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DOLORES une vie pour la liberté.

Energie d’un visage anonyme qui sort de la glaise...Dolores Prat.

Maîtresse de maison à huit ans, syndicaliste à quatorze, nommée secrétaire de la section textile de la C.N.T. (Confederación Nacional del Trabajo) en 1936, exilée, militante n’oubliant pas d’être une mère, grand-mère et arrière grand-mère aimante.

Parce que la justice sociale fut toujours au coeur même de son combat, ni la défaite du camp républicain, ni l’exil n’ont jamais tari sa foi dans l’idéal qu’elle défendait et qu’elle avait su communiquer aux siens.

Elle nomma ses deux fils Floreal et Progreso. Un détail qui condense à lui seul tout l’esprit révolutionnaire d’une époque peut-être pas définitivement révolue....

De la Catalogne espagnole natale à Toulouse, la trajectoire d’une anonyme parmi d’autres, grandeur du peuple... Une femme anarcho-syndicaliste dans la tourmente de la Révolution et de la Guerre d’Espagne, un des tournants du XXème siècle. Une vie forte, symbole de toutes ces femmes et de tous ces hommes qui ont oeuvré, à en mourir, pour la liberté.

L’auteur

Qui mieux que son fils Progreso Marà­n, pouvait nous raconter Dolores ? Professeur de français, passionné d’éducation, Progreso est né à Toulouse. Poète, il a publié dans la revue Encres vives. Dans Dolores, une vie pour la liberté, à travers le portrait de sa mère, il rend hommage à tous les anonymes qui ont résisté et résistent. Il travaille actuellement sur un recueil de nouvelles Circulez, y a rien à voir et La Huche des rêves, livre sur un village languedocien où son imaginaire a trouvé un lieu d’attache.

A lire d’urgence !

Vous pouvez le commander dans toutes les librairies :

Titre : Dolores, une vie pour la liberté
Auteur : Progreso Marin
Editeur : Loubatieres Eds
ISBN : 2862663808
158 pages, 16 cm x 24 cm

On le trouve (normalement) en stock à  :

La librairie Quilombo
23 boulevard Voltaire
75011 Paris

La Librairie Espagnole
7 rue Littré
75 006 Paris
tel 01 43 54 56 26.

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« (...) on a accusé les communistes de vouloir abolir la patrie, la nationalité. Les ouvriers n’ont pas de patrie. On ne peut leur ravir ce qu’ils n’ont pas. Comme le prolétariat de chaque pays doit en premier lieu conquérir le pouvoir politique, s’ériger en classe dirigeante de la nation, devenir lui-même la nation, il est encore par là national, quoique nullement au sens bourgeois du mot. »

Karl Marx, Friedrich Engels
Manifeste du Parti Communiste (1848)

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