Retour sur la tragédie de Lac-Mégantic (Québec, Canada) en 2013 et sur son origine.
Il n’a échappé à personne que l’élection présidentielle française s’est soldée par la confirmation des prévisions des instituts de sondage, qui prédisaient depuis plusieurs mois déjà un duel Macron/Le Pen au second tour. Il n’était pourtant pas du tout certain que ce scénario survienne, car l’évolution des tendances des dernières semaines avait mis en place une course à quatre d’autant plus serrée que la différence entre la 1ère et 4ème place n’a divergé que d’à peine 4%.
C’est décidément comme une traînée de poudre que nous avons assisté à l’ascension du candidat Trump jusqu’à la présidence des États-Unis (ÉU). C’est pourtant contre l’avis du parti républicain et de son établissement que le sulfureux millionnaire s’est cru autorisé de se payer (à ses frais) cette étonnante croisade jusqu’à la Maison Blanche.
Le sujet fait polémique et les occasions n’ont guère manqué, car au moins 4 ou 5 fois par année à Montréal nous apprenons qu’un commerce se fait vandaliser en raison de cette question. J’ai bien sûr eu l’occasion de polémiquer sur le sujet à plusieurs reprises, mais je n’avais jamais perçu ce débat autrement que comme une erreur tactique due au manque d’expérience de certains militants trop épris de sensations fortes.