Bruxelles, Belgique, 5 décembre 2005.
Greenpeace demande à l’Union Européenne de stopper la libéralisation du commerce dans le secteur forestier lors de la prochaine Conférence de l’OMC, suite à la publication aujourd’hui d’une étude d’impact commandée par la Commission. Cette étude montre qu’une libéralisation accrue du commerce du bois risque d’amplifier la destruction des forêts primaires et d’augmenter l’abattage illégal et non-soutenable du bois, en particulier dans les pays les plus pauvres où la gouvernance est faible. L’étude recommande une approche précautionneuse et suggère à l’UE un certain nombre d’options, notamment des mécanismes de réglementation du commerce, pour atténuer les effets négatifs de la libéralisation.
– Lire l’ article : www.greenpeace.org
« Kyoto mon amour », par Daniel Tanuro.
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Spécial OMC : La suppression des subventions ne mettrait pas fin à la pauvreté.<BR>
L’agriculture familiale contre l’agro-industrie au Brésil, par Marcela Valente et Mario Osava - IPS
Croissance productiviste, plus dure sera la chute, par François Iselin.
Les biocarburants, une avancée écologique ?<BR>
Pas sûr.<BR>
Les forêts tropicales en pâtissent, par Fred Pearce - New Scientist.
Pourquoi il n’y a plus de gorilles dans le Grésivaudan. Le téléphone portable, gadget de destruction massive, par PMO.
– Photo : Daniel Beltrá © Greenpeace / Daniel Beltrá
Uruara Bresil : grumes d’acajou, issues de l’exploitation forestière illégale, saisies par Greenpeace et le gouvernement brésilien.