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La Palestine pour laquelle nous nous battons, par Stop The Wall .



Demolition dans la vallée du Jourdain




Photo : Stop The wall






30 novembre 2007.


Les manifestations de mardi dernier qui ont fait descendre des milliers de gens dans les rues de Ramallah, d’Hébron, Tulkarem, Naplouse et Gaza malgré les efforts de l’Autorité Palestinienne pour les réduire au silence, a représenté un moment crucial pour la Palestine.


Notre manifestation, qui était soutenue par les comités populaires des camps de réfugiés et plus de cent cinquante organisations et représentants de la société civile, appelait à la défense des principes fondamentaux de notre combat : le droit au retour des réfugiés, le droit à Jérusalem comme capitale de la Palestine, et le droit à notre terre.

Nous refusons la reconnaissance d’Israël en tant qu’Etat juif, car cela légitimerait l’idéologie sioniste, le colonialisme, le racisme et la purification ethnique, et en fait exonérerait Israël des crimes de la Nakba, et équivaudrait à l’abandon du droit de retour. Une telle reconnaissance justifierait et renforcerait le système d’apartheid israélien à l’égard des citoyens palestiniens d’Israël. (...)

- Lire l’ article www.ism-france.org






"La démoralisation du Peuple palestinien est un préalable à la liquidation de ses droits", entretien avec Adel Samara, par Pauline Salingue.



La Révolution Sioniste est morte, par Michel Warschawski.


Israël : voyage en terre promise. Promise pour qui ? par Pierre Stambul.






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Que ce soit bien clair : nous avons commis des erreurs, évidemment. Et nous en commettrons d’autres. Mais je peux te dire une chose : jamais nous n’abandonnerons le combat pour un monde meilleur, jamais nous ne baisserons la garde devant l’Empire, jamais nous ne sacrifierons le peuple au profit d’une minorité. Tout ce que nous avons fait, nous l’avons fait non seulement pour nous, mais aussi pour l’Amérique latine, l’Afrique, l’Asie, les générations futures. Nous avons fait tout ce que nous avons pu, et parfois plus, sans rien demander en échange. Rien. Jamais. Alors tu peux dire à tes amis "de gauche" en Europe que leurs critiques ne nous concernent pas, ne nous touchent pas, ne nous impressionnent pas. Nous, nous avons fait une révolution. C’est quoi leur légitimité à ces gens-là, tu peux me le dire ? Qu’ils fassent une révolution chez eux pour commencer. Oh, pas forcément une grande, tout le monde n’a pas les mêmes capacités. Disons une petite, juste assez pour pouvoir prétendre qu’ils savent de quoi ils parlent. Et là, lorsque l’ennemi se déchaînera, lorsque le toit leur tombera sur la tête, ils viendront me voir. Je les attendrai avec une bouteille de rhum.

Ibrahim
Cuba, un soir lors d’une conversation inoubliable.

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