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Tunisie : Chapeau bas et Merci, Monsieur le Constituant Samir Taieb !

Déclaration que le Constituant Samir Taieb a adressée, les yeux dans les yeux, au Ministre Tunisien de l’Enseignement Supérieur, Moncef Ben Salem, le vendredi 30 mars 2012 à l’Assemblée Nationale Constituante, lors du Débat avec le Gouvernement qui a eu lieu à ladite Assemblée, Débat ayant eu pour sujet « la Situation Sécuritaire dans le Pays » et pendant lequel ont été évoqués les incidents survenus à la Faculté des Lettres, des Arts et des Humanités de la Manouba (FLAHM) :

« Le Ministre de l’Enseignement Supérieur fait partie de ceux qui refusent le dialogue, qui n’aiment pas le dialogue, qui ne discutent pas avec ceux qui ne pensent pas comme eux. Il ne dialogue ni avec les professeurs, ni avec les étudiants. Il choisit son camp (politique) avant le déroulement des élections (des Représentants des étudiants dans les Conseils Scientifiques des Etablissements Universitaires). Il choisit qui défendre avant même que la crise ne s’amplifie : les niqabées (les étudiantes qui portent le niqab) et ceux qui les soutiennent) (…). Moi je dis : n’y a pas de place dans ce gouvernement, ni, d’ailleurs, dans n’importe quel gouvernement révolutionnaire, pour un ministre qui n’accepte pas le dialogue. Pour tout cela, je dis, Monsieur le Ministre, que vous avez échoué avant même de commencer. Et donc je vous demande de partir, Monsieur le Ministre ».

Salah HORCHANI

Professeur à la Faculté des Sciences de Tunis

URL de cet article 16245
   
Donde Estan ? ; Terreurs et disparitions au Pérou (1980-2000)
Daniel Dupuis
La pratique des arrestations illégales, des tortures et des exécutions en dehors de tout procès régulier puis de la dissimulation des dépouilles (d’où le terme de « disparus ») est tristement célèbre en Amérique latine où les dictatures ( l’Argentine de la junte militaire, le Paraguay dirigé par le général Alfredo Stroessner, le Chili tenu par Augusto Pinochet...) y ont eu recours. De 1980 à 2000, sous un régime pourtant démocratique, l’armée du Pérou n’a pas hésité à recourir à la terreur (…)
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"Une petite fille dans la rue, en robe jaune, qui allait souvent chercher des bonbons et autres auprès des soldats américains. Un jour un char passe et pour une raison inexplicable, un tireur sort du char américain et abat la petite fille. Il y a tellement d’incidents de ce genre"

Julian Assange - Wikileaks
interviewé sur Democracy Now, donnant un exemple des crimes commis en Irak et révélés par Wikileaks

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