Autrefois les conquêtes visaient à occuper des territoires, s’approprier des richesses, soumettre physiquement les populations. Soumission des hommes à un ordre étranger qui ne concernait que leur corps et leurs biens. L’on pouvait être esclave et en même temps rester libre spirituellement et moralement. Aujourd’hui les forces qui s’exercent sur les peuples devenus quasi imperceptibles, les vrais pouvoirs n’apparaissent plus sur le devant de la scène, ils s’exercent de façon souterraine, dans les coulisses, au sein de fraternités occultes. Désormais presque toujours, à de rares exceptions près, dirigeantes et politiques ne sont plus que des exécutants, voire de simples marionnettes au service des véritables maîtres et décideurs… lesquels demeurent dans l’ombre, ignorés et inconnus du grand public. Hollywood, propagande noire et guerre terroriste
Les seules frontières réelles qui existent en ce moment sont celles entre les dirigeants et les peuples. Le reste est une machinerie sournoise, souterraine, aussi bêtement mais savamment tressée qu’un tapis fait à la machine.
La machine a servi l’homme à adoucir son labeur.
La machine de guerre économique est en train de s’appareiller en « mode sniper », de manière à se débarrasser des travailleurs en en faisant des masses mobiles, nouvel esclave de l’ère moderne.
La ruse et les artifices- quoiqu’ayant toujours existés – sont poussés à un extrême tel que les citoyens sont charcutés, à la fois endoctrinés aux dogmes souterrains.
Quantité VS qualité
Les quantités « d’informations » véhiculées chaque jour par les médias des pays ne font que chloroformer le citoyen : il confond quantité et qualité. L’information (sic) est également livrée à la rentabilité, figée, docile et – surtout- incapable de suivre le flot volontairement, sciemment trafiquée.
Les rats ont pris le pouvoir.
Les rats s’agitent, sont « propagandés » par une race fourbe, terrée.
Vous croyez – en étant soldat – défendre des « valeurs » ?
Vous croyez – en étant enseignant – défendre des valeurs ?
Vous croyez – en étant médecin – améliorer la santé des gens ?
Rien n’est simple…
La recette du sorcier ne tire plus le venin du serpent : elle en déchiffre la recette et la vend en barils.
Comme le pétrole.
On a multiplié les dieux… Mais ils ne sont plus que des Satan déguisés.
Bienvenue dans l’enfer du déguisement et de l’Hollywood-Halloween.
Cinéma.
Écran.
De fumée…
Résultat : l’humain Pinocchio
Voilà notre « humain » malmené, endoctriné dans des croisades brumeuses : Il est si aveugle – ou « mal voyant », - qu’il ne voit plus le bout de son nez.
Travailleur temporaire-permanent ( re-sic), athée, religiosé, ensommeillé, victime de la multiplication des cordes de moins en moins apparentes, chimifié à la merdouille d’une cuisine aux ingrédients pré-Monsanto, livré aux saveurs du mois, nègre acolore, livide, engourdi, il sait tout. Il sait tout. Car savoir « beaucoup » signifie connaître. C’est le tour de force de la croisade des rats mondialistes souterrains.
Il n’y a que les ignorants qui savent tout.
La science « a raison ». C’est bien le dogme le plus insidieux des guerres qui ne sont pas « déclarées ».
On lui vend du savoir contrôlé, utile pour la multiplication des compagnies à numéros, des énormes entreprises qui peuvent acheter les terres, la foi, et rendre les cordes aussi invisibles que les chasseurs furtifs de l’armée étasunienne.
Viol des terres, rasage des forêts, siphonnage des liquides brûlants pour faire rouler de l’orgueil sur quatre roues, méga organisations supposément humanistes. Souvent infiltrées…
Tout ça !
Tout ça !
Tout ça !
Et plus encore, toute notre ignorance de par les mouvements insidieux fait en sorte que nos connaissances des rats de guerre ne peuvent nous permettre de gagner une guerre et de nous humaniser. Ils ne sont pas dirigés vers le but d’un humanisme « amélioré », mais vers une réussite matérielle garants d’une survie…
Une survie.
De sorte que chacun est maintenant devenu un travailleur étranger dans son propre pays.
Les soldats « debout-assis »
“I am against the war. And I am gonna kill those who are for.” Gaëtan Pelletier
« Mais, Reine Rouge, c’est étrange, nous courons vite et le paysage autour de nous ne change pas ? » Et la reine répondit : « Nous courons pour rester à la même place. »
Ce court extrait d’Alice au pays des merveilles nous éclaire sur le processus dynamique tendant au chaos qu’est l’homme, une idée mise en avant par le biologiste Leigh van Valen qui postule que dans un groupe d’organismes soumis à la concurrence, l’effort d’adaptation est sans cesse renouvelé ce qui conduit inéluctablement à un processus incessant de constuction/destruction des civilisations, le mythe de Sisyphe revisité. Gilles Bonafi
On pourrait jour à « Qui est Pinocchio ? »
Jouons à « Tout est beau ! ».
La masse d’objets virtuels ( souvent à crédit), la masse des réussites personnelles réelles, sont-elles aussi exactes que l’apparence dans laquelle nous sommes noyés et dans laquelle nous nous acharnons et nous dévouons ?
Quand les rats de guerre détruisent un pays, les citoyens déménagent. Ils deviennent alors un problème de société.
Toute industrie mondialiste – agglutiné au pouvoir, sinon le contrôlant -, déstabilise tout l’ordre mondial, les petites sociétés, les petits pays, les groupes qui font la beauté et la différence de ce monde par « dommages collatéraux ».
Belle appellation !
Tout le jeu consiste à faire croire à nos réussites personnelles oubliant la réussite sociale.
Nous savons opérer un cœur malade.
Nous ne savons pas gérer un virus.
Bref, nous sommes forts en mécanique. Mais nous sommes nuls en ce qui concerne la vie.
Nous sommes allés sur la lune.
C’est notre réussite planétaire… Ce « nous » est une autre manière d’utiliser l’individualisme et le confondre dans une réussite par laquelle il aurait contribué. De loin…
Belle salade !
L’avenir des rats
Celui qui a le pouvoir de tresser les cordes d’un enfant de bois a tous les pouvoirs. Il l’immobilise et le contrôle sans le faire réellement bouger. Il lui fait croire qu’il est « vivant ».
Le « je » est un nous malheureusement de moins en moins « vivant ». Il est lentement – comme au ralenti – dentelé dans une mécanique de plus en plus insondable.
Nous sommes mécanisés.
Et c’est là le cœur de notre échec. Car nous ne connaissons plus notre créateur.
Les vantards des athées de « dieu » sont perdus mais croient être sauvés.
Restez athées !
Restez athées !
Les dieux auxquels ils sont fidèles sont les nouveaux prêtres sanglants intérieurs.
C’est bien plus naïf que de croire que ce monde s’est fait en 7 jours.
Peu importe…
Lire dans l’œil de G.W. Bush, c’est être illettré.
Prenez un paysan… Prenez ces gens simples qui ne savent pas trop comment expliquer tout ce monde devenu incompréhensible.
Les rats utilisent ceux qui vivent bien simplement.
C’est le plancher sur lequel se construit la belle demeure des rats qui se servent d’eux pour en faire des soldats.
Et les nouvelles armes sont les idées.
Si on pouvait faire la somme de tous ceux qui ont souffert ou sont décédés par n’importe laquelle foi vendue à travers l’Histoire, on aurait besoin de déterrer toutes les mains de tous ceux qui sont passés par cette vie. Rien que pour compter sur leurs doigts…
Gaëtan Pelletier
29 juin 2013
P.S. : Un certain Jésus a dit : « La foi soulève les montagnes ».
Dans notre monde moderne, on a bien compris le message : une fois que la montagne est soulevée , on sort les machines pour se servir de cette amoncellement aux fins d’enterrer les cadavres dans des fosses communes.
Au rythme où sont passé les guerres depuis la « création », la Terre est une sorte de fosse commune.
Ils ont ensuite inventé la formule : « Vivre, c’est mortel »