Cet article s’appuie, en partie, sur le livre du docteur Alberto Rivera, qui avait été prêtre jésuite et évêque de l’église catholique romaine. Il avait des responsabilités à l’intérieur de l’église et il avait effectué des recherches intensives sur l’église catholique romaine. Dans le cadre de ses responsabilités, il avait été exposé à des situations et informations graves concernant l’église et qu’il a voulu ensuite dénoncer : atrocités de l’église catholique romaine dénoncés dans son livre « les crimes du Vatican ». Le Dr Alberto Rivera est mort le 20 juin 1997. Le Dr Rivera avait pour principal objectif de dénoncer le rôle de l’église catholique romaine dans les différents courants politiques et économiques mondiaux. Cet article n’est pas une affirmation : il est d’abord une question. Il s’appuie sur des facteurs objectifs et il a pour but d’être un outil afin d’attiser les discussions et les débats. Cet article existe aussi pour poser des questions sur le rôle de l’église catholique romaine dans la lutte de classe à travers toutes les périodes de l’histoire. Nous pourrons constater que dans différentes périodes de l’histoire, l’église a toujours joué un rôle fondamental dans les différents courants politiques : qu’il s’agisse des monarchies ou des républiques. * Témoignage de Donna Eubines (ancienne religieuse) : « Aujourd’hui, après 23 années passées comme religieuse dans le couvent St Joseph, je connais la vraie religion. Je peux dire avec mon expérience personnelle à l’appui que le DR Rivera disait la vérité sur le système religieux catholique ». * Témoignage de Clark Butter Field (ancien prêtre catholique) : « Après avoir lu les confessions d’Alberto Rivera, j’ai compris que je ne suis plus seul, en tant qu’ancien prêtre catholique, dans mon désir d’aider bien des gens à comprendre la tromperie catholique ».
Le journal La Croix titre : L’Allemand Ernst von Freyberg à la tête de la « banque du Vatican ».
Le Vatican a désigné vendredi un baron et industriel allemand, après une longue vacance de neuf mois à la tête de sa banque, sans doute la dernière nomination importante du pontificat, à 13 jours de la démission historique de Benoît XVI.
L’annonce le 13 mars de l’élection du pape argentin Jorge Bergoglio a suscité de nombreuses réactions.La Présidente Cristina Kirchner, dont les relations avec Bergoglio ont été tendues par le passé, notamment lors de l’approbation de la loi sur le mariage pour tous, lui a adressé ses félicitations, lui souhaitant une « tâche pastorale fructueuse ». Elle se rendra à Rome ce lundi pour le rencontrer et assister à la messe d’intronisation prévue mardi.
Au Vatican, ces jours ci, avec l’inhabituel double baiser à l’anneau pontifical par Berlusconi et, toutes proportions gardées, la tout aussi inédite promenade des deux amis, Ratzinger et Bush, dans les Jardins vaticans avec prière finale -privilège jamais concédé jusque là à un chef d’Etat - s’est consommée de façon ostentatoirement provocatrice l’alliance stratégique mondiale entre la domination impériale ancrée aux USA et la domination du sacré éthico-sirituel-religieux incarné par le sommet de l’Eglise catholique.