Alors que les violences meurtrières qui frappent le pays depuis février 2014 sont le fait de l’opposition, les médias occidentaux persistent à accuser le gouvernement démocratique de Nicolás Maduro.
Washington refuse toujours d’agir pour empêcher les groupuscules de l’extrême droite cubaine de Floride de planifier des attentats contre l’île.
L’organisation française prétend défendre uniquement la liberté de la presse. En réalité, derrière cette noble façade, se cache un agenda politique bien précis.
Les médias occidentaux présentent la décision du Tribunal Suprême de Justice de soumettre le droit à manifester à l’obtention d’une autorisation préalable comme une atteinte aux libertés fondamentales. Or, ce principe est en vigueur dans la plupart des démocraties occidentales.
Que se passerait-il si l’opposition vénézuélienne était française ? Le cas de la députée María Corina Machado est révélateur car la justice de France serait implacable à son égard.
L’organisation de défense des droits humains a adopté une position partisane sur le Venezuela où le gouvernement constitutionnel et l’opposition putschiste responsable des violences meurtrières sont mis dos à dos.
Depuis le triomphe de la Révolution bolivarienne au Venezuela avec l’élection du Président Hugo Chávez en 1998 (jusqu’à 2013) et la victoire de son successeur Nicolás Maduro en 2013, El País, principal quotidien espagnol et leader d’opinion, a délaissé l’impartialité dans le traitement de la réalité de ce pays. Pis encore, le journal espagnol a abandonné le journalisme équilibré et nuancé au profit d’une critique systématique et à sens unique du pouvoir démocratiquement élu de Caracas.
Le leader historique de la Révolution cubaine a marqué à jamais l’Histoire de Cuba et de l’Amérique latine, faisant de son pays un symbole de dignité et de résistance.