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Des médias belges et français participent à la nouvelle campagne de propagande de l’International Campaign for Tibet

Dans un « rapport » publié le 5 décembre, l’ « International Campaign for Tibet » (ICT) basée à Washington dénonce une énième fois une prétendue « menace pour la culture, la communauté et l'environnement du Tibet ». Cette fois-ci, la « menace » viendrait des barrages hydroélectriques chinois.

Le chef lève sa baguette à Washington, et instantanément le chœur bien rodé de nos grands médias atlantistes entonne la rengaine des « violations persistantes et flagrantes des droits humains du peuple tibétain ». (1) C’est ce de quoi les lecteurs des quotidiens belges Le Soir (2) et La Libre Belgique ont à nouveau pu se rendre compte le 5 décembre, quand leurs journaux leur ont servi à chaud les allégations tirées d’un « rapport » publié le jour même à Washington par l’ONG antichinoise ICT.

Les médias bruxellois sont aux premières loges en ce qui concerne ce genre d’agissements, puisque la capitale belge a le double « honneur » d’être à la fois le siège de l’OTAN et d’abriter, au même titre qu’Amsterdam, la branche européenne de l’ICT.

Ceci pourrait expliquer le fait que Radio France a réagi avec un petit retard. Son article, signé Nathanaël Charbonnier, qui dénonce « une catastrophe humaine qui nous attend » à cause du « vertigineux projet de construction de barrages par la Chine » porte la date du 6 décembre. (3) Sa spécificité est de donner la parole à la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio (Les Républicains), à la fois « membre du groupe France Tibet » (4) et du groupe France-Israël (5), ainsi qu’au Belge Vincent Metten, membre de l’ICT, « directeur Europe de la Fédération internationale des droits de l’homme pour le Tibet » (6) et « ancien conseiller du ministère belge de la défense et d’affaires militaires auprès de la Commission Européenne ». (7) De vrais défenseurs des droits humains et des peuples opprimés, à n’en pas douter !

La publication, le même jour ou presque, de ces articles dans la presse atlantiste francophone montre qu’on a affaire à une campagne de propagande dirigée par l’ONG antichinoise sise à Washington et qui porte son nom d’ « International Campaign » à bon escient.

Le biais manifeste des journaux francophones belges « de référence »

Dans l’article du Soir, déjà la première affirmation prouve le parti pris de son autrice Véronique Kiesel. Car selon elle, l’ICT dont la tête de proue est l’acteur hollywoodien Richard Gere « défend les droits des populations du Tibet face au pouvoir chinois ». Qui peut encore croire en toute sincérité que les ONG basées à Washington sont autre chose que les outils de prédilection du soft power étasunien servant à discréditer les opposants géopolitiques de Washington ? Le discours des « droits humains » et des « populations à défendre » tenu depuis la capitale de l’Empire est moins crédible que jamais depuis que le monde assiste jour pour jour au génocide en cours à Gaza, perpétré en toute impunité avec l’aval et la complicité active de l’Occident collectif.

La carte du Soir censée montrer les barrages, projets de barrages et barrages « proposés » (?) au « Tibet » est tout aussi fallacieuse. En effet, une très grande (la majeure ?) partie de ceux-ci ne se trouve pas au Tibet proprement dit, c’est-à-dire dans la Région autonome du Tibet, mais dans les provinces avoisinantes du Qinghai et du Sichuan. L’utilisation d’une fausse carte montrant un « Tibet qui couvre (sic !) pas moins d’un quart du pays du Milieu » (8) en dit long sur le biais du Soir et de sa journaliste. Car ce que montre cette carte, c’est le « Grand Tibet » tel qu’il est revendiqué par le dalaï-lama et les cercles chauvins de l’exil tibétain financés et chouchoutés par la CIA. Il s’agit là d’une revendication outrancière qui fait fi de l’histoire et du bon sens, puisque les régions du Qinghai et du Sichuan que les auteurs de la carte ont eu le culot de rattacher au « Tibet » n’ont jamais été administrés par Lhassa et ses dalaï-lamas.

Selon Véronique Kiesel qui reprend toutes les thèses washingtoniennes sans le moindre sens critique, les barrages hydroélectriques construits au Tibet et dans les régions avoisinantes « présentent le risque le plus important pour la civilisation tibétaine, la durabilité environnementale et le climat ».
Examinons donc un à un ces trois « risques ».

Des barrages incompatibles avec la « civilisation tibétaine » ?

En quoi la construction de barrages hydroélectriques peut-elle porter atteinte à la « civilisation tibétaine » ? Voici la (seule) réponse donnée dans l’article du Soir : les barrages « entraînent régulièrement l’expulsion des Tibétains de leurs habitations et terres traditionnelles ». Et Mme Kiesel de citer (pour preuve ?) l’allégation (identique mot pour mot) de l’ICT disant que « les barrages entraînent régulièrement l’expulsion des Tibétains de leurs habitations et terres traditionnelles, les privant souvent de manière définitive de leurs moyens de subsistance basés sur la terre et l’eau. »

« L’expulsion des Tibétains » ? N’aurait-on pas plutôt dû écrire « de (certains) Tibétains », c’est-à-dire de ceux dont les habitations se retrouveront sous le niveau de l’eau quand celle-ci sera retenue par un nouveau barrage ? Et pourquoi parler à priori d’« expulsion » plutôt que de « relogement » ? Est-ce que tout déplacement ou relogement est nécessairement une expulsion, une relocation forcée ? Le fait que ces auteurs ne doutent pas qu’en Chine, les méchantes autorités recourent nécessairement à la contrainte et à l’expulsion manu militari des gens concernés témoigne de leur fort biais cognitif.

La Wikipedia anglaise dresse les listes de 17 grands barrages hydroélectriques actuellement en construction dans 12 pays ainsi que de 200 barrages hydroélectriques mondiaux existants qui disposent d’une capacité de production électrique d’au moins 1 000 MW.

À part la Chine, cette dernière liste comprend les États suivants qui exploitent un ou plusieurs de ces barrages : les États-Unis, le Canada, l’Australie, la France, la Suisse, l’Espagne avec le Portugal, la Norvège, la Roumanie avec la Serbie, l’Ukraine, la Géorgie, la Turquie, la Russie, le Mexique, le Brésil, la Colombie, le Venezuela, l’Équateur, le Pérou, l’Argentine, l’Égypte, l’Iraq, l’Iran, le Kirghizstan, le Tadjikistan, le Pakistan, l’Inde, le Bhoutan, la Malaisie, le Vietnam, le Laos, l’Indonésie, l’Éthiopie, le Soudan, le Congo RD, le Mozambique, le Ghana, l’Angola, la Zambie avec le Zimbabwe. (10)

Est-ce qu’un seul de ces barrages a été construit sans qu’il fallût déplacer les habitants des zones qui allaient être submergées ? Bien sûr que non. Est-ce que le relogement (certes regrettable, mais inévitable) d’une partie de la population des environs a porté atteinte à sa « civilisation » ?

Une telle allégation semble insensée. Sauf apparemment dans le cas du « Tibet » et pour le site freetibet.org qui souligne, dans un article paru il y a quelques mois déjà, que le projet de barrage de Gangtuo (Kamtok en tibétain) dans le cours supérieur du Yangtze risque d’être réalisé « dans les montagnes sacrées de Gèndong » et qu’il « menace de déplacer » non seulement « des villages » (comme tous les projets de barrage au monde), mais (horreur !) aussi « d’anciens monastères bouddhistes ». (11)

Pour les propagandistes « Free Tibet », la population de ces régions reculées et sous-développées ne manque pas cruellement d’électricité, ni d’emplois industriels, ni de confort moderne. Elle n’a nul besoin de développement et de nouvelles opportunités économiques. Ce qu’il lui importe avant tout, ce sont que les « anciens monastères bouddhistes » restent à leur place.

Mais les Tibétains de la région risquent « souvent » de perdre de manière définitive « leurs moyens de subsistance basés sur la terre et l’eau », clament les défenseurs autoproclamés de la « cause tibétaine ». Des moyens de subsistance basés sur l’eau ? Les Tibétains ne sont pas connus pour être de grands pêcheurs, pour pratiquer la pisciculture ou l’irrigation des terres agraires. Et à la différence des terres, dont une certaine partie peut se retrouver effectivement submergée, l’eau ne se perd pas quand elle est retenue (partiellement et temporairement) par un barrage.

En revanche, il se peut effectivement que des pâturages soient submergés. Qu’advient-il alors des pasteurs semi-nomades qui ont utilisé les terres submergées comme moyen de subsistance ? J’admets qu’ils devront sans doute, dans certains cas du moins, s’adapter aux nouvelles conditions et choisir de nouvelles activités économiques. Ce ne sera pas chose facile. Mais rappelons-nous que la Chine a sorti quelques 800 millions de personnes, vivant pour la plupart dans des régions reculées comme celles dont nous parlons, de la pauvreté absolue. Quelle raison, sauf une haine viscérale de la Chine socialiste, pourrait nous pousser à croire que les personnes déplacées et lésées par la construction de ces barrages ne seront pas indemnisées, aidées et assistées par les autorités ?

De toute façon, ce qu’ils vivront ne sera pas pire que ce qu’ont connu, dans les régions plus développées de la planète, des dizaines voire des centaines de millions de personnes qui, traditionnellement, travaillaient dans le secteur primaire. Ainsi, le « nombre d’exploitations agricoles en France métropolitaine » est passé « de 1 587 600 en 1970 à 390 000 en 2020, soit une diminution d’environ 75 %. » (12) « En Allemagne, vers 1900, environ un employé sur trois travaillait encore dans l’agriculture » (13), et en « 1950, l’ancienne République fédérale d’Allemagne comptait 2 millions de fermes, tandis qu’en 2017, il n’en restait plus que 270 000. » (14) Je peux me tromper, mais je ne me souviens pas avoir eu connaissance de campagnes de propagande internationales menées depuis Washington et accusant la France ou l’Allemagne de mettre en péril leur civilisation rurale traditionnelle.

Un risque pour la « durabilité environnementale » ?

En Chine même, les projets de barrages dans les régions himalayennes ne font pas l’unanimité : la région est instable du point de vue géologique, et les séismes ne sont pas rares. Cependant, les ingénieurs chinois ont déjà réussi des exploits techniques inouïs sur le plateau himalayen, par exemple en y construisant des milliers de kilomètres de lignes de chemin de fer modernes et des autoroutes passant par d’énormes tunnels et d’immenses ponts. On a donc quelques raisons de penser qu’aussi bien les planificateurs que les ingénieurs chinois sauront évaluer les risques et affronter les défis relatifs à ces projets.

Toujours selon l’ONG « Free Tibet », la construction du barrage de Gangtuo est censée être « mise en œuvre par l’entreprise publique chinoise Huadian, l’un des plus grands émetteurs de carbone provenant des centrales au charbon du monde, qui a signé un accord de partenariat stratégique avec l’entreprise allemande Siemens ». Puisqu’il est généralement admis que les barrages hydroélectriques « sont a priori beaucoup moins polluants que les centrales au charbon » (15), on peut conclure que le but évident du gouvernement chinois est de réduire considérablement l’utilisation du charbon dans la production d’énergie électrique, ce qui est incontestablement une bonne chose pour l’environnement. Pourtant, l’ONG antichinoise trouve un argument « écologique » pour dénigrer les projets hydroélectriques chinois, en soulignant que « les barrages » ne sont « pas une source d’énergie neutre en carbone. Ils peuvent en effet émettre de grandes quantités de méthane, gaz à effet de serre très puissant. » (16)

Des arguments écologiques bidon

Les barrages seraient donc de grands polluants atmosphériques ? Voyons ce qu’en disent les sources scientifiques.

Rappelons d’abord que les « principaux secteurs émetteurs de méthane sont :
  Agriculture (40%), y compris l’élevage de bétail, le fumier animal et la production de riz.
  Combustibles fossiles (35 %), y compris par les fuites des systèmes de production et de distribution de gaz naturel et de pétrole et des mines de charbon.
  Déchets (20 %), provenant de la nourriture et d’autres matières organiques laissés dans les décharges, les décharges à ciel ouvert et les eaux usées. » (17)

Notons au passage que même la digestion humaine est une source de méthane, puisqu’ « entre 30 et 62 % des sujets sains » en produisent. (18)

Quant aux barrages, les « émissions de méthane provenant des réservoirs (hydroélectriques et autres) » ne représentaient que « 5,2 % des émissions anthropiques de méthane en 2020. » À l’échelle mondiale, « les réservoirs sont actuellement de petites sources de CO2 par rapport à d’autres secteurs ». (19)

S’il est vrai que la « matière organique contenue dans le sol inondé » des barrages « se décompose rapidement après l’inondation, libérant de grandes quantités de gaz à effet de serre (GES) au cours des premières années suivant la construction d’une centrale hydroélectrique », il faut cependant souligner que « ces émissions diminuent ensuite et se stabilisent lentement au fur et à mesure que le réservoir vieillit. » (20)

De plus, les conditions géographiques (géologiques et climatiques) dans les confins est de l’Himalaya sont plutôt propices à l’installation de barrages. Plusieurs aspects entrent en compte : « Dans les régions froides, les réservoirs ont tendance à émettre moins de GES [gaz à effet de serre] que dans les régions tropicales, car les basses températures entraînent une activité bactérienne plus faible et donc une production de gaz moins importante. » (21) Ensuite, les gorges profondes et étroites et la grande vitesse du flux des cours d’eau de la région permettent la construction de barrages aux murs de retenue relativement bas et des surfaces submergées relativement réduites. Finalement, la masse végétale susceptible de se décomposer en émettant des gaz à effet de serre est beaucoup moins importante dans ces régions rocheuses de haute montagne que dans des régions tropicales, par exemple.

Bien évidemment, toute forme de production d’énergie, toute activité industrielle ou économique affecte l’environnement naturel. Encore faut-il peser les avantages et les désavantages.

L’ICT demande que « les modes de vie traditionnels des Tibétains » soient « préservés ». Je ne suis pas sûr que les Tibétains préfèreraient retourner vivre à la manière de leurs ancêtres et qu’ils échangeraient volontiers l’énergie électrique et le confort moderne que celle-ci leur apporte contre la traditionnelle bouse de yack séchée et les lampes au beurre qui, jadis, étaient leurs principales sources d’énergie ou de lumière.

Énergie photovoltaïque et éolienne contre énergie hydroélectrique ?

L’ICT et ses larbins médiatiques demandent à la Chine de renoncer à l’énergie hydroélectrique et de « changer radicalement de cap afin de tirer parti des énergies renouvelables telles que le solaire et l’éolien ». En versant des larmes de crocodile, ils opposent une forme d’énergie renouvelable aux autres. Comme si nous n’étions pas déjà habitués au dénigrement, par nos médias, des panneaux photovoltaïques chinois « produits par le travail forcé au Xinjiang », des éoliennes et des voitures électriques chinoises...

Le solaire et l’éolien ? Sérieusement ?

Ignorerait-on dans ces milieux que la Chine est déjà la « championne du monde de la transition énergétique » et qu’elle « apparaît désormais comme le champion toutes catégories. Voitures électriques, énergie éolienne, panneaux solaires : production, installation et innovations suivent à un rythme effréné » ? (22) Ainsi, en 2019, « la Chine a installé environ un quart de la capacité solaire mondiale qui a été ajoutée cette année-là. En 2023, 62% de la capacité solaire mondiale installée l’a été par la Chine – c’est plus que tous les autres pays réunis. Entre 2019 et 2023, la Chine a multiplié par huit sa capacité installée, alors que le reste du monde ne l’a même pas doublée. » (23)

La « situation pour l’énergie éolienne » est la même, puisque « tous les pays du G7 – les États-Unis, le Canada, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Japon et la Grande-Bretagne – ont installé en 2023 à peine un quart des nouvelles installations que la Chine a inaugurées dans le même temps ».

La Chine est aussi la championne du monde en ce qui concerne la production. En 2023, 90% des « cellules et plaques [wafers] solaires » et « 60% des éoliennes » ont été produits en Chine. (24)

« En 2024, Pékin va ajouter 340 gigawatts de capacité électrique grâce au vent et au soleil. À titre de comparaison, c’est autant que l’ensemble des capacités de toute l’Europe construites jusqu’à aujourd’hui pour l’énergie solaire », a-t-on pu lire dans Le Figaro. Et encore : « La capacité globale de production d’énergie renouvelable de la Chine devrait augmenter de "plus de 2 térawatts, soit 2000 gigawatts (GW), entre 2023 et 2028, affichant ainsi une croissance trois fois plus élevée que celle des cinq dernières années. Et l’énergie solaire représentera les trois quarts" de ce bond énergétique, prévoyait en 2023 l’Agence internationale de l’énergie (AIE). C’est quatre fois plus que l’Europe sur la même période et six fois plus que les États-Unis. » (25)

La tentative de l’ICT et de ses larbins journalistiques d’opposer une forme d’énergie renouvelable chinoise aux autres finit ainsi dans le ridicule. Demander à la Chine de développer le solaire et l’éolien, c’est porter de l’eau à la rivière.

Notes

(N.B. : les sources en langue étrangère ont été traduites par l’auteur.)

1) Sabine Verhest, « Le château d’eau tibétain en proie à la "frénésie" chinoise pour les barrages hydroélectriques », La Libre Belgique, 05/12/2024 (https://www.lalibre.be/planete/2024/12/05/le-chateau-deau-tibetain-en-proie-a-la-frenesie-chinoise-pour-les-barrages-hydroelectriques-NITZ2QTKCNC3JBZSNZB2SZL7LE/)
2) Véronique Kiesel, « Pékin multiplie les méga-barrages hydroélectriques au Tibet aux dépens des sites naturels et des populations locales », Le Soir, 05/012/2024 (https://www.lesoir.be/640543/article/2024-12-05/pekin-multiplie-les-mega-barrages-hydroelectriques-au-tibet-aux-depens-des-sites)
3) https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/c-est-une-catastrophe-humaine-qui-nous-attend-des-ong-alertent-sur-le-vertigineux-projet-de-construction-de-barrages-par-la-chine-au-tibet_6938084.html
4) ibid.
5) https://www.senat.fr/groupe-interparlementaire-amitie/ami_595.html
6) https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/visite-d-emmanuel-macron-en-chine-les-ong-craignent-de-voir-dossier-de-la-guerre-en-ukraine-occulter-celui-des-droits-de-l-homme_5753117.html
7) http://www.tibet.org/Resources/TSG/Groups/
8) Sabine Verhest, art. cit.
9) https://www.bbc.com/news/world-asia-pacific-16689779
10) https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_conventional_ hydroelectric_power_stations
11) https://freetibet.org/wp-content/uploads/2024/05/Occupying_Tibet_Rivers_Turquoise_Roof_Tibet_Watch_2024.pdf
12) https://fr.statista.com/statistiques/1294779/nombre-fermes-exploitations-agricoles-france/
13) https://www.hs-nb.de/iugr/landschaft-hat-geschichte/landwirtschaft/industrialisierung-in-der-landwirtschaft/konzentration-und-zentralisation/abnahme-beschaeftigtenzahlen-landwirtschaft/
14) https://www.quarks.de/umwelt/landwirtschaft/so-hat-sich-die-deutsche-landwirtschaft-entwickelt/
15) https://freetibet.org/wp-content/uploads/2024/05/Occupying_Tibet_Rivers_Turquoise_Roof_Tibet_Watch_2024.pdf
16) ibid.
17) https://www.ccacoalition.org/fr/short-lived-climate-pollutants/methane
18) https://pubmed-ncbi-nlm-nih-gov.translate.goog/19830557/
19) https://www.hydropower.org/blog/new-study-sheds-light-on-reservoir-emissions-over-a-long-time-period
20) ibid.
21) ibid.
22) https://bonpourlatete.com/actuel/la-chine-championne-du-monde-de-la-transition-energetique
23) ibid.
24) ibid.
25) https://www.lefigaro.fr/conjoncture/la-chine-represente-pres-des-deux-tiers-de-l-energie-solaire-et-eolienne-en-construction-dans-le-monde-20240712

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« Cuba mi amor », un roman sur le Che de Kristian Marciniak (Rebelion)
Leyde E. Rodri­guez HERNANDEZ
Publié chez Publibook, une maison d’édition française, le roman de Kristian Marciniak : « Cuba mi amor » circule dans Paris ces jours-ci. Dans un message personnel adressé au chroniqueur de ce papier, l’auteur avoue que Cuba a été le pays qui lui a apporté, de toute sa vie, le plus de bonheur, les plus grandes joies et les plus belles émotions, et entre autres l’orgueil d’avoir connu et travaillé aux côtés du Che, au Ministère de l’Industrie. Le roman « Cuba mi amor » est un livre (…)
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Nicolás Gómez Dávila
philosophe colombien

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