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L’oligarchie censure l’alternative pour mieux museler le Peuple.

Que retenir de cette « campagne » de la primaire de la droite... Voyons, alors Juppé, Fillon, bonnet blanc et blanc bonnet. Pendant ce temps le FN écume les plateaux...En gros, pour les médias vendus à l’oligarchie et au capital, pas de place pour une moindre alternative...

On gave les téléspectateurs, auditeurs et lecteurs de breuvage ultra-libéral et pour mieux légitimer de telles visions archaïques, on fait appel à l’extrême droite, agitée telle une menace si on n’écoute pas le diktat voulu par les puissants. Et surtout on ne parle pas de l’alternative crédible qui est proposée : elle dérange trop l’ordre établi. }

L’indépendance de la presse, établie par le programme du Conseil National de la Résistance, n’est plus qu’un lointain souvenir. Les milliardaires s’en frottent les mains. Les gros titres sont sur leur programme préétabli de longue date, pas de place pour l’alternative et le peuple.

Qu’en est-il de la démocratie, dès lors que la censure médiatique efface de ses écrans, de ses ondes et de ses journaux la voix de ceux qui portent cette alternative ? Elle s’estompe peu à peu. Et la monarchie élective grandit, car elle promeut ses « champions » et oriente le choix des citoyens. Pauvre, pauvre République ! Regarde ceux qu’ils font de toi ! Tous complices d’un crime d’autoritarisme.

Ces oligarques parlent d’une démocratie délaissée par les citoyens. Se rendent-ils compte que c’est eux qui n’en respectent pas les règles en voulant rester entre eux qui déçoivent la grande majorité silencieuse et grossissante : les abstentionnistes ? Bref il est temps que tout ceci prenne fin pour qu’enfin vienne l’Ere du Peuple.

Il est temps qu’ils acceptent le débat, le vrai en laissant la parole à ceux qui portent l’alternative à leur système. La France Insoumise a aussi droit à la parole, car au travers des syndicalistes, lanceurs d’alertes, associatifs, chercheurs, militants et surtout citoyens qui la composent, elle a des choses à dire, un programme à développer. Et oui, messieurs les puissants, il est temps d’accepter le jeu démocratique, le vrai ! Et de laisser la parole à tous ! Pas seulement à ceux qui vous arrangent !

Il est temps qu’ils acceptent d’écouter le Peuple qui en a marre de leurs magouilles et de leur jeu de dupe. Le « Si ce n’est pas nous, vous aurez le F-Haine » n’a que trop duré ! Et ne prendra plus. Le Peuple doit avoir son mot à dire et pour ça il doit être conscient de l’ensemble du choix qu’il a pour 2017, y compris la chance de reprendre son destin en main. La révolte qui gronde en son sein, a le droit de s’exprimer. Laissez ce peuple libre de son choix dans les urnes !

Personnellement, je ne suis qu’un petit militant syndical et politique, et je crois en l’alternative que nous portons, comme y croient mes amis syndicalistes comme Karine, Catherine, Lionel, Mehdi, Laurent, Philippe et tant d’autres, ou la lanceuse d’alerte Céline. Nous croyons tous que cette campagne peut être celle de l’alternative et du Peuple, au travers de notre candidat, Jean-Luc Mélenchon, du programme « L’avenir en Commun » et ceux qui seront les candidats aux législatives.

Mesdames et Messieurs des médias, arrêtez d’étouffer la parole de ceux qui dérangent l’oligarchie et jouez réellement le jeu de la Démocratie. Quant à ceux qui croient en cette alternative, leur heure est venue, ils ne veulent pas porter notre parole, soyons nos propres médias ! Par le bouche à oreilles, nous grossissons nos rangs !

Continuons, luttons, exprimons-nous ! La victoire se joue dès maintenant ! La 6ème République que nous défendons est a portée de main !

Kevin KIJKO

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« Cuba mi amor », un roman sur le Che de Kristian Marciniak (Rebelion)
Leyde E. Rodri­guez HERNANDEZ
Publié chez Publibook, une maison d’édition française, le roman de Kristian Marciniak : « Cuba mi amor » circule dans Paris ces jours-ci. Dans un message personnel adressé au chroniqueur de ce papier, l’auteur avoue que Cuba a été le pays qui lui a apporté, de toute sa vie, le plus de bonheur, les plus grandes joies et les plus belles émotions, et entre autres l’orgueil d’avoir connu et travaillé aux côtés du Che, au Ministère de l’Industrie. Le roman « Cuba mi amor » est un livre (…)
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"L’un des grands arguments de la guerre israélienne de l’information consiste à demander pourquoi le monde entier s’émeut davantage du sort des Palestiniens que de celui des Tchétchènes ou des Algériens - insinuant par-là que la raison en serait un fonds incurable d’antisémitisme. Au-delà de ce qu’il y a d’odieux dans cette manière de nous ordonner de regarder ailleurs, on peut assez facilement répondre à cette question. On s’en émeut davantage (et ce n’est qu’un supplément d’indignation très relatif, d’ailleurs) parce que, avant que les Etats-Unis n’envahissent l’Irak, c’était le dernier conflit colonial de la planète - même si ce colonisateur-là a pour caractéristique particulière d’avoir sa métropole à un jet de pierre des territoires occupés -, et qu’il y a quelque chose d’insupportable dans le fait de voir des êtres humains subir encore l’arrogance coloniale. Parce que la Palestine est le front principal de cette guerre que l’Occident désoeuvré a choisi de déclarer au monde musulman pour ne pas s’ennuyer quand les Rouges n’ont plus voulu jouer. Parce que l’impunité dont jouit depuis des décennies l’occupant israélien, l’instrumentalisation du génocide pour oblitérer inexorablement les spoliations et les injustices subies par les Palestiniens, l’impression persistante qu’ils en sont victimes en tant qu’Arabes, nourrit un sentiment minant d’injustice."

Mona Chollet

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