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Thème : Vatican

Daech ne serait-il pas une nouvelle forme d’inquisition de l’empire du Vatican ?

Jimmy DALLEEDOO

Cet article s’appuie, en partie, sur le livre du docteur Alberto Rivera, qui avait été prêtre jésuite et évêque de l’église catholique romaine. Il avait des responsabilités à l’intérieur de l’église et il avait effectué des recherches intensives sur l’église catholique romaine. Dans le cadre de ses responsabilités, il avait été exposé à des situations et informations graves concernant l’église et qu’il a voulu ensuite dénoncer : atrocités de l’église catholique romaine dénoncés dans son livre « les crimes du Vatican ». Le Dr Alberto Rivera est mort le 20 juin 1997. Le Dr Rivera avait pour principal objectif de dénoncer le rôle de l’église catholique romaine dans les différents courants politiques et économiques mondiaux. Cet article n’est pas une affirmation : il est d’abord une question. Il s’appuie sur des facteurs objectifs et il a pour but d’être un outil afin d’attiser les discussions et les débats. Cet article existe aussi pour poser des questions sur le rôle de l’église catholique romaine dans la lutte de classe à travers toutes les périodes de l’histoire. Nous pourrons constater que dans différentes périodes de l’histoire, l’église a toujours joué un rôle fondamental dans les différents courants politiques : qu’il s’agisse des monarchies ou des républiques. * Témoignage de Donna Eubines (ancienne religieuse) : « Aujourd’hui, après 23 années passées comme religieuse dans le couvent St Joseph, je connais la vraie religion. Je peux dire avec mon expérience personnelle à l’appui que le DR Rivera disait la vérité sur le système religieux catholique ». * Témoignage de Clark Butter Field (ancien prêtre catholique) : « Après avoir lu les confessions d’Alberto Rivera, j’ai compris que je ne suis plus seul, en tant qu’ancien prêtre catholique, dans mon désir d’aider bien des gens à comprendre la tromperie catholique ».

L’église catholique à notre époque Notre époque est marquée par le mode de production capitaliste qui a balayé le féodalisme devenu un mode de production obsolète. Les seigneurs féodaux ont depuis longtemps laissé la place aux dirigeants du CAC 40 et des actionnaires tout puissants. Les sociétés ont changé, car la vie sociale de chaque pays change inévitablement. Les forces productives se développent sans cesse et les hommes engendrent des moyens de production toujours plus performants. Tout cela est englobé dans un processus de devenir sans interruption, c’est-à-dire que toutes les sociétés changent : les hommes aussi. Les seigneurs féodaux ont laissé la place aux bourgeois et la puissance des capitaux bourgeois a effacé les propriétés féodales : alors qu’un élément devient obsolète et sans puissance, un autre élément prend forme et acquiert de la puissance. Mais, l’église catholique romaine, elle, est restée une institution puissante et elle est toujours dotée d’une certaine force morale sur les États : sa (...) Lire la suite »

L’Allemand Ernst von Freyberg à la tête de la « banque du Vatican »

La Croix

Le journal La Croix titre : L’Allemand Ernst von Freyberg à la tête de la « banque du Vatican ».

Le Vatican a désigné vendredi un baron et industriel allemand, après une longue vacance de neuf mois à la tête de sa banque, sans doute la dernière nomination importante du pontificat, à 13 jours de la démission historique de Benoît XVI.

Ernst von Freyberg, membre de l’Ordre de Malte et qui organise des pèlerinages au sanctuaire marial de Lourdes (France), a été sélectionné parmi 40, puis 6, puis 3 candidats, à la tête de l’IOR, l’Institut pour les œuvres de religion, institut financier unique au monde et auréolé de secret. Cette nomination était attendue depuis longtemps, signe que le processus de choix a été délicat, dans un contexte de crise pour l’IOR. Pendant ce temps, dans ses appartements, le pape de 85 ans continuait à recevoir, suivant un programme toujours chargé : des évêques italiens, le président roumain Traian Basescu, une délégation d’une organisation caritative du Benelux. Selon un rituel inchangé, d'après les journalistes présents à l’audience de M. Basescu. Alors que le pontificat touche à sa fin et que le pape lui-même a fait allusion mercredi aux « coups » portés à l’unité de l’Église, cette nomination mettra-t-elle fin aux rumeurs autour des luttes de pouvoir au Vatican ? La presse italienne assure que la question de (...) Lire la suite »

« Bergoglio a participé au silence complice de l’Eglise avec la dictature génocidaire »

Flora Carpentier

L’annonce le 13 mars de l’élection du pape argentin Jorge Bergoglio a suscité de nombreuses réactions.La Présidente Cristina Kirchner, dont les relations avec Bergoglio ont été tendues par le passé, notamment lors de l’approbation de la loi sur le mariage pour tous, lui a adressé ses félicitations, lui souhaitant une « tâche pastorale fructueuse ». Elle se rendra à Rome ce lundi pour le rencontrer et assister à la messe d’intronisation prévue mardi.

Néanmoins, dans l'échiquier politique argentin, ce sont surtout les secteurs de l'opposition patronale qui sortent renforcés de cette élection et s'en sont réjouit, rejoignant l'élan de fierté nationale qui animait la foule catholique réunie devant la cathédrale de Buenos Aires pour fêter l'évènement. Dans ce contexte, de nombreux militants ont manifesté leur indignation : « Le pape complice ! ». Car derrière l'image d'un pape humble et proche des pauvres que l'Eglise s'acharne à mettre en avant, se cache un lourd passé pour celui qui fût l'archevêque de Buenos Aires : sa complicité avec la dictature génocidaire des années 70, la plus sanglante de l'histoire argentine ; celle-là même qui a torturé et fait disparaître plus de 30000 militants ouvriers et des organisations de gauche sous les ordres du général Videla et de l'Amiral Massera portés au pouvoir par le coup d'Etat militaire de mars 1976. Il ne faudrait pas oublier qu'avant d'être nommé responsable de la Compagnie de Jésus, Bergoglio a milité au sein (...) Lire la suite »

La Croix Rouge et le Vatican "ont aidé à fuir des milliers de Nazis"

Aporrea
Un livre récent a révélé comment la Croix Rouge et le Vatican ont aidé des milliers de criminels de guerre nazis, dont Adolf Eichmann et Josef Mengele, à échapper à la justice après la guerre. 28 Mai 2011 - Dans son livre Nazis on the Run : How Hitler's Henchmen Fled Justice soit "Nazis en fuite : comment les Hitlériens ont échappé à la justice", Gerald Steinacher, chercheur à l'Université de Harvard, comment des milliers de nazis ont réussi à éviter d'être reconnus et à commencer un nouvelle vie. Steinacher appuie une grande partie de son livre sur des documents non publiés, gardés par la Croix Rouge, révélant un organisme qui luttait pour faire front à des millions de personnes déplacées après la guerre en Europe et qui a pu être exploité par les nazis en fuite. L'historien estime que 8 000 hommes de la SS ont réussi à fuir en Angleterre et au Canada rien qu'en utilisant des papiers qui leur avaient été envoyés par la Croix Rouge "par erreur". Mais, la majorité des criminels de guerre qui s'enfuirent se (...) Lire la suite »

La suffocante étreinte vaticane

Enzo MAZZI

Au Vatican, ces jours ci, avec l’inhabituel double baiser à l’anneau pontifical par Berlusconi et, toutes proportions gardées, la tout aussi inédite promenade des deux amis, Ratzinger et Bush, dans les Jardins vaticans avec prière finale -privilège jamais concédé jusque là à un chef d’Etat - s’est consommée de façon ostentatoirement provocatrice l’alliance stratégique mondiale entre la domination impériale ancrée aux USA et la domination du sacré éthico-sirituel-religieux incarné par le sommet de l’Eglise catholique.

Il s'est agi de l'acte final d'un processus qui vient de loin, de l'après-guerre, quand le sommet du Vatican a su remplacer l'alliance avec la dictature fasciste et nazie, ruineusement défaites, en s'ouvrant au système de la domination occidentale libérale ou démocratique glorieusement triomphant et porteur d'avenir. La parenthèse conciliaire semblait avoir interrompu ce processus de compactage du système de domination pour ouvrir l"Eglise à un horizon prophétique de libération de toute aliénation. La politique vaticane de l'après-concile a refermé la lézarde de l'espoir. Et nous sommes maintenant dans la toile de l'araignée qui, avec de robustes fils, enveloppe le monde et toute existence humaine sans voies d'issue apparentes. Nous suffoquons sans arriver à voir d'ouvertures. La laïcité est à son minimum historique. « Nous n'avons pas besoin d'une nouvelle laïcité » sentence Aldo Schiavone, en hissant le drapeau blanc de la reddition. Et elles ne servent pas à grand-chose les souffrances et les (...) Lire la suite »