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La libéralisation du commerce détruit les forêts primaires, révèle une étude commandée par l’Union Européenne.




Bruxelles, Belgique, 5 décembre 2005.


Greenpeace demande à l’Union Européenne de stopper la libéralisation du commerce dans le secteur forestier lors de la prochaine Conférence de l’OMC, suite à la publication aujourd’hui d’une étude d’impact commandée par la Commission. Cette étude montre qu’une libéralisation accrue du commerce du bois risque d’amplifier la destruction des forêts primaires et d’augmenter l’abattage illégal et non-soutenable du bois, en particulier dans les pays les plus pauvres où la gouvernance est faible. L’étude recommande une approche précautionneuse et suggère à l’UE un certain nombre d’options, notamment des mécanismes de réglementation du commerce, pour atténuer les effets négatifs de la libéralisation.

 Lire l’ article : www.greenpeace.org



« Kyoto mon amour », par Daniel Tanuro.


OMC et Agriculture : ruine et exode rural pour des millions de paysans du Sud, par Meena Raman.

Spécial OMC : La suppression des subventions ne mettrait pas fin à la pauvreté.<BR>
L’agriculture familiale contre l’agro-industrie au Brésil, par Marcela Valente et Mario Osava - IPS

Croissance productiviste, plus dure sera la chute, par François Iselin.

Les biocarburants, une avancée écologique ?<BR>
Pas sûr.<BR>
Les forêts tropicales en pâtissent, par Fred Pearce - New Scientist.


Pourquoi il n’y a plus de gorilles dans le Grésivaudan. Le téléphone portable, gadget de destruction massive, par PMO.



 Photo : Daniel Beltrá © Greenpeace / Daniel Beltrá
Uruara Bresil : grumes d’acajou, issues de l’exploitation forestière illégale, saisies par Greenpeace et le gouvernement brésilien.


URL de cet article 3001
   
Roberto Saviano. Gomorra. Dans l’empire de la camorra. Gallimard, 2007.
Bernard GENSANE
Il n’est pas inutile, dans le contexte de la crise du capitalisme qui affecte les peuples aujourd’hui, de revenir sur le livre de Roberto Saviano. Napolitain lui-même, Saviano, dont on sait qu’il fait désormais l’objet d’un contrat de mort, a trouvé dans son ouvrage la bonne distance pour parler de la mafia napolitaine. Il l’observe quasiment de l’intérieur pour décrire ses méfaits (je ne reviendrai pas ici sur la violence inouïe des moeurs mafieuses, des impensables tortures corporelles, (…)
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On dit d’un fleuve emportant tout qu’il est violent, mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l’enserrent.

Bertolt Brecht

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