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La vie tumultueuse de Marc Handise

Dicto : je s’aime à tout vendre

(Je viens de créer une "citation". )

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 Selon un rapport qui a été publié l’été dernier, l’élite mondiale a jusqu’à 32 milliards de dollars planqués dans des banques offshore autour de la planète.

 Il est estimé que l’ensemble du continent africain possède seulement environ 1 pour cent de la richesse totale du monde. Source

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La finale économique de Beethoven : Boom ! Boom ! Boom ! Boom ! 

Dire qu’il en est est qui se fouettent pour accéder à une sorte de "nirvana" religieux ! ... On a qu’à lire les "nouvelles". C’est suffisant pour avoir la peau écorchées comme un futur saint. Le cravaté, propre comme un saoul neuf, à genoux devant le PIB, disait que les gens de la planète, malgré l’enrichissement en entonnoir dans la richesse de quelques uns, AVAIT PROGRESSÉ. Ce qui signifierait que les riches répandent leur richesse et améliorent la vie des pauvres. En mondialiste dans le terme... En français dans la bouche-bée !

Ça à l’or !...

Et la "bulle" à nouvelles sort ses deux langues pour en rajouter : il y a 22 millionnaires de plus en Indonésie. Et quelques milliardaires de plus en France. On ne parle pas du Canada.

La belle symphonie !

Mais il faut donner un coup de pouce au cerveau ou bien un coup de pied, parce ce que ceux des économistes sont à l’envers : ils ont le cul dans le cerveau.

Si l’Indonésie a amélioré ses conditions de vie, c’est parce que les riches ont volé les terres et ont fait des gens de petits salariés. Alors, ils ont de quoi manger. Du moins pour certains. Car plusieurs vendent leurs reins à des malades des pays "développés".

Désaveuglons nous ! Je me ré-explique : avant ils avaient des terres, des forêts, des rivières, de l’or, bref, tout métaux précieux servant à la fabrication de ces merveilles tactiles. Le canola en monoculture, et la télévision par satellite en monoculture. Avant, il ne leur manquait qu’une petite organisation pour améliorer leur sort.

Mais, sont venus les Big-Bang de la globalisation....

Pendant ce temps au pays des vermeilles

Pendant ce temps, au pays des vermeilles, le Canada est le deuxième plus grand consommateur d’antidépresseur de la planète. Alors, notre "French Canadian", Marc Handise se serre la ceinture au point de relier son prénom et son nom : MarcHandise.

Il y a eu 9 suicide dans les forces armées canadiennes en quelques semaines. À croire que l’armée canadienne fait plus de victime dans son propre pays qu’à la guerre. Et pourtant, le Canada ne défend pas son pays... Il suit le petit sac brun étasunien, prix Nobel de la paix...

La maison bleue 

Au temps où la Terre était grande, il y en avait pour tout le monde. Personne ne songeait à "avoir". Nous parlons de répartition de richesses. Mais dans la petite maison bleue qui dépasse cette créature bien étrange dite à l’image de "dieu", il en est qui veulent tout.

C’est comme si les enfants du monde voulaient tous les seins des femmes qui habitent ce monde. Mais bien plus encore : acheter les femmes pour leurs seins. La nourriture des riches est bien étrange ! Il y a comme un vide d’amour et d’empathie, de foi louche, à la fois surprenante et inquiétante.

Tout ! Oui. Tout. Tout. Tout.

Un drôle de progrès

On peut bien se rebeller contre le fait que l’on tue des animaux pour manger. C’est ce que font les Nénètes en Sibérie, et il n’y pas si longtemps les Marc Handise du Québec pour survivre.

C’est bien cruel !...

Mais ce qui l’est encore plus c’est d’utiliser les humains fabricants de marchandises à touts les "foi" pour le détruire. Car il est détruit par la foi en un système qui "améliore sa vie". Ah !

Je sais. Je suis au chaud pendant que dehors il fait -22 C.

Il faudra un Einstein centré vers le développement humain plutôt que sur la matière. On ne mange pas de E=mc2.

Alors que faut-il pour être "heureux" ?

Justement, les riches ont trouvé la formule : vous faire croire qu’ils le sont et que tout va bien.

Le garage

Si la Terre est un garage, mon garage est la Terre.

En y entrant, je me suis dit que j’avais ramassés tant de "biens" inutile que ça me faisait mal de le regarder : Car j’avais acheté tout ça pour être "heureux". J’ai eu envie de mettre le feu dedans un jour.

Mais, il suffit d’attendre... Il n’y a pas de pompiers pour les vues à long terme. Les politiciens passent, les riches meurent pauvres... Pendant ce temps, je suis pris avec mon garage. Au fond, j’essaye de raconter l’histoire de quelqu’un, mais je suis Marc Handise. Et j’ai peiné longtemps sans comprendre. Je n’apporterai pas mon micro Shure 57, mais au moins, j’aurais compris.

Terra-hôpital 

On apprend beaucoup des imbéciles. Le Québec dépense présentement 40% de son budget dans le "domaine" de la "santé". On prédit qu’en 2030 il en dépensera 70%.

À ce que j’ai pu constater, il n’y a pas un imbécile de médecin, de politicien, d’économiste pour nous tracer un raccourci de notre "progrès"... Il n’y aura plus que des malades et des "spécialistes" de la "santé"... C’est de la mathématique des enfants de six ans : Si t’as dix billes et que t’en donne 7, combien t’en reste-t-il pour "jouer" à la vie ?

À ce rythme là, en 2040, les infirmières construiront des hôpitaux dans leurs temps libre. Mais ce qu’elles ne savent pas, c’est qu’elles seront malades... Mais il y aura toujours des médecins, des conseillers financiers, des économistes pour les rassurer.

Et devinez qui sera le chef de chantier, le PDG, le Premier Ministre, Le Président - car on aura réuni toutes ces tâches en une seule pour ... "économiser -,

Marc Handise JR

Gaëtan Pelletier

22 janvier 2014

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Cuba, Fidel et le Che - ou l’aventure du socialisme
Danielle BLEITRACH, Jacques-François BONALDI
Voilà notre livre, il est enfin sorti de l’imprimerie, tout chaud comme un petit pain… Il faut que je vous explique de quoi il s’agit, comment se le procurer s’il vous intéresse et comment organiser des débats autour si bien sûr vous êtes en mesure de le faire… Danielle Bleitrach D’abord sachez que ce livre inaugure une collection du temps des cerises, collection qui portera le nom "aventure du socialisme" Je reviendrai sur cette idée du socialisme comme aventure. L’idée (…)
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Que ce soit bien clair : nous avons commis des erreurs, évidemment. Et nous en commettrons d’autres. Mais je peux te dire une chose : jamais nous n’abandonnerons le combat pour un monde meilleur, jamais nous ne baisserons la garde devant l’Empire, jamais nous ne sacrifierons le peuple au profit d’une minorité. Tout ce que nous avons fait, nous l’avons fait non seulement pour nous, mais aussi pour l’Amérique latine, l’Afrique, l’Asie, les générations futures. Nous avons fait tout ce que nous avons pu, et parfois plus, sans rien demander en échange. Rien. Jamais. Alors tu peux dire à tes amis "de gauche" en Europe que leurs critiques ne nous concernent pas, ne nous touchent pas, ne nous impressionnent pas. Nous, nous avons fait une révolution. C’est quoi leur légitimité à ces gens-là, tu peux me le dire ? Qu’ils fassent une révolution chez eux pour commencer. Oh, pas forcément une grande, tout le monde n’a pas les mêmes capacités. Disons une petite, juste assez pour pouvoir prétendre qu’ils savent de quoi ils parlent. Et là, lorsque l’ennemi se déchaînera, lorsque le toit leur tombera sur la tête, ils viendront me voir. Je les attendrai avec une bouteille de rhum.

Ibrahim
Cuba, un soir lors d’une conversation inoubliable.

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