Israël était en négociation avec le Hamas pour les otages. Israël tue le négociateur.
Caitlin Johnstone revient sur des événements marquants de la semaine, avec notamment des révélations sur le 7 octobre, le débat présidentiel entre Biden et Trump ou encore le nombre de morts à Gaza largement sous-estimé selon une prestigieuse revue médicale.
Á de rares exceptions, les générations contemporaines occidentales ne savent pas ce que vivre sous occupation veut dire. Et savent encore moins ce que signifie vivre en temps de guerre. Les seules approches qu’elles en ont se résument aux quelques reportages de médias sous contrôle des autorités qui y appliquent une censure en fonction de l’origine des images. Leur connaissance en est donc biaisée.
Dans le Contrat de législature du Nouveau Front Populaire on trouve, entre autres :
– "Agir pour la libération des otages détenus depuis les massacres terroristes du Hamas, dont nous rejetons le projet théocratique, et pour la libération des prisonniers politiques palestiniens"
suivi de
– "Permettre l’organisation d’élections libres sous contrôle international pour permettre aux Palestiniens de décider de leur destin".
Si elles étaient correctement rapportées, deux audiences judiciaires d'une importance cruciale tenues cette semaine à Londres et à La Haye feraient apparaître l'"ordre fondé sur des règles" des États-Unis comme une imposture.
La plage du débarquement en Normandie nous fait, 80 ans après, irrésistiblement penser au sable de la bande de Gaza. Pourquoi ?
La résistance palestinienne qualifie l’opération de “crime de guerre grave” & précise que Tsahal a tué un certain nombre d’otages restants au cours d’un massacre qui fait plus de 200 morts.