Je ne sais pas bien qui est (politiquement) CurcumaBio. Je découvre un de ses articles sur LGS (« Art critique médias », ci-dessous en page centrale ou par ce lien :
http://www.legrandsoir.info/art-critique-medias.html).
Demain peut-être, les faux-antifafs instrumentalisés par la DCRI, propulsés par leur ignorance, dopés par leur haine (1), faisant en aveugle des moulinets de manches de pioches, assourdis par leur orgueil d’avoir tout compris tous seuls, hissés sur les remparts des certitudes carrées, drogués par leur zèle de néophytes, assoiffés de reconnaissance, confortés par les encouragements en cercle fermé où les réunions sont longues et les idées courtes, maniaques des exclusions et des procès sans avocat de la défense, demain peut-être, ces gauchistes crypto-fascistes qui s’ignorent (qui s’ignorent, pas sûr, pas tous), qui déshonorent l’idéal dont ils se réclament et à qui les pères de l’anarchie fesseraient les joues, demain, dis-je en cette phrase interminable, m’apprendront-ils (avant que l’âge et l’ambition ne déposent du gras sur leur ventre, du visqueux dans leur cerveau et leur fasse haïr les révolutions) que LGS a failli en publiantCurcumaBio avant d’avoir mené sur lui l’enquête policière ad hoc, comme ils savent en faire, pas chez eux, mais dans les placards du GS (quitte à y déposer de la came, pour nous confondre).
En attendant, « Art critique médias » est un article qui en vaut dix, bourré d’illustrations dont chacune éclaire comme cent articles.
J’en vois parmi vous qui ne l’ont pas, lu. Je leur laisse un jour ou deux avant de les livrer aux « aux-antifafs instrumentalisés par la DCRI, propulsés par leur ignorance, dopés par leur haine (1), faisant en aveugle des moulinets de manches de pioches, assourdis par leur orgueil, etc. ».
Théophraste R. (Commercial placeur d’articles au GS).
(1) Alors même que chacun découvre comment le fanatisme a conduit à la mort de Clément Méric, des abrutis masqués, soi-disant antifascistes et sévissant sur l’exécrable Indymédia, y appellent à l’interdiction d’une conférence de l’historienne communiste Annie Lacroix-Riz (« Conspis, fachos, on vous fera taire ! ») et traitent un administrateur du Grand Soir d’« ordure rouge-brune ».
Le « Ni dieu ni maître » laisse la place aux vociférations du grand Inquisiteur mâtiné de Goebbels, et seul leur isolement empêche que soient affûtées les tenailles en sous-sol et dressés des bûchers
PS. A la demande de l’auteur de l’article cité, son nom a été changé.