Auteur Viktor DEDAJ

La Vie des Bêtes (pour une approche anthropomorphique des sciences socio-politiques)

Viktor DEDAJ
Vous aimez les documentaires sur les animaux ? Oui ? Vous avez raison. C’est quand même fou ce que l’on peut apprendre en suivant les évolutions cocasses de ces etres inférieurs, tellement inférieurs. Nous savons, grâce au bon père Darwin, que ça n’a pas été une tache facile pour Mère Nature que d’arriver là où nous en sommes. Car à l’origine il n’y avait que le Cloaque. Et c’est de ce cloaque qu’ont surgi principalement deux choses : la vie (encore balbutiante) et le fast-food américain (…)

Bienvenue à Cuba.

Viktor DEDAJ
Bonjour, A priori, nous ne nous connaissons pas. Nous avons pourtant de nombreuses choses en commun. Par exemple, nous pensons que le monde est injuste (excusez-moi de choisir un terme aussi terne, mais nous nous comprenons, n’est-ce pas ?). Nous rageons de voir les puissances se complaire dans l’impuissance lorsqu’il s’agit de régler des problèmes qui seraient des priorités dans un monde parallèle, fait de gens sensés, concernés, normaux quoi. Nous rageons de voir les mêmes puissances (…)

CUBA : J’AI ENCORE REVE D’ELLE

Viktor DEDAJ
Ca vous arrive de rêver ? Je veux parler des rêves pendant le sommeil, de vrais rêves quoi. Ceux dont on se souvient au réveil (parce que les autres, hein, autant les oublier). Il parait que la majorité des hommes de sexe masculin font des rêves à caractère érotique. Personnellement, je suis scandalisé par une telle affirmation qui constitue une agression frontale contre notre dignité et n’est certainement que l’oeuvre d’une bande de féministes tyranniques. En tant que militant politique (…)

L’art de tomber du coté où on penche. (Parlons Cuba, car on pourrait bien nous entendre - air connu)

Viktor DEDAJ
Vous aimez les tests ? J’espère que oui. Tentons celui-ci avec lequel je remporte à franc succès à chacun de mes dîners mondains. Prenez un pare-terre de citoyens occidentaux, honnêtes (comme il se doit), politiquement conscients (comme ils se croient) et intelligents (comme ils se voient). Attendez le moment propice, puis lancez d’une voix ferme mais retenue la question suivante "y’a-t-il un démocrate parmi nous ?". Ils vous regarderont comme des Républicains qui découvriraient que (…)

De la Rebellion Occidentale à la Dissidence Cubaine

Viktor DEDAJ
Pensez-vous que je sois un dissident ? Oui ? Vous avez tort, car je suis un rebelle. Yeah ! Les mots ici ont toute leur importance. Mais le plus important, c’est de provoquer le plus grand écart possible entre la signification première du mot et la réalité du terrain. Ca s’appelle tout bêtement de la propagande. Moi, comme vous, je suis "contre", n’est-ce pas ? On va pas passer en revue la liste des "contres" alors pour faire court disons que nous sommes bien d’accord. Précisons, pour (…)

All We Are Saying is Give Cuba a Chance

Viktor DEDAJ
"Sur une vieille photo prise pendant la deuxième guerre mondiale, on voyait un homme anonyme vêtu d’une chemise blanche attaché à un poteau. Devant lui, un peloton d’exécution nazi le tenait en joue, prêt à tirer. L’homme à la chemise souriait. Je me suis longtemps demandé pourquoi il souriait." Bonjour, Saviez-vous, bande d’ignares, que la France avait la particularité d’avoir la Droite la Plus Bête du Monde ? Non ? Vous devriez pourtant. La Gauche française vous l’a maintes fois répété (…)
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Pour sauver la planète, mangeons les pauvres (ou les Confessions d’un riche après le sommet de Johannesburg)

Viktor DEDAJ
Je hais les pauvres. Vous aussi, non ? Comme je vous comprends. De notoriété publique, les pauvres sont sales et sentent mauvais. Tout petit déjà , j’en avais acquis la certitude lorsqu’un jour ma mère rappela à l’ordre la nourrice africaine qui n’avait pas stérilisé correctement mon biberon. C’est vous dire si ça ne date pas d’hier. Depuis le sommet de Johannesburg, et grâce à l’extraordinaire travail des média occidentaux, j’ai désormais une raison de plus de les haïr : ils polluent la (…)

Lettre ouverte à certains intellectuels Cubains (et petite passe d’armes avec Zoé Valdés)

Viktor DEDAJ
Bonjour. J’espère que je ne vous dérange pas dans votre réflexion. Je vous ai vu l’autre soir à la réception offerte par une fondation européenne en mal de charité (et de bonnes affaires). Au fait, j’ai bien aimé la chemise à fleurs que vous portiez, vous l’avez achetée dans une tienda ? Peu importe. Vous étiez, comme d’habitude, le centre des conversations feutrées. Un oiseau rare tropical posé sur la branche sèche des sentiments occidentaux. Les regards discrets que vous lançaient ces (…)