Parmi tous ceux qui défilent le 1er mai, combien savent vraiment ce pour quoi ils manifestent ? Outre le fait que ce jour commémore le combat ouvrier, saviez-vous que celui-ci tire ses origines d’un des principaux combats syndicaux du 19e siècle, soit celui de la limitation de la journée de travail à 8h ?
Le 26 janvier dernier, Radio-Canada annonçait « Victoire de la gauche radicale en Grèce, un ras-le-bol de l’austérité[1] », ce qui, pour certains, dont moi-même, devait être un petit moment de plaisir, considérant le type de nouvelles qu’on nous habitue à entendre.
Petite devinette : « Le mouvement est au moins aussi vieux que l’ensemble du mouvement social. Il concerne une légère majorité du genre humain et est un élément de plus en plus polémique du débat public tout en faisant de plus en plus consensus dans cette même société » ?
Ça faisait quelque temps déjà que la nouvelle flottait dans l’air, mais depuis peu cela est maintenant officiel. Le Parti communiste du Québec (PCQ) abandonne son statut de collectif au sein de Québec solidaire (QS) afin d’embrasser sa pleine liberté.
Comme chaque onze septembre, le marronnier états-unien sur le terrorisme international s’enclenche, histoire de ne pas oublier que les restrictions liberticides du Patriot Act (qui nous touche aussi) sont faites pour notre bien et que Big Brother veille sur nous...