Ouïghours, Histoire d’un peuple sacrifié s’appelle le livre de Laurence Defranoux (Éditions Tallandier, 2022 et 2025) qui a pour ambition de corroborer et d’établir une fois pour toutes le récit occidental du « génocide ouïghour » perpétré par le « régime communiste chinois ».
“ Ouïghours, Histoire d’un peuple sacrifié ”, tel est le titre du livre de Laurence Defranoux (Éditions Tallandier, 2022 et 2025) qui a pour ambition de corroborer et d’établir une fois pour toutes le récit occidental du « génocide ouïghour » perpétré par le « régime communiste chinois ».
Ouïghours, Histoire d’un peuple sacrifié s’appelle le livre de Laurence Defranoux (Éditions Tallendier, 2022 et 2025) qui a pour ambition de corroborer et d’établir une fois pour toutes le récit occidental du « génocide ouïghour » perpétré par le « régime communiste chinois ». Je l’ai lu attentivement, et ce qui va suivre (en plusieurs étapes), ce sont les remarques et réflexions que cette lecture m’a inspirées.
Cet article est le premier d’une série écrite par notre ami Albert Ettinger, intellectuel luxembourgeois (voir plus bas) que Le Grand Soir a eu l’honneur d’accueillir 17 fois dans ses colonnes.
Ici, il décortique avec une rigueur chirurgicale et une grande honnêteté l’enfumage obstiné de "la responsable Xinjiang" au quotidien Libération.
Je m’en réjouis particulièrement parce que j’ai eu affaire à cette dame dont j’affiche, preuve à l’appui, tout en bas de cet article, un exemple de l’absence de toute espèce de moralité.
Maxime Vivas
Dans un « rapport » publié le 5 décembre, l’ « International Campaign for Tibet » (ICT) basée à Washington dénonce une énième fois une prétendue « menace pour la culture, la communauté et l'environnement du Tibet ». Cette fois-ci, la « menace » viendrait des barrages hydroélectriques chinois.
Dans une tribune du journal Le Monde (1), 27 « chercheurs » sinophobes ont diffamé deux des grands musées nationaux français, le musée du Quai Branly-Jacques Chirac et le musée Guimet. Ils les accusent de courber l’échine « devant Pékin » en « effaçant le mot ‘Tibet’ de leurs collections ».
Le 12 juin, la Chambre des représentants des États-Unis a voté un projet de loi appelé « Resolve Tibet Act ». Une délégation étasunienne, dirigée par Nancy Pelosi et le président de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis, le Républicain Michael McCaul, s’est ensuite rendue en Inde pour remettre une copie du texte au dalaï-lama. Après Hong Kong, le Xinjiang, Taïwan et la Mer de Chine du Sud, les États-Unis viennent donc de ressortir la « question du Tibet » de leur boîte à outils de propagande contre la Chine, et ils vont plus loin que jamais dans la provocation.
« Le monde des droits de l'homme a un problème de harcèlement sexuel » est le titre d’un article (1) publié le 12 mai par NOTUS (2), un nouveau site journalistique américain en ligne. L’article se réfère aux témoignages de dix-neuf femmes qui ont travaillé au sein de la nébuleuse d’ONG antichinoises.
Les sanctions unilatérales contre la Chine sapent les normes fondamentales du droit (comme la présomption d'innocence) et violent les droits de l'homme, y compris ceux des Ouïghours. C'est ce que constate le rapporteur spécial de l'ONU, Alena Douhan, dans un communiqué publié le 17 mai 2024.(1)
En Occident, tout le monde a entendu parler des Tibétains et des Ouïghours. Pour des raisons de géopolitique, la propagande antichinoise s’est focalisée sur ces deux minorités ethniques chinoises. Pourtant, avec leurs plus ou moins respectivement sept et douze millions, elles ne constituent nullement les « minorités nationales » les plus nombreuses de ce pays multiethnique qui en reconnaît officiellement 55.