DIXIT le Yannis : écrivain-rédacteur plus ou moins anonyme travaillant sur commande.
Ah, ah ? C’est çui qui dit qui l’est ?
Une chose est certaine, crachée, jurée : en ce qui me concerne, je ne parle qu’en mon nom et selon mon seul fil conducteur jour après jour sans le moindre lien avec la France Insoumise.
J’ai souvent l’impression que des "postillonneurs" s’incrustent délibérément parmi nous pour jeter le trouble, instiller le doute, provoquer la discorde ou indiquer de sales choix. Et aussi nous faire disperser des forces rien qu’en leur répliquant. Le font-ils sur commande ou parce que c’est dans leur nature profonde de fouteurs de merde ou par sincérité idéologique d’extrême-droite ?
Ceci dit, "les jeunes" n’est pas une catégorie uniforme. L’apprentissage a été étendu à des écoliers post-bac. C’est une opportunité faite au patronat pour embaucher à pas cher. Il faut s’enlever de la tête l’apprenti de 15 ans qui se forme en mécanique auto, coiffure boulangerie...
"Les jeunes", il y en a chez les Macron, il y en a chez les Le Pen. Il y en aussi beaucoup qui se foutent totalement de la vie politique.
Je suppute que le patronat continue d’oeuvrer pour se faire payer ses formations internes à l’entreprise par l’argent public normalement dédié à l’instruction publique. Apprendre n’est pas l’apprentissage. Apprendre c’est l’émancipation. L’apprentissage c’est l’aliénation à une entreprise. C’est diamétralement opposé. Allez faire comprendre ça dans une époque où on a si bien fabriqué des cerveaux d’adultes, entre 20 et 40 ans, dans l’idéologie que le top du top de l’ambition c’est de savoir se vendre !!!!
Toute la droite est sur le pont à la chasse aux financements. L’enseignement catholique en tête, à racler tous les fonds de tiroirs, la taxe d’apprentissage pour les classes spécialisées et j’en passe. Ce sont des rapeçous, des calculateurs. La droite met une énergie phénoménale à reconquérir son terrain d’avant, être partout, tout infiltrer, capter la richesse produite et tout l’argent public, exploiter la nature et laisser les communes payer la voirie détériorée, les pollutions, et tous les dégâts de l’industrie.