L’establishment et les trumpistes se livrent un combat pathetico-comique qui me ferait rire si il n’y avait pas de risque que tout cela ne se transforme en guerre. Réjouissons nous tout de même de voir le soft power américain prendre une claque dans la gueule depuis la dernière élection où les deux candidats n’ont jamais autant haï à travers le monde. Vaut mieux cela qu’un Obama qui avec son sourire ultra bright, son côté cool à la Eddy Murphy et son Nobel de la paix à déclenché un nombre effroyable de guerre sans suscité la moindre réprobation médiatique.