RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher
53 

La Russie affirme avoir trouvé deux autres laboratoires militaires sur les territoires libérés du Donbass

L’avancée de l’armée russe permet de découvrir, ce qui se passait sur les territoires ukrainiens contrôlés par les forces américaines et de l’OTAN. Encore deux laboratoires militaires biologiques ont été découverts sur le territoire libéré de Lougansk, à Rubejnoe et Severodonetsk. Par ailleurs, des informations concernant l’état de santé des militaires ukrainiens montrent qu’ils ont manifestement servi de souris de laboratoire. Voyons combien de temps ce texte restera publié, sans être retiré, comme le précédent sur ces programmes étasuniens de financement des laboratoires biologiques militaires en Ukraine.

Selon des sources russes, pour l’instant discrètes, l’armée russe aurait trouvé deux laboratoires biologiques étasuniens dans les villes de Rubejnoe et de Severodonetsk, dans la région de Lougansk.

Le retrait de l’armée ukrainienne ayant été rapide, il n’a pas été possible ni d’emporter, ni de détruire le contenu de ces laboratoires, mais tout a été soigneusement miné. Les représentants des forces de l’ordre sont sur place, ainsi que les experts, afin de comprendre ce qui se tramait dans ces laboratoires.

Rappelons que, documents à l’appui, le ministère russe de la Défense a déclaré le 6 mars de cette année, que les EU ont dépensé plus de 200 millions de dollars pour des laboratoires militaires biologiques ukrainiens.

Comme il ressort du rapport, le Pentagone et le Department of Defense Threat Reduction Administration (DTRA), ainsi que Black & Veatch (Overland Park, Kansas) et CH2M Hill (Englewood, Colorado) ont participé au programme du côté des EU, et l’Institut de recherche Kievsky Gromashevsky sur l’épidémiologie et les maladies infectieuses, l’Institut de médecine vétérinaire (Kiev), le Centre de santé publique du ministère de la Santé de l’Ukraine (Kiev), l’Institut Mechnikov de microbiologie et d’immunologie (Kharkiv), le Centre ukrainien de recherche contre la peste (Odessa), Institut de recherche d’épidémiologie et d’hygiène de Lviv :

Sur la trentaine de laboratoires ukrainiens, qui ont participé au programme militaire étasunien, 11 laboratoires du département central sanitaire épidémiologique du ministère ukrainien de la Défense participaient au contrôle de la situation biologique, de la sélection et du transfert des souches, etc. De plus, à l’occasion de cette surveillance un contrôle de l’accès aux agents pathogènes (PACS) a été instauré. Le ministère russe de la Défense précise encore :

Il est à noter que des souches et des biomatériaux ont été collectés et transférés à l’US Army Reed Research Institute. Il s’agit d’échantillons de souches hautement pathogènes d’agents pathogènes de maladies infectieuses (peste, charbon, choléra, tularémie, brucellose, virus Crimée-Congo, hantavirus, virus de l’encéphalite à tiques et leptospirose), ainsi que de 4 000 échantillons biomédicaux provenant des membre de l’armée ukrainienne.

Depuis, les médecins russes examinent les prisonniers militaires ukrainiens et ont fait d’étranges découvertes, confirmant que ces militaires ont fait l’objet d’expérimentations médicales pendant des années, car leur taux de maladie est largement au-dessus de la moyenne normale :

« Un tiers des militaires examinés avaient (ou sont actuellement malades) de l’hépatite A, plus de quatre pour cent avaient une fièvre avec syndrome rénal, vingt autres pour cent souffraient d’une maladie au nom exotique de fièvre du Nil occidental ».

Il est évident que les plateformes et les médias bloquent toute publication sur le sujet, qui est vraiment trop sensible ... et scandaleux. L’on comprend mieux le jusqu’au-boutisme atlantiste, qui ne peut se permettre de voir révéler ses secrets de familles peu ragoûtants.

Karine Bechet-Golovko

source : Russie Politics

»» https://reseauinternational.net/la-russie-affirme-avoir-trouve-encore-...
URL de cet article 38145
  
AGENDA

RIEN A SIGNALER

Le calme règne en ce moment
sur le front du Grand Soir.

Pour créer une agitation
CLIQUEZ-ICI

Hillary Clinton, la « Reine du Chaos »
Diana JOHNSTONE
1. Dans votre dernier livre, vous appelez Hillary Clinton la « Reine du Chaos. » Pouvez-vous expliquer pourquoi vous avez choisi ce sobriquet péjoratif pour décrire Hillary ? En un mot, la Libye. Hillary Clinton était si fière de son rôle majeur dans le déclenchement de la guerre contre la Libye qu’elle et ses conseillers avaient initialement prévu de l’utiliser comme base d’une « doctrine Clinton », ce qui signifie une stratégie de changement de régime façon « smart power » , comme un slogan de la (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

Ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine leur existence, c’est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience.

Karl Marx

Reporters Sans Frontières, la liberté de la presse et mon hamster à moi.
Sur le site du magazine états-unien The Nation on trouve l’information suivante : Le 27 juillet 2004, lors de la convention du Parti Démocrate qui se tenait à Boston, les trois principales chaînes de télévision hertziennes des Etats-Unis - ABC, NBC et CBS - n’ont diffusé AUCUNE information sur le déroulement de la convention ce jour-là . Pas une image, pas un seul commentaire sur un événement politique majeur à quelques mois des élections présidentielles aux Etats-Unis. Pour la première fois de (...)
23 
Appel de Paris pour Julian Assange
Julian Assange est un journaliste australien en prison. En prison pour avoir rempli sa mission de journaliste. Julian Assange a fondé WikiLeaks en 2006 pour permettre à des lanceurs d’alerte de faire fuiter des documents d’intérêt public. C’est ainsi qu’en 2010, grâce à la lanceuse d’alerte Chelsea Manning, WikiLeaks a fait œuvre de journalisme, notamment en fournissant des preuves de crimes de guerre commis par l’armée américaine en Irak et en Afghanistan. Les médias du monde entier ont utilisé ces (...)
17 
"Un système meurtrier est en train de se créer sous nos yeux" (Republik)
Une allégation de viol inventée et des preuves fabriquées en Suède, la pression du Royaume-Uni pour ne pas abandonner l’affaire, un juge partial, la détention dans une prison de sécurité maximale, la torture psychologique - et bientôt l’extradition vers les États-Unis, où il pourrait être condamné à 175 ans de prison pour avoir dénoncé des crimes de guerre. Pour la première fois, le rapporteur spécial des Nations unies sur la torture, Nils Melzer, parle en détail des conclusions explosives de son enquête sur (...)
11 
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.