Certains pensent que c’est par erreur qu’il aurait dérapé. En particulier ceux qui ont voté pour lui par défaut au deuxième tour.
Qu’ils se détrompent :
C’est le toréro découvrant la muleta derrière la cape et la montrant au toro, quand le toro est bien à point pour son sacrifice.
Ca signifie : "Vous avez cru y échapper en ne votant pas le Pen et en votant pour moi au lieu de vous abstenir. Tout ça par "peur" irrationnelle de MON épouvantail.
Mais vous aviez tout faux... Et vos traîtres de dirigeants politiques aidés des picadors des médias vous ont bien drivés vers où je le leur ai demandé".
"Je suis le même que "celle" dont vous aviez peur, mais je vous ai bien baisés. Et maintenant c’est moi le patron".
Comme quoi, en politique comme à la guerre, (C’est la même chose mais ceux qui y ont intérêt ont "oublié" de vous l’apprendre), ceux qui refusent le combat par "peur" de la guerre, non seulement ne gagnent jamais aucune guerre, mais ont - et la guerre - et le déshonneur de la défaite.
Merci à Emmanuel pour la leçon de Travaux Pratiques socio-politiques.
Et à Méluche d’avoir sauvé notre honneur, (Et le sien), en prônant l’abstention.
Même s’il ne l’a, (peut-être), pas fait exprès. ((- :
Bien que je n’ai pas trop d’espoir on va voir dans peu dans les urnes des Législatives si la leçon a été "comprise"...