En ces temps troublés, il arrive que les faits ne collent pas toujours aux commentaires que nous en entendons dans notre entourage. Ce qui génère cette vision fautive provient généralement du commentaire journalistique relayant ce que l’on appelait « propagande » et que les autorités préfèrent maintenant qualifier pudiquement de « relations publiques ». Enfin, peu importe le nom qu’on lui donne, il n’en reste pas moins que ce colportage d’excuses, ayant pour objet de rendre acceptables des actions qui ne mériteraient que d’être condamnées, est repris en masse et contamine l’esprit trop peu critique de nos compatriotes.