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Daech ne serait-il pas une nouvelle forme d’inquisition de l’empire du Vatican ?

Cet article s’appuie, en partie, sur le livre du docteur Alberto Rivera, qui avait été prêtre jésuite et évêque de l’église catholique romaine. Il avait des responsabilités à l’intérieur de l’église et il avait effectué des recherches intensives sur l’église catholique romaine. Dans le cadre de ses responsabilités, il avait été exposé à des situations et informations graves concernant l’église et qu’il a voulu ensuite dénoncer : atrocités de l’église catholique romaine dénoncés dans son livre « les crimes du Vatican ». Le Dr Alberto Rivera est mort le 20 juin 1997. Le Dr Rivera avait pour principal objectif de dénoncer le rôle de l’église catholique romaine dans les différents courants politiques et économiques mondiaux. Cet article n’est pas une affirmation : il est d’abord une question. Il s’appuie sur des facteurs objectifs et il a pour but d’être un outil afin d’attiser les discussions et les débats. Cet article existe aussi pour poser des questions sur le rôle de l’église catholique romaine dans la lutte de classe à travers toutes les périodes de l’histoire. Nous pourrons constater que dans différentes périodes de l’histoire, l’église a toujours joué un rôle fondamental dans les différents courants politiques : qu’il s’agisse des monarchies ou des républiques. * Témoignage de Donna Eubines (ancienne religieuse) : « Aujourd’hui, après 23 années passées comme religieuse dans le couvent St Joseph, je connais la vraie religion. Je peux dire avec mon expérience personnelle à l’appui que le DR Rivera disait la vérité sur le système religieux catholique ». * Témoignage de Clark Butter Field (ancien prêtre catholique) : « Après avoir lu les confessions d’Alberto Rivera, j’ai compris que je ne suis plus seul, en tant qu’ancien prêtre catholique, dans mon désir d’aider bien des gens à comprendre la tromperie catholique ».

L’église catholique à notre époque

Notre époque est marquée par le mode de production capitaliste qui a balayé le féodalisme devenu un mode de production obsolète. Les seigneurs féodaux ont depuis longtemps laissé la place aux dirigeants du CAC 40 et des actionnaires tout puissants. Les sociétés ont changé, car la vie sociale de chaque pays change inévitablement. Les forces productives se développent sans cesse et les hommes engendrent des moyens de production toujours plus performants. Tout cela est englobé dans un processus de devenir sans interruption, c’est-à-dire que toutes les sociétés changent : les hommes aussi.

Les seigneurs féodaux ont laissé la place aux bourgeois et la puissance des capitaux bourgeois a effacé les propriétés féodales : alors qu’un élément devient obsolète et sans puissance, un autre élément prend forme et acquiert de la puissance. Mais, l’église catholique romaine, elle, est restée une institution puissante et elle est toujours dotée d’une certaine force morale sur les États : sa puissance a traversé les siècles. L’église catholique a traversé tous les modes de productions qui se sont succédés à travers l’histoire.

Qu’est-ce qu’un mode de production et quel est le lien avec les religions ?

On parle donc du mode de production des biens matériels nécessaires aux différentes sociétés des hommes. Tous les modes de productions ont engendré une vie sociale qui évolue sans cesse. Le mode de production est donc une base économique, une infrastructure, sur lequel s’élèvera une superstructure : la vie sociale.
L’infrastructure demeure inchangée, et cela même si la vie sociale subit des modifications et la vie sociale est le reflet de cette base. L’infrastructure est donc le socle de toutes les sociétés ayant existé et elle est déterminée par la domination d’une classe sur une autre. Une classe dominante exploite une autre classe qui a été dominée par la première et produit les biens matériels nécessaires à la société : vêtements, nourritures, etc.

Et c’est ici que la religion a son rôle à jouer ; car elle agira comme un opium pour la classe dominée. La religion agira sur la classe dominée comme un anesthésiant, empêchant ainsi à la classe exploitée d’acquérir une conscience de classe. La classe exploitée produit des marchandises, des biens matériels dans des conditions difficiles et elle est oppressée par les chefs de la classe dominante. Dans la production sociale de leur existence, les classes opprimées ont tellement de problèmes, de souffrances à absorber, qu’elles auront besoin d’un médicament pour atténuer leurs douleurs : il faut alors aux hommes exploités un anesthésiant.

C’est ici qu’intervient la religion car elle agira sur cette classe dominée comme un opium, un anesthésiant : on peut souffrir, de toute façon, on ira tous au paradis ! Pour renforcer le pouvoir de cet anesthésiant qu’est la religion, la classe dominante assène aux masses une vision du monde qui emmène les hommes directement dans les bras de l’exploitation : l’idéalisme.

Et pour cela, la classe dominante peut compter sur son appui spirituel matérialisé par l’église catholique qui est la chienne de garde de cet idéalisme. L’idéalisme est donc une vision du monde qui est insufflé aux hommes dès leur naissance et qui les orientent vers les croyances mystiques. C’est sur ce terreau mystique fertile que l’église catholique et tous leurs copains des différents gouvernements consolident leurs pouvoirs et leurs dominations sur le monde.

Mais jusqu’où peuvent-ils aller pour conserver leurs pouvoirs ? Nous allons constater ce qu’ils sont capables de faire pour cela, mais en commençant par le début.

Qui sont les jésuites ?

Les jésuites se situent au sommet des ordres religieux dans l’église catholique romaine. L’église catholique est donc dotée d’un ordre très hiérarchisé et très puissant, dans lequel les jésuites sont un maillon essentiel. L’ordre des jésuites a été fondé en 1541 par Ignace de Loyola. Dans cette époque obscure, l’objectif de l’ordre des jésuites aurait été d’arrêter l’expansion de tous les mouvements opposés à l’église catholique romaine. Les jésuites auraient été un élément essentiel pour la sauvegarde des intérêts de l’église catholique romaine, dont le plan aurait été dessiné il y a bien longtemps : apparition qui se situe bien avant le mode de production capitaliste et des sociétés contemporaines. Ce plan aurait été dessiné par l’église catholique romaine lors de la période sombre de l’histoire du monde, lorsque le monde vivait encore dans les superstitions.

L’église catholique romaine c’est tout d’abord une institution dont la puissance est matérialisée par l’État du Vatican à Rome. Cet État est un des plus petits États du monde, mais il est aussi l’un des plus influents du monde, mais aussi l’un des plus riches. Le Vatican est dirigé comme un État, avec des religieux qui ont des prérogatives politiques comme tous les chefs d’États. Beaucoup d’États se tournent à un moment ou à un autre vers le Vatican pour recevoir son avis et il n’est pas rare de voir des chefs d’États se présenter à Rome pour un entretien avec le pape.
L’objectif de l’ordre des jésuites à travers l’histoire du monde a été de conseiller ou de renverser les rois et les gouvernements : et ils continueraient de le faire de nos jours. On aurait tendance à penser que c’est le pape qui dirige le Vatican. Mais ce serait une illusion, car en réalité, celui qui dirige le Vatican est le général jésuite : il est aussi appelé le pape noir. Il est considéré comme étant l’homme le plus puissant du Vatican !

L’église catholique et ses dégénérescences

Si le Dr Alberto Rivera a dénoncé la véritable nature de l’église catholique romaine, c’est parce que ses questions et ses doutes concernant l’institution avaient commencé avec des évènements graves survenus lors de son enfance. Ces évènements l’avaient marqué profondément et il avait juré de rechercher pourquoi de tels évènements avaient pu se produire dans un lieu présenté comme « saint ». Il a raconté dans son livre Les crimes du Vatican, ce qui lui était arrivé lors de son enfance alors qu’il suivait ses études dans un collège religieux. Un soir, alors qu’il dormait, quelqu’un s’était glissé dans son lit et s’était mis à l’embrasser. Le futur Dr Rivera se débattit donc violemment et appela ensuite le recteur du collège, afin qu’il puisse constater ce qui s’était passé.

Le recteur présent, répondit alors à Alberto :
- « Tu devrais avoir honte Alberto ! A genoux et confesse tes péchés ! »
- Alberto fut choqué et répondit donc : « Mais, mon père, c’est lui qui est venu dans mon lit. Je ne comprends pas ! »
- « A genoux ! Confesse le péché ! » hurlait le recteur
- « Mais quel est mon péché ? » répondit l’enfant
- « Ton péché, Alberto, c’est qu’il t’a offert son amour, l’amour de dieu et tu l’as refusé ! »

Suite à cet événement, le prêtre pédophile ne fut jamais condamné. Cette histoire ne vous rappelle rien ? Ce qui est choquant lors de ces affaires sordides, c’est la manière dont ces hommes sont protégés, alors qu’ils ont été confirmés comme étant des pédophiles. Nous pouvons aussi constater la force de l’ignorance et la naïveté des personnes se disant « croyantes ». Nous voyons des personnes qui continuent à venir se prosterner (en recevant l’hostie par exemple, qui se prend à genoux et est une forme de soumission) devant des hommes « religieux » qui ont été condamnés pour pédophilie !

Dans le même temps, ces hommes qui se prosternent iront cracher sur une personne qui est obligée de voler ou de mendier en raison de ses conditions d’existence difficiles ! Nous voyons comment l’idéalisme aveugle les hommes jusqu’à les faire se mettre à genoux devant des violeurs d’enfants et cracher sur leurs frères paupérisés.
Lors de cet article, nous verrons d’autres évènements qui ont reflété des dégénérescences graves à l’intérieur de l’église catholique romaine. Dans son témoignage, le Dr Rivera affirmait que beaucoup de sœurs pratiquaient le lesbianisme et qu’elles avaient des liaisons amoureuses avec des prêtres. Une des conséquences sordides de ces liaisons furent découvertes à Séville, en Espagne dans les années 1934.

Des ouvriers faisaient des travaux de terrassement sur les propriétés de l’église. C’est là que ces ouvriers auraient trouvé des cimetières secrets. Les gouvernements des présidents Aznar et Manuel Ahan demandèrent donc une investigation nationale des monastères, des écoles et institutions catholiques. Ces cimetières secrets se situaient au-dessous d’une propriété de l’église.

En effet, dans cette propriété, il y avait un monastère pour les femmes et un autre pour les hommes. Au-dessous avait été aménagé un tunnel qui reliait le monastère des femmes à celui des hommes : et c’est dans ce même tunnel que les autorités espagnoles trouvèrent des bébés morts ! Apparemment, ces bébés avaient été étouffés et disposés morts dans ce tunnel dès leur naissance. Et la même atrocité fut découverte en 1932, toujours en Espagne, mais à Madrid. Ces bébés avaient été mis au monde suite aux relations des prêtres et des sœurs de ces monastères.

Par peur des représailles de l’institution religieuse qui, nous pourrons le constater, peut être très violente, ces hommes et ces femmes avaient préféré donné la mort à ces bébés. Mais ces faits posent aussi la question des conséquences liées à la chasteté qui est imposée aux religieux et religieuses de l’église catholique romaine. Les crimes de pédophilie et ces faits ne seraient-ils pas les conséquences du vœu de célibat et de chasteté qu’impose l’institution catholique à ses prêtres et à ses sœurs ? Il y a de fortes probabilités que oui.

Mais pourquoi l’église impose-t-elle la règle du célibat ? Cela aurait-il pour principal objectif de placer le prêtre sur « un trône céleste » ? Car le célibat demanderait à Dieu de sanctifier des prêtres qui ne seraient donc pas mariés et seraient célibataires.

Rôle de l’église catholique à travers les différents modes de productions et son plan
Le rôle du pape est de gouverner le monde au nom de Dieu tout puissant. C’est un point qui avait été soulevé par Augustin, un théologien catholique, en 420 après J.-C. Selon Augustin, c’est Dieu qui garantirait au pape la justice divine sur terre. Les différentes sociétés se développent, naissent et s’effondrent sous le poids de la lutte entre les différentes forces sociales (progressistes contre réactionnaires) : mais la force divine doit rester la même.

L’église s’adaptera selon les situations, se plaçant du côté des forces réactionnaires ou du côté des forces progressistes : cela dépendra des conditions. Donc, selon Augustin, dieu garantit au pape la justice divine sur terre et lui donne les possibilités de contrôler ses agneaux (donc les populations), par l’intermédiaire de la puissance éducative, politique, économique et militaire.

Cette puissance fut matérialisée par l’inquisition, qui fut une machine de destruction de l’église catholique romaine. Lors de cette époque lugubre, l’église était gouvernée par des moines dominicains. Le régime était totalement dominé par l’église catholique et même les rois craignaient l’église (mais toujours dans le cadre d’une complémentarité). Nous étions alors dans le mode de production féodal, qui offrait à l’église catholique romaine une place prépondérante dans la vie sociale : les hommes mourraient sous les coups de fouets de l’église. Les seigneurs féodaux tout puissants pouvaient s’appuyer sur leurs camarades de l’église catholique qui tenait les populations d’une main de fer.

Les forces de l’inquisition étaient contrôlées par des jésuites : et personne n’était en sécurité face à ce rouleau compresseur. De l’année 1200 jusqu’à nos jours, l’église catholique serait responsable de la mort de 68 millions de personnes ! C’est évidemment un sujet tabou, car l’inquisition a engendré beaucoup de souffrances et de morts par le passé. Mais il serait faux de croire que les forces de l’inquisition n’existent plus.

En effet, le mode de production a changé, la vie sociale aussi, inévitablement, mais la domination d’une classe sur une autre est toujours réelle. Cette domination de classe doit aussi avoir ses inquisiteurs pour mater ceux qui échapperaient à cette domination. L’inquisition existe toujours : elle prend des formes différentes en s’adaptant aux conditions de son époque. L’inquisition sous l’impérialisme est simplement habillée d’une manière différente que sous le mode de production féodal.

Sous le mode de production capitaliste, alors que l’idéalisme est au plus fort dans l’esprit des masses et que les capitaux s’accroissent, l’inquisition se matérialiserait-elle sous la forme de Daech par exemple ?

La question est posée et nous verrons plus bas pourquoi. La religion musulmane serait-elle un obstacle pour l’église catholique romaine ?

L’église catholique utiliserait-elle un subterfuge pour briser les musulmans, en organisant et finançant une bête présentée par l’église comme étant une force intégriste musulmane ?

Daech est peut-être constitué de musulmans intégristes, mais il serait aussi constitué de soldats du Christ, qui auraient pour principal objectif d’attiser les contradictions entre les religions et de matérialiser une guerre de civilisation entre les serviteurs du Christ et les serviteurs d’Allah. Daech serait-elle la nouvelle forme d’inquisition de l’église catholique ! Cela parait incroyable et irréalisable, mais si nous retournions dans le passé lugubre de l’église catholique, les différentes formes d’inquisitions prenaient aussi des formes à peines croyables. D’ailleurs, nous examinerons plus bas les origines de Daech et sa méthode pour s’accaparer les différentes zones.

L’église s’est toujours adaptée aux mouvements des sociétés et des différents modes de productions. Il est intéressant de constater que dans ces périodes lugubres, l’église ne voulait surtout pas partager ses connaissances, ce qui lui permettait de consolider son hégémonie sur les masses. Il s’agissait d’un obscurantisme organisé par l’église catholique, afin de conserver les masses dans l’ignorance et de les empêcher d’utiliser leur propre raison : et pour cela que l’église utilisait l’idéalisme. Cet idéalisme est toujours ancré dans les masses, se plaçant en contradiction avec le matérialisme. Mais l’église catholique, doit toujours servir les intérêts de l’impérialisme et, pour cela, les appuyer dans un effort qui consiste à noyer les masses dans l’ignorance. Les moyens utilisés ont changé, mais le principe reste le même : en d’autre terme, ils empêchent les masses de penser.

Exemple de cette confusion : la peur de la religion musulmane et l’amalgame qui est effectué entre les intégristes musulmans et les vrais musulmans, qui n’ont strictement rien en commun avec ces fanatiques intégristes. Les musulmans ont été criminalisés, alors que les principes du Coran sont contraires aux principes exposés par ces fous de Daech.

Face à cette confusion inhérente à l’idéalisme, l’église catholique a réagi afin d’étendre la justice divine telle qu’Augustin l’avait décrite. C’est ainsi qu’elle aurait adopté l’inquisition sous la forme de Daech pour affiner son plan de domination mondial : l’impérialisme et l’église catholique seraient liés par un même plan.

En effet, l’inquisition Daech permettrait à l’église de criminaliser la religion musulmane. Ils attiseraient les conflits entre les chrétiens et les musulmans, mais en ralliant à l’église catholique une partie des croyants (qu’ils soient musulmans ou chrétiens). Une fois cela effectué, il ne resterait à l’église catholique qu’une chose à faire : étendre la justice éternelle et divine !

L’essence de l’inquisition est sa faculté d’adaptation à travers l’histoire. D’ailleurs, dans son livre, le Dr Rivera dénonce les différentes formes d’inquisition et les ennemis de ces inquisiteurs.

Quels sont donc les ennemis de l’institution catholique ?

Ils ont été classés par groupes :

• Groupe A : église épiscopale, méthodistes et luthériens.

• Groupe B : adventistes, nazaréens, église du Christ.

• Groupe C : pentecôtistes, baptistes, évangélistes.

• Groupe D : alliance des missionnaires, mormons, témoins de Jéhovah.

• Groupe E : musulmans, coptes, orthodoxes.

Ce tableau a été présenté dans le livre du Dr Rivera qui dénonce le véritable visage de l’église catholique romaine. Il dénonçait ce plan de l’église, mais après avoir exercé la mission de prêtre et évêque pendant des années au sein de l’église catholique romaine. Nous pouvons aussi constater dans ce tableau que les musulmans figurent dans le groupe E.

La religion musulmane est une des religions les plus pratiquées au monde et elle se présente donc comme un concurrent très puissant pour l’église catholique. Noyés dans l’aliénation morale, les fidèles écoutent les paroles de leurs guides, qui les orientent en réalité vers un processus de déstabilisation mondial.

Ce processus de déstabilisation mondial contemporain a pour principal objectif l’hégémonie de l’impérialisme et de son appui spirituel qui est l’église catholique. Pour cela, elle aurait créé une nouvelle inquisition sous forme de Daech qui lui permettrait de pulvériser son principal concurrent : la véritable religion musulmane. Il s’ensuit que le lien absolu entre l’église catholique et les différents modes de production à travers l’histoire est une réalité et ce lien étroit existerait encore : esclavagisme, féodalisme et capitalisme. Mais si dans des modes de production comme le féodalisme, l’église catholique pouvait utiliser la violence pour réprimer les masses, elle doit utiliser d’autres méthodes avec le mode capitaliste.

Mais comment s’imposer sans utiliser la violence ?

La réponse fut apportée par les jésuites et le Saint-Office qui se sont infiltrés dans toutes les religions non-catholiques, mais d’une manière beaucoup plus subtile : de là le véritable rôle du mouvement œcuménique. Le Saint-Office du Vatican est dirigé par les jésuites et ils bénéficient d’un rôle essentiel dans l’institution religieuse : tous les noms de tous les baptisés et membres de l’église ont été enregistrés et classifiés. Ce mouvement œcuménique prôné par l’église catholique et le Saint-Office est d’ailleurs doté d’une méthode d’infiltration et de répression développée. Cette méthode s’articule autour de trois axes :

1-Discréditer

2- Isoler

3- Tuer de différentes manières.

Mais quel est le véritable rôle de la messe et de ses mots d’amour ?

La messe a été introduite par un évêque romain en 386. Lors du Concile de Trente un mot avait été imaginé pour expliquer la messe : transsubstantiation. Ce mot veut dire que le prêtre aurait le pouvoir de transformer le pain et le vin en corps et sang de Jésus. De plus, il aurait le pouvoir d’amener le Christ du ciel et de représenter la crucifixion pendant la messe !

D’après l’expérience du Dr Alberto Rivera, l’église catholique romaine serait en réalité une religion satanique datant du vieux Babylone nommé « adoration de Baal ». C’est en 1967 que le Dr Alberto Rivera a reçu sa carte d’identité qui lui avait été délivrée par le gouvernement espagnol sous Franco. Cette carte d’identité représentait la confirmation qu’il était soumis au pape, par l’intermédiaire du concordat qui avait été signé entre le gouvernement espagnol et le Vatican. Le Dr Rivera avançait dans l’ordre des jésuites, ce qui lui avait permis de constater la corruption de cette institution.

Le Dr Rivera affirmait qu’il avait été appelé à participer à des messes noires, dirigées par des jésuites dans un monastère au nord de l’Espagne. En s’inclinant pour baiser la bague de l’un des dirigeants de la messe, il aperçut alors un symbole sur cette même bague : le symbole maçonnique ! Et toujours d’après le Dr Rivera, il aurait découvert que le pape noir était un Maçon. Il aurait aussi appris que le général jésuite était lié aux Illuminatis de Londres. Il s’ensuit que le fondateur de l’ordre jésuite, Ignace De Loyola, aurait été membre des Illuminatis. On sait que les loges maçonniques existent et qu’elles exercent un rôle très fort dans tous les secteurs de notre société.

Mais est-ce possible que l’institution catholique soit dirigée par des Maçons et, qui plus est, des Illuminatis ?

Ce qui est certain, c’est que l’analyse des éléments objectifs, en ce qui concerne la position de l’église dans les différents moments difficiles de l’humanité, apporte un doute à la véritable nature de classe de l’église catholique romaine (ce que nous verrons plus bas).

C’est dans les années 1960 que le pape Jean XXIII avait été l’un des dirigeants de la société œcuménique et c’est avec lui que les protestants n’étaient plus appelés des « hérétiques », mais des « frères séparés ». Après la Seconde Guerre mondiale, plusieurs pays confirmaient leur caractère impérialiste : le stade suprême du capitalisme. Le capital financier progressait et étendait ses tentacules à travers le monde.

Et c’est donc dans ces conditions que le plan de l’église catholique romaine s’affinait : une seule église mondiale et un seul gouvernement mondial. Ce plan spirituel est donc un processus qui est soutenu par la société œcuménique. Cette société œcuménique est aussi appelée « mouvement charismatique » et a pour principal objectif d’infiltrer les différentes organisations.

Le plan

Dans ce plan ont été classés deux groupes de personnes :

1-Les croyants : protestants, orthodoxes, musulmans, bouddhistes, mormons, églises occultes, religions orientales, méditation transcendantale, témoins de Jéhovah, juifs.

2-Les non croyants : communistes, loges maçonniques, société secrètes, socialistes, athées, anarchistes, etc.

De là une question se pose :

Le plan d’un nouvel ordre mondial se dessine-t-il, dans lequel l’église catholique romaine voudrait jouer un rôle essentiel ?

D’ailleurs les différents plans belliqueux de l’église auraient été avoués au Dr Rivera (alors qu’il avait encore la confiance de toute l’église), par le Cardinal Augustin Béa (1881-1968) qui était aussi le confesseur du pape Pie XII : il fut aussi surnommé « le pape d’Hitler ». D’après le Dr Rivera et ses découvertes, l’église catholique aurait accouché d’un enfant : le parti nazi.

Mais pourquoi les Juifs auraient-ils été ciblés sans cesse ?

L’église a toujours voulu avoir son siège à Jérusalem, car c’est là-bas que fut érigée la première église chrétienne (apostolique) : mais les juifs orthodoxes auraient empêché cela. En 1096, les juifs d’Europe furent traqués et assassinés par l’église catholique : des centaines de femmes et d’enfants furent sacrifiés au nom du Christ. En réalité, l’église aurait voulu accéder à Jérusalem, en se débarrassant, dans le même temps, des musulmans qui étaient déjà présents dans la future zone européenne.

Mais pourquoi Jérusalem ?

Tout a commencé dans les années 330, après J.-C., alors que l’empereur Constantin était au pouvoir. Les chrétiens étaient alors persécutés par les païens romains, mais le nombre de chrétiens augmentait sans cesse. En 313, Constantin promulgua donc les édits de Tolérances. L’objectif était d’unir les impies et les vrais croyants bibliques, mais Constantin aurait été un adorateur de Baal. Il s’ensuit que l’église catholique serait donc née de ce mélange entre la croyance païenne de Baal et la croyance chrétienne.

Face à ce « monstre » qui avait été créé, les vrais croyants bibliques partaient se cacher dans les montagnes : l’empereur Constantin devint ensuite le premier pape. En 330, c’est Maximus qui devenait pape alors que Constantin partait pour Byzance. C’est alors qu’il baptisa Byzance d’un nouveau nom : Constantinople. Et c’est ainsi qu’avec le temps, l’église catholique romaine fut divisée : à l’est, Constantinople qui représentait l’église orthodoxe et, à l’ouest, Rome qui représentait l’église catholique.

L’organisation catholique est très ancienne, car elle aurait commencé à se former après le déluge de Noé. D’après la légende, dans la vieille ville de Babylone, Nimrod et Sémiramis auraient créé une religion qui se serait étendue dans le monde entier. Nimrod et Sémiramis s’étaient mariés, alors qu’ils étaient fils et mère. Après la mort de Nimrod, Sémiramis disait que Nimrod était devenu le dieu du soleil « Baal ». Le dieu Baal est aussi connu sous les noms de Sol ou de Tammuz. Sémiramis aurait été connue sous le nom d’Isis, Vénus ou encore reine du ciel !

Le Concile du Vatican aurait été en réalité la consolidation d’un plan de l’église, afin d’affiner leur processus de domination mondial. Néron, Constantin, Dominique et Loyola auraient été des constructeurs de l’église catholique romaine, mais qui ne se seraient pas basés sur les véritables principes bibliques. Exemple avec les méthodes de Néron : il aurait construit des églises qui, en réalité, n’étaient pas des églises ; beaucoup de « prêtres » auraient organisé des réunions pour prendre au piège les véritables croyants bibliques.

Mais avec le temps, les vrais croyants bibliques refusaient de se soumettre à l’empereur qui n’était qu’un usurpateur. La « véritable religion » refusait donc de reconnaître l’empereur comme dieu. Il s’ensuivit donc un risque pour ces empereurs : que ces véritables croyants prennent le contrôle de l’État. Sur ordre de Néron, Rome fut incendié et se sont les ennemis des dieux Romains qui auraient été accusés ! Mais au VIIIème siècle, un évènement remettait en cause le plan de domination de l’église catholique et de la classe dominante : les armées islamiques attaquèrent et occupèrent le « pays du pape » au nom d’Allah : l’empire du Vatican perdit alors du terrain et se réduisit à l’Italie Centrale.

Comment repousser ces armées Islamiques ?

La seule possibilité fut le roi Franc : Pépin Le Bref. L’église catholique écrivit donc une lettre au roi Franc. Les dirigeants de l’église disaient alors que cette lettre provenait directement du paradis et qu’elle avait été écrite par St Pierre !! Et c’est ainsi que cette fausse lettre fut transportée par un important cortège religieux jusqu’au roi Pépin. Et c’est ainsi que le roi Pépin réunit ses armées pour lutter contre les armées islamiques. Quand la guerre fut terminée, le Roi Pépin donna au pape Stéphan II, la ville de Rome et une partie de ses terres.

Nous voyons que même dans ces années lointaines de notre histoire et dans des conditions totalement différentes, l’église catholique avait créé et organisé une forme d’inquisition pour mater ses opposants. Nous pouvons aussi constater que dans chaque situation, il existe une corrélation absolue, c’est-à-dire un lien étroit entre l’église catholique et le pouvoir en place : un lien incompressible entre la classe dominante et l’église.

Après la mort de Pépin, le pape falsifia une lettre, dans laquelle il disait que le roi Pépin avait donné aux papes la totalité de l’Italie. Charlemagne croyait le pape et c’est ainsi que, par des mensonges l’empire du Vatican s’étendit. D’après les « donations de Constantin », c’était la totalité de l’empire romain qui avait été donnée aux papes, alors qu’en réalité, tous les documents, dans lesquels nous retrouvons ces volontés furent falsifiés par les dirigeants de l’église catholique romaine : ce fut le point culminant du « Saint-Empire ».

Plus tard, les contradictions s’accentuèrent et l’empire chancelait, car certains croyants avaient lu la bible et avaient constaté que les écrits n’étaient pas en conformité avec ce que confirmait l’église catholique. Il ne restait alors qu’une solution pour l’église : une nouvelle forme d’inquisition. L’église catholique déversa alors un flot de violence et de répression comme à son habitude et c’est ainsi qu’elle engendra sa négation. Cette négation de la violence toute puissante de l’église catholique se matérialisa dans les 95 thèses de Martin Luther. Et c’est ainsi que le mouvement luthérien prit forme, orientant les masses opprimées vers la révolution : c’est ainsi que le protestantisme s’étendit en France, en Belgique et aux Pays-Bas.

Ignace De Loyola qui travaillait en qualité de militaire, proposa alors au pape de faire valider par l’empire du Vatican deux principes qui deviendront les deux piliers de la foi :

1- La succession apostolique : c’est-à-dire que tous les papes seraient les héritiers de St-Pierre

2- La suprématie du pouvoir : le Pape est doté d’une suprématie sur tous les chefs d’États du monde.

Dans le caractère national, ces deux piliers de la foi seraient représentés symboliquement en levant deux doigts : l’index et le médius. Ces deux principes confirment que l’église catholique est un appui spirituel solide pour tous les états capitalistes du monde et qu’ils peuvent compter sur l’aide de l’État du Vatican. De 1204 à 1491, le monde fut marqué par l’époque des croisades dans lesquelles l’église catholique romaine fut la force dirigeante : période obscure de l’histoire du monde.

L’église catholique était alors puissante, barbare et tyrannique. Le mode de production était encore féodal et elle pouvait compter sur un appui spirituel solide. Le monde était décrit par des mythes, attisant un peu plus la force de l’idéalisme et consolidant le pouvoir des seigneurs. Mais la tyrannie engendre toujours une réaction qui peut être une force bien plus forte que les causes l’ayant engendré. C’est à ce moment-là que les gens se rebellèrent et protestèrent contre cette tyrannie : donnant ainsi naissance à l’église protestante.

Les jésuites seraient donc un ordre d’élite, qui aurait pour principal objectif de mettre le monde à genoux devant le pape, ce dernier étant le plus fidèle soutien spirituel aux différents gouvernements. Cet ordre est une élite dotée d’une capacité d’adaptation redoutable, car il s’adaptera aux différentes conditions objectives et subjectives se présentant à travers l’histoire du monde : le pape des seigneurs pour le féodalisme et le pape des capitaux pour le capitalisme.

Le cardinal Augustin Béa aurait présenté au Dr Rivera des choses plus incroyables encore. En effet, d’après le Dr Rivera, le deuxième enfant de l’église catholique romaine aurait été le parti communiste : il aurait été formé pour abattre l’église orthodoxe. Le parti communiste aurait été créé pour s’attaquer au plus fidèle gardien de l’église orthodoxe : le tsar de Russie.

Mais la Russie n’était pas le seul front sur lequel l’église catholique voulait attaquer. En effet, la France aussi était une cible, depuis qu’elle avait conclue, dans les années 1900, un accord avec le tsar de Russie : et donc avec l’église orthodoxe. En 1793 déjà, la France avait été écartée de la confiance de l’église catholique, depuis qu’elle avait guillotinée un roi et établit une République. De plus, l’église orthodoxe gagnait du terrain en Europe : Bulgarie, Roumanie, Yougoslavie, Grèce, Serbie, etc...la contradiction entre l’église catholique romaine et l’église orthodoxe était parvenue à un stade extrême.

L’église catholique voulait alors en finir avec tous ses opposants. Les contradictions s’étaient aiguisées entres les différents pays capitalistes. En effet, les conflits concernant l’appropriation des matières premières et de la main d’œuvre et les contradictions sur les capitaux exportés devenaient alors intenables pour le monde : la Première Guerre Mondiale fut alors la réponse. Le pape Pie X soutenait alors l’Allemagne et quand le kaiser voulut étendre les frontières de l’Allemagne, il reçut la bénédiction de l’église catholique. En août 1914, le pape Pie X mourait et laissait ainsi la place à Benoit XV.

Et puis les contradictions se matérialisèrent entres les catholiques allemands et les catholiques français : L’Allemagne se battant contre la France, L’Angleterre et la Russie. L’église catholique avait gagné, car elle avait divisé et engendré une guerre. De plus elle était une aide précieuse pour les pays capitalistes qui devaient exporter leurs capitaux et se partager le monde dans le cadre de leur hégémonie de classe. Abraham Lincoln disait : « les jésuites ne pardonnent jamais, et ne renoncent jamais à leurs but ». Il s’ensuit donc cette question embarrassante :

L’église catholique romaine aurait-elle joué un rôle essentiel dans la révolution Russe de 1917 ?

En effet, le Cardinal Augustin Béa aurait affirmé au Dr Rivera que les jésuites auraient collaboré avec Lénine, Trotski et Staline. En 1917, Lénine et ses révolutionnaires auraient pris un train « spécialement assuré » vers la Russie : train envoyé par l’église catholique et le gouvernement allemand.

Dans ce train aurait embarqué un certain Diego Bergen, un jésuite qui aurait été un élément organisateur. Ensuite, ce fut la chute du tsarisme et la chute du mode de production féodal en Russie. Les orthodoxes détenaient l’or du tsar qui aurait été volé auparavant. Quand les forces communistes se présentèrent au patriarche orthodoxe pour en finir, ce dernier aurait offert l’or aux communistes, faisant croire qu’ils étaient attendus par l’église.

Selon les « aveux » du cardinal, c’est ainsi que le parti communiste aurait échappé à son créateur : l’église catholique romaine. Ce fut alors une trahison des communistes envers leurs créateurs et c’est ainsi que les communistes devinrent les pires ennemis de l’église catholique. L’église aurait accouché de deux enfants : le parti nazi et le parti communiste.

Nous nous retrouvons ensuite en Allemagne, après la Première Guerre mondiale. Les terres ont été achetées par les juifs pro-catholiques, alors que la pluparts des Allemands étaient affamés ! La haine contre les juifs atteignait donc un degré extrême : il suffisait alors à l’église catholique de canaliser et d’orienter cette haine vers l’église orthodoxe. C’est ainsi que dans les années 1922, en Italie, un homme inconnu se pavanait et se présentait tel un nouveau « César » qui aurait reçu pour mission de restaurer l’empire romain. Cet homme était à la tête d’un groupuscule très violent, armé et vêtu de chemises noires : Benito Mussolini.

C’est ainsi que le pape noir ordonna de travailler avec Mussolini. D’ailleurs, concernant Mussolini et son parti fasciste, le pape Pie XI avait déclaré : « C’est un homme envoyé par la providence de dieu ». C’est ainsi que l’église catholique donna naissance à une autre bête afin de consolider son pouvoir en Italie. Mais sa première bête, c’est-à-dire le parti communiste s’était déjà échappé et elle était devenue une force sociale tellement puissante, qu’elle avait commencé à construire le socialisme en Russie et fait des émules en Allemagne avec les spartakistes.

La seconde bête de l’église catholique matérialisée par le parti fasciste aurait reçu alors plusieurs missions :

1- briser l’église orthodoxe,

2- conserver les capitaux de la classe capitaliste,

3- briser le communisme,

4- consolider et étendre le pouvoir du Vatican.

Mais Benito Mussolini devait ensuite s’acquitter de sa « dette » envers le Vatican. Il posa donc sa signature sur le Concordat qui faisait de l’église catholique la seule religion de la Nation et l’Italie qui était alors dirigée par un dictateur fasciste. C’est alors que l’Italie se dota d’une puissante armée et, pour tester la puissance de cette armée, attaqua l’Ethiopie. Suite à cette attaque bestiale et barbare, l’évêque de Milan, Alfred Il, un jésuite, bénit cette attaque, l’appelant la « croisade catholique en Ethiopie ». Du côté allemand, en 1923, c’était la misère, la ruine et les Allemands avaient faim. Les communistes organisaient des démonstrations révolutionnaires et le gouvernement prit peur. Et c’est sur ce terreau de misère fertile que prit forme l’idée d’une République : l’église catholique fut alors furieuse !

Lors du passage au nouvel ordre social, quand se matérialisa la contradiction entre les forces progressistes et les forces réactionnaires, l’église catholique mit en pratique ses facultés d’adaptation comme le caméléon. Ce que l’église désirait dans ces instants particuliers de l’histoire, c’est la conservation de son pouvoir et des capitaux qui sont à la source de son existence. Dans ce but, elle mettra au monde ses « bêtes » qui exécuteront les ordres de l’église et de la classe capitaliste. Ces « démons » sociétal engendrés par l’église catholique et la classe capitaliste ont été possibles en Italie, en Russie, en Allemagne : alors pourquoi Daech ne se placerait-il pas dans ce même processus ?

Continuons notre excursion de l’histoire pour comprendre si cela est possible. L’église catholique était donc furieuse que l’Allemagne se tourne vers l’idée d’une république. L’église organisait donc un nouveau plan pour empêcher la naissance de cette république. Elle envoya donc deux hommes pour cela : Franz Von Papen et le cardinal Pacceli. Ce dernier deviendra Pie XII : plus connu sous le nom de « pape d’Hitler ». Et c’est ainsi qu’advint la nouvelle star de l’église catholique et de la classe capitaliste : Adolf Hitler.

C’est le prêtre jésuite Stimpfl qui fut chargé d’écrire un livre pour Adolf Hitler : Mein Kampf. C’est ainsi que la nouvelle forme d’inquisition prit la forme du parti nazi et eût pour objectif de briser les idées révolutionnaires en Allemagne. Précisons que les notions de « forme d’inquisition » et de « bête » ne sont pas deux choses distinctes, mais un seul processus lié aux conditions objectives et subjectives qui changent selon la période historique dans laquelle les forces sociales évoluent. Il s’ensuivit, inévitablement, des conflits entre les catholiques nazis et les catholiques communistes.

Et puis arriva l’année 1933. Dès son arrivée au pouvoir et comme l’avait effectué le parti fasciste en Italie, le partie nazi signa un concordat avec l’église catholique romaine. Von Papen s’exclamait alors : « Le troisième Reich est la première puissance, qui non seulement reconnaît, mais aussi pratique les hauts principes de la papauté ». Et puis vint un autre front pour l’église catholique romaine qui ne voulait pas s’arrêter là, surtout que le chemin était tracé par les capitaux : ce fut l’Espagne.

Après l’affaire des bébés morts, en 1932-1934, le gouvernement espagnol avait promulgué les lois suivantes :

1- nationalisation des propriétés de l’église romaine,

2- les églises catholiques devaient payer des impôts,

3- les écoles ne seraient plus administrées par l’église catholique,

4- les écoles, couvents et monastères devaient être contrôlés par l’État espagnol,

5- reconnaissance des religions non-catholiques.

C’est alors que l’église envoya un de ses autres champions : Franco et son armée. L’armée de Franco fut envoyée pour briser les catholiques, les juifs et les protestants qui s’opposaient à la puissance de l’église. Un grand nombre de communistes soutenaient la république espagnole à l’époque. Les médias corrompus, qui étaient contrôlés par le Vatican et la classe capitaliste faisaient donc croire aux masses que l’Espagne était porteuse d’une révolution communiste.

La guerre civile espagnole fut sanglante et c’est ainsi que le 3 août 1937, le Vatican reconnaissait le gouvernement fasciste de Franco. Encore une fois, nous pouvons constater que l’église catholique, appui spirituel solide de la classe capitaliste, s’adaptait aux différentes conditions, selon l’époque et les pays et lançait ses inquisiteurs afin de mater tous les opposants.

L’église catholique avait nommé ces trois personnages les trois grands protecteurs de la foi :

1- Hitler

2- Mussolini

3- Franco.

Et l’église catholique romaine continuait d’étendre son empire, les capitaux impérialistes défrichant le terrain. En Belgique, Picard, Arendt et Foukalt affirmaient qu’Hitler était pour l’église catholique un « renouvellement spirituel ». Ensuite, les chars allemands occupèrent la France en quelques semaines et c’est ainsi que se posa une autre question : quel fut le rôle de l’action catholique de France dans l’invasion de la France par les armées allemandes ?

De même qu’aux États-Unis où le prêtre Coughlin proclamait à la radio : « la guerre menée par les Allemands est une lutte pour le christianisme ». Il est à noter que suite à cette déclaration, le prêtre fit de nombreux adeptes ! Le Vatican doit être une entité autonome, mais dans le même temps être un soutien spirituel actif pour l’impérialisme contemporain qui est caractérisé par un capital financier ultra belliqueux. Cette violence du capital financier et de son oligarchie doit être adoucie par les belles paroles du Vatican : « N’ayez pas peur ! »

D’ailleurs, dans sa « neutralité bienveillante » envers la classe capitaliste, le Vatican lui apporte un soutien matériel de taille, via L’IOR (Institut des Oeuvres Religieuses). En effet, l’IOR est la banque du Vatican. Toutes les organisations qui sont dirigées par l’église catholique romaine détiennent un compte dans cette banque : sachant que cette banque est intouchable et qu’elle ne pourra être révisée par aucune entité existante au monde !

La banque du Vatican (l’IOR) est un outil de conservation contemporain des capitaux et du capital financier. Voici quelques-unes des organisations qui détiendraient un compte dans cette banque et qui donc seraient dirigées par l’église :

1- Franc-Maçon

2- Illuminati

3- Banquiers

4- Mafia

5- Club de Rome.

Actuellement l’église catholique Romaine réclamerait deux choses :

1- La suppression de la liberté de conscience

2- Le droit d’utiliser la force contre les hérétiques.

En 1854, sous le pape Pie XI, ces deux dogmes exposés ci-dessus furent confirmés par lui et, en l’An 2000, le pape Pie XI fut béatifié par le pape Jean-Paul II pour sa loyauté à la doctrine !

Nous avons constaté plus haut ce que l’église catholique et ses copains capitalistes étaient capables de mettre en œuvre pour consolider leur hégémonie. Hitler, Mussolini, Franco, le Ku Klux Klan et toutes ces organisations aurait été formés et organisés par l’église catholique et la classe capitaliste. Ils ont été des formes d’inquisitions qui se sont adaptées aux conditions de leurs époques.

Toutes ces nouvelles formes d’inquisitions ont engendré des massacres atroces où le degré de violence était à peine imaginable (camps de la mort, assassinat lors de la ségrégation, etc, etc...). Nous ne pouvons pas créer d’échelle de mesure de la barbarie : la barbarie reste de la barbarie quelle que soit la forme qu’elle prend. La barbarie de Daech ne se détache en aucun cas de la barbarie de ces organisations ou personnages présentés plus haut dans une autre période.

Mais toutes ces organisations (nazies, fascistes, Daech, etc.) ont été inévitablement financées, organisées et détenaient un soutien moral : mais par qui ?

On sait que le parti nazi, par exemple, bénéficiait d’un soutien des monopoles sur le plan matériel, de par le constructeur automobile Ford ou encore le styliste Hugo Boss qui versaient tous les deux des sommes d’argent énormes au parti nazi. Sur le plan moral, ils étaient soutenus par toute une nation et par l’église catholique puisqu’elle était aussi à la source de leur existence. Pour répondre à cette question et savoir si Daech peut être une nouvelle forme d’inquisition de l’église catholique, il nous faut revenir sur les origines de l’État Islamique. Le nid dans lequel avait été formée cette entité se situe en Irak. Dans cette zone Al-Qaida était déjà formé. L’Irak était alors soumis aux actes belliqueux des différents impérialismes. En effet, sur le plan géopolitique l’Irak est une zone stratégique qui permet à l’impérialisme d’atteindre l’Iran.

Mais face à cette violence et ces actes d’ingérence des impérialistes, un rapprochement fut effectué entre la branche d’Al-Qaida en Irak et cinq autres entités terroristes. C’est de ce rapprochement que prit forme le conseil consultatif des Moudjahidines en Irak. C’est ainsi que ce conseil proclama ensuite la naissance de l’État Islamique en Irak). Le chef serait alors Abou Bakr Al-Baghdadi, le Calife et successeur de Mahomet. Et c’est ainsi qu’en 2012, cette entité débarquait en Syrie sous la bannière de L’EII.

La méthode de combat de Daech est particulièrement efficace et c’est la même méthode employée par les impérialismes, bizarrement. La méthode de combat de Daech a été rédigée entre 2002 et 2004 par un certains Abu Bakr Al-Nadji et fut intitulée « l’administration de la sauvagerie : l’étape la plus critique à franchir par la Oumma ». Cette théorie appliquée consiste à s’imposer idéologiquement et matériellement, par la force, dans des territoires arabes et musulmans ou face à certains pays impérialistes/capitalistes.

Cette méthode comporte donc quatre étapes :

1ère étape : Harcèlement de l’ennemi par les attentats et l’affaiblir moralement et matériellement. Ces attentats ne sont pas une finalité, mais le début d’un processus menant à la consolidation du pouvoir par les terroristes. La lutte ne se situe pas, uniquement, sur le plan matériel, car elle se situe aussi et surtout sur le plan moral. Daech est une idée, se nourrissant de la paupérisation, entre autres, engendré par le capital (Daech recrute par exemple dans les prisons) et c’est ainsi que Daech devient une idée armée et prête à se faire exploser.

2ème étape : Application de « l’administration de la sauvagerie », c’est-à-dire stratégie du chaos, sauvagerie, ultra violence et surtout déstabilisation des structures étatiques. Partout où Daech s’impose, il crée une situation de chaos et d’épuisement. Il engendre un dépassement et un épuisement des structures étatiques jusqu’à ce que la population perde confiance dans son gouvernement. Face à cette ultra violence, les gouvernements répliqueront par une autre ultra violence. De là l’établissement d’un chaos total.

3ème étape : Daech se présente comme une alternative. Quand le chaos a été provoqué et que l’espoir de la population a été dégradé, Daech se présentera donc comme une alternative. Daech rétablit la sécurité, ouvre les services sociaux, distribue de la nourriture et des médicaments, un enseignement, une justice : ils rétabliront l’ordre dans ce chaos qu’ils ont eux-mêmes déclenchés.

4ème étape : Proclamation du Califat et apparition d’un « proto-état ».

Le 9 avril 2013, Abou Bakr Al-Bagdadi déclarait que le Front-Al-Nosra était une branche de Daech en Syrie. Une fusion avait été déclenchée entre l’EII et une partie du Front-Al-Nosra qui donnait naissance à l’EIIL (État Islamique en Irak et au Levant). Mais, à l’origine, le Front-Al-Nosra était une branche d’Al-Qaida. Il s’ensuivait que les dirigeants d’une partie d’Al-Qaida étaient contre cette fusion et continuaient de faire allégeance à Al-Qaida : de là naissance d’un conflit entre l’EIIL et Al-Qaida. Ce conflit entre l’EI et Al-Qaida engendrait alors une autre question : la branche d’Al-Qaida, qui se situe contre l’EI, est-elle en liaison étroite ou intégrée dans la coalition dirigée des différends impérialismes contre l’EI ? Apparemment, la CIA aurait des liens étroits avec cette branche d’Al-Qaida.

Car après la consolidation du pouvoir de Daech sur une partie de la Syrie, l’EIIL devenait l’EI (État Islamique). Et c’est ainsi que la destruction de la Syrie continuait. L’ASL (Armée Syrienne Libre) se rebella contre le gouvernement d’Assad et l’EI. Le conflit entre l’EI et une partie d’Al-Qaida étant très forts, l’ASL recevait donc un soutien moral et matériel d’Al-Qaida en Syrie. Quand l’impérialisme français, entre autres, avait armé l’ASL, il avait donc directement ou indirectement aidé et armé Al-Qaida qui était l’un des piliers de l’ASL. D’ailleurs, lors de l’offensive de Racca, en 2014, l’ASL comptait dans ses rangs une partie des combattants d’Al-Qaida.

Ce qu’il est intéressant de constater, c’est que la méthode employée par Daech, dite « administration de la sauvagerie » est la même méthode employée par les différents impérialismes. L’impérialisme qui doit exporter ses capitaux et s’accaparer une main d’œuvre « bon marché », pour augmenter son taux de profit. Pour cela, il utilise aussi cette méthode qui consiste à engendrer un chaos total dans une région du monde. Une fois le chaos établi, l’impérialisme débarque et remet de l’ordre dans ce chaos sous couvert « d’un apport de la démocratie » : mais en réalité ils consolident leurs hégémonies coloniales et parasitaires dans ces mêmes zones.

Il s’ensuit que les « Djihadistes » qui sont présentés par l’impérialisme et les forces du Vatican, comme étant des criminels (ce qu’ils sont réellement), mettent en pratique une stratégie déjà utilisée par l’impérialisme. Mais en faisant cela, les serviteurs du spirituel et politique du capital criminalisent le véritable sens du mot « Djihadiste ».
Remettons les pendules à l’heure et expliquons ce que veut véritablement dire « Djihadiste ». Faire son Djihadisme ne veut surtout pas dire se faire exploser à l’aide d’une bombe ! La notion de Djihadisme est liée à la notion de l’homme qui combat, mais pas dans un sens aussi primitif évidemment. Un homme qui a une famille à nourrir par exemple : il galère dans un travail où il est exploité et dans lequel il gagne un salaire de misère.

Mais, malgré toutes ces difficultés, ce même homme travaille difficilement en restant fier, car il doit nourrir sa petite famille quoi qu’il advienne. Ce combat qu’il mène tous les jours pour nourrir sa famille est son Djihadisme à lui et fera donc de lui un Djihadiste. Ou encore la personne qui passe du temps à apprendre à lire et à écrire à des personnes qui vivent de l’autre côté du monde et qui combat pour que tous les enfants soient scolarisés, mène lui aussi un combat : lui aussi devient un Djihadiste. Et c’est là le véritable sens du mot Djihadiste, car il dénommera un combat, mais dans un sens large du terme. Il dénommera un combat dans la vie de tous les jours que vivent des millions d’hommes et de femmes : dans ce sens on est tous des Djihadistes.

Le problème provient des médias du capital qui ne veulent surtout pas expliquer la véritable signification du mot « Djihadisme » car, ce qu’ils veulent évidemment, c’est la confusion et l’amalgame. Ces Djihadistes usurpateurs de Daech détiennent donc un plan de domination mondial qui est proche d’un plan impérialiste. Il est donc probable que ce plan de domination mondial de Daech soit donc organisé et financé par des pays impérialistes. Si cela se révélait vrai, Daech serait inévitablement lié aux forces du Vatican qui sont totalement intégrées aux forces impérialistes et ont, elles aussi, dessiné leur plan de domination depuis longtemps.

Daech est à l’image d’un tracteur. L’impérialisme envoie ce tracteur à travers le monde, le tracteur avance et plante derrière lui les graines des capitaux à travers les terres fertiles, afin qu’elles poussent et fassent les fleurs du profit : le tracteur avance, mais les capitalistes et les forces obscures de l’église catholique romaine suivent la cadence et sont cachées derrière.

On a expliqué pourquoi nous ne pouvons pas faire confiance aux médias du capital. Daech pourrait donc compter dans ses rangs des combattants jésuites ou sionistes qui se feraient passer pour des musulmans intégristes, afin de semer la confusion et attiser les conflits et déclencher des guerres entre les peuples : comme vous l’aurez constaté plus haut l’église catholique en a une certaine expérience !

On peut aussi constater que Daech ne s’attaque pas uniquement aux Occidentaux, même si les médias essaient de nous faire croire le contraire. En effet, Daech s’attaque aux pays musulmans (Syrie ou Irak par exemple) alors qu’ils sont eux-mêmes musulmans à la base ! L’impérialisme et ses médias corrompus nous feraient donc croire que Daech serait un groupe terroriste musulman (ils sont véritablement des terroristes et des faux musulmans) qui s’attaquerait aux vrais musulmans : et tous ces massacres seraient observés par l’œil neutre et bienfaiteur de l’église catholique.

Mais pourquoi l’église s’attaquerait-elle aux musulmans ?

Nous avons pu constater depuis le début de cet article que l’église catholique romaine est dotée d’une force de capacité énorme : elle est comme un caméléon qui s’adapte aux sociétés qui passent. Son objectif est de garder une certaine hégémonie matérielle et spirituelle à travers toutes les sociétés qui se succèdent devant elle. Dans toutes les sociétés, l’église catholique a été l’appui spirituel de la classe dominante (bourgeoisie, seigneurs, etc...) qui lui offrait une partie du pouvoir politique : un tout unique doté d’un appui spirituel.

Mais la religion musulmane (on parle de la vraie religion musulmane et pas cette imposture présentée par Daech) est aussi une religion dotée d’une certaine expérience du monde et de l’humanité. Elle est aussi une religion ouverte, sans limite d’amour et d’espoir pour les hommes et elle se renforce toujours un peu plus et elle a de plus en plus d’adeptes : il s’ensuivrait nécessairement une émancipation politique de cette religion. Cette émancipation politique de la religion musulmane pourrait devenir un obstacle au plan de domination mondial de l’église catholique qui veut garder son hégémonie sur le globe.

Daech détiendrait toutes les caractéristiques d’une nouvelle forme d’inquisition de l’église catholique. En effet, Daech permettrait à l’église catholique d’en finir avec son principal concurrent (la vraie religion musulmane), mais de plus, il permettrait de fluidifier l’exportation des capitaux et le joug de l’impérialisme qui est le corollaire de l’église catholique pour la période contemporaine.

Actuellement, un des soutiens des impérialismes français ou Nord-américain est sans aucun doute le sionisme matérialisé par Israël. Ce n’est pas un secret de dire que le sionisme considère la vraie religion musulmane comme un ennemi à abattre. Si Daech était une nouvelle forme d’inquisition de l’église catholique, il serait aussi possible qu’il compte dans ses rangs des combattants sionistes pro-catholiques. En effet, tous les éléments seraient alors réunis pour empêcher l’émancipation politique de la religion musulmane.

Daech ne serait-il pas une nouvelle forme d’inquisition de l’empire du Vatican ?

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