de comprendre. Si l’article 104, disait « Les États ne peuvent plus créer la monnaie, maintenant ils doivent l’emprunter auprès des acteurs privés en leur payant un intérêt ruineux qui rend tous les investissements publics hors de prix mais qui fait aussi le grand bonheur des riches rentiers », il y aurait eu une révolution.

Ce hold-up scandaleux coûte à la France environ 80 milliards par an et nous ruine année après année. Ce sujet devrait être au coeur de tout. Au lieu de cela, personne n’en parle.

Etienne Chouard

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