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Les darks-vadors de l’Empire, au service de Jupiter.

Il était une fois dans un royaume aux terres riches et productives d’un « blé avenant » et d’artisans et ouvriers producteurs

Mais dont le peuple était, comme en 1789, affublé d’impôts et de taxes injustes, les conduisait à subir au quotidien les fins de mois difficiles.

Pauvreté de la solde, pauvreté du logement, précarités de l’emploi, ubérisation des contrats et marginalisation des « sans droits »,

Tandis que dans le même temps les richesses s’accumulaient en haut de la pyramide sans jamais ruisseler sur le « peuple d’en bas ».

Telle était la situation de la « République  » du monarque Macron, surnommé « Jupiter » en révérence au « Dieu de l’Olympe » imposant…

Alors, l’Histoire arrêté depuis tant de temps, depuis trop longtemps, selon la thèse de « la fin de l’Histoire », repris son cours impénitent,

Et le « gilet jaune des contraintes », du travail et des sécurités du « nomadisme salarial imposé », devint symbole de liberté et d’Emancipation,

Et comme Louis XVI, en 1789, où les gardes suisses étaient chargés de la sauvegarde d’un pouvoir en déroute politique permanente,

Jupiter, promu par les banquiers de « l’ordre juste », celui du « capitalisme propriétaire », fit appel aux « darks-Vadors » de son empire,

Car, c’est du rapport de propriété privée des moyens de production que « l’extraction de richesses » opère sa razzia sur les peuples,

Rejetant ceux-ci dans les bas-fonds du « marché du travail », des précarités sans fin, du logement cher et des « fins de mois » inaccessibles.

L’on vit alors, comme au « champs de Mars » (1791), des scène de tirs des « dark-vadors », estropier, mutiler et aussi tuer le peuple prolétaire.

Casqués, bottés, gantés, protégés et organisés en « bandes de répression » contre un peuple portant ses doléances contre les injustices…

Les mêmes que celle de 1789, injustices fiscales, injustices sociales, et injustices politiques qui font tant de dégâts sur la Nation solidaire.

La justice, comme en 1789, aux ordres du pouvoir du monarque Jupitérien, condamnait à tours de bras les « révoltés de la finance ».

Car telle est l’origine est de la violence, celle de la « finance libérée », du « marché libre et non faussé », produisant « l’ubérisation sans fin »

Des pauvretés accumulées, sur le trottoir des perditions, dormant sur le macadam des métropoles du business, des prédateurs mondialisés,

Dont les poussettes, ouvertes à tous les vents, ne servent qu’à amasser les détritus récupérés dans les poubelles de « l’Hypercentre gentrifié ».

Oui, comme l’écrivait Hugo, « C’est de l’enfer des pauvres qu’est fait le paradis des riches » qui balbutie ici, à nouveau, en pire du pire.

Comme l’annonçait déjà Robespierre, celui dont la réputation de sanguinaire doit être comparé aux « violences » dénoncées des gilets jaunes,

« Le peuple ne demande que le nécessaire, il ne veut que justice et tranquillité ; les riches prétendent à tout, ils veulent tout envahir et tout dominer. Les abus sont l’ouvrage et le domaine des riches, ils sont les fléaux du peuple : l’intérêt du peuple est l’intérêt général, celui des riches l’intérêt particulier »… déclamation tellement authentique, tellement historique, à l’aune des « fraudeurs de l’impôt en bande organisée »…

En ces temps de violences du Capital sur le travail, et face aux « darks-vadors » de l’Empire de Jupiter, Rappelons ici et encore notre Histoire :

« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple le plus sacré et le plus indispensable des devoirs.

Les « gilets jaunes » ne sont que la matérialisation de cette banderole, contre les « darks-vadors de l’Empire », au seul service de Jupiter.

Pour l’insurrection du Peuple, le 27 Janvier 2019, Fabrice

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Viktor Dedaj

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