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Auteur : Fabrice AUBERT

Riche Marseille, pauvres Marseillais

Fabrice AUBERT
MA PASSION POUR L’HUMAIN / AVERTISSEMENT AU LECTEUR : Bon il faut sur ce papier que je précise les choses. Je ne suis pas Marseillais, je suis né à Paris en 1958 et je n’aime ni Marseille, ni les Marseillais en tant que tel, trop clinquants et superficiels. On peut passer ici, en 10 mn, de l’amitié pour l’éternité, à la détestation éternelle, d’où les coups de sang réguliers qui font les chroniques du quotidien. Que les Marseillais me contredisent... Un regard décalé : J’ai donc un regard décalé sur cette ville et ses habitants-citoyens, mais un regard plein d’humanité, là où le bourgeoisie Marseillaise et la mafia du business et des tours du même nom, ne pense qu’en argent et profit. J’ai d’autant plus d’humanité pour les marseillais que dans ma jeunesse j’ai travaillé dans les quartiers nord de Marseille, où j’étais surveillant d’externat au collège Elsa Triolet de St Antoine, juste en dessous de la cité du Plan d’âou. Déjà dans les années 80 on voyait la situation sociale des (…) Lire la suite »

Tout sauf Mélenchon (lettre ouverte)

Fabrice AUBERT
Cher Jean-Luc, Tu ne me connais pas ou si peu, je fais partie de ces innombrables militants qui dans l’ombre, font ce qu’ils ont à faire au quotidien de ce monde pourri, en vue de montrer un peu de lumière, dans ces ténèbres de l’obscurantisme marchand. Et de plus je n’aime pas les selfies… On a du se rencontrer une ou deux fois, jamais dans de bonnes conditions et je ne suis même pas sûr que si on discutait vraiment, on serait en accord, tellement toi et moi on se ressemble. Mon surnom au syndicat et à l’époque au Parti Communiste était de « casse couille » et je le revendique. Ça me va bien, avec 22 ans de placard à Marseille Métropole (ingénieur-Economiste indiquant que le service public fait mieux et moins cher que le marché), militant CGT et désormais secrétaire du CHSCT. Je ne te dis pas, mes interventions orales et écrites sont à la fois attendues et redoutées, y compris par l’Administration, tellement elles sont à la fois pointues et ciselées d’un phrasé de Molière, qui (…) Lire la suite »
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Non, les citoyens français n’habitent pas sur des territoires, mais dans des communes, ce qui définit leur contrat politique avec la Nation.

Fabrice AUBERT
Lettre ouverte à M. de Castex Introduction : Lors de votre discours de politique générale, devant conduire au soutien des « play mobils », le premier ministre a à plusieurs reprises (25 fois) développé le concept de territoires, pour montrer comment sa politique, allait se matérialiser à partir de « l’expérimentation des territoires ». L’objet de ce papier est une fois de plus de dénoncer les mots utilisés, qui s’inspirant du « libéralisme », sont uniquement utilisés en vue de masquer les « maux du Capitalisme mondialisé »… Commençons… Qu’est-ce qu’un Territoire ? Etymologiquement, le territoire n’est pas l’espace sur lequel vivent les hommes de la démocratie, dénommés citoyens et qui de fait habitent dans des communes, fondement de la démocratie et de la République. Le « territoire » est d’abord l’espace de vie et de survie des animaux. Ceux-ci d’ailleurs définissent leur territoire par une trace olfactive, que chaque animal peut reconnaitre. C’est par ce réflexe que le chien (…) Lire la suite »
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Robespierre, Mélenchon, le RIC et la Révolution

Fabrice AUBERT

Je participais l’autre soir à une « assemblée citoyenne » organisé par les gilets jaunes de Marignane, qui, connaissant mes « compétences politiques » m’invitent comme « intellectuel témoin ». Je n’ai pas plus droit à la parole que d’autres, mais j’ai la liberté de témoigner, avec ma « liberté de penser  », au sens matérialiste du terme. La thématique du soir était le RIC.

Une soixantaine de citoyennes et citoyens étaient présents pour une discussion qui a duré plus de 2 h 30…Comme j’avais déjà réalisé un papier synthétique de 4 p sur le RIC, j’ai commencé mon introduction par Marx : « Celui qui ne connait pas son histoire est condamné à la revivre » Et j’expliquais comment finalement cela faisait 30 ans que l’on s’était politiquement endormi, laissant au pouvoir le soin de manœuvrer, détruisant pierre à pierre ce que la Résistance avait construit (C.N.R). Qu’enfin le RIC n’était pas quelque chose de neuf mais profondément inscrit dans notre Histoire, notamment avec Robespierre. Et je leur lu des passages de Robespierre… Robespierre, pas sanguinaire… Révolutionnaire : J’ai appris comme tout le monde au Lycée, que Robespierre au-delà de son surnom « d’incorruptible », était sanguinaire. Ce n’est que récemment que j’ai découvert qu’il était un Révolutionnaire au sens propre du terme. Comme le font aujourd’hui les médias, ne pouvant s’attaquer à (…) Lire la suite »
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Du Tribunal Inquisitoire à l’unité - Lettre ouverte aux « plus révolutionnaires que moi tu meurs »

Fabrice AUBERT
Appel à l’Union : Après les élections Européennes, que n’a-t-on entendu de la part de la gauche de l’appel à l’unité ? incriminant de fait la démarche solitaire de Mélenchon…le solitaire qui en 2017 a rassemblé 19 % des électeurs dans des conditions électorales lamentables (faux soutien du P.C.F, Candidature du N.P.A (très unitaire alors), Campagne médiatique insupportable (Venezuela, Alba etc…). A 600.000 voix près, l’espoir était au second tour et pouvait relever le défi de construire…un « avenir en commun ». Pas meilleur titre pour un programme humain…pas meilleur titre pour un programme communiste à l’échelle de l’humanité (le P.C.F proposait pour sa part : « la France en commun »…), de fait beaucoup moins internationaliste, pas vrai les camarades ? De la démocratie : Devant la déception du résultat aux Européennes, alors l’incantation à la démocratie et au pluralisme fut convoqué devant le tribunal de l’Histoire, et JLM fut condamné, pour n’avoir pas su une nouvelle fois (…) Lire la suite »
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Qui a vraiment gagné les élections Européennes ?

Fabrice AUBERT
Le capitalisme peut dormir tranquille. Le résultat des apparences : Depuis hier soir, les merdias, comme à leur habitude éructent de délice. Victoire du F.N, montée des verts, baisse des républicains (L.R), « écroulement de Mélenchon », développant la thèse de la poursuite du « dégagisme » oubliant à ce propos que le théoricien de cette thèse porte le nom de Mélenchon…mais les merdias ne sont pas à une contradiction près, du moment que du papier et des images soient vendus… P.U.B. Si les chiffres bruts, livrés sur l’écran cathodique qui brille, donnent ce résultat, ceux-ci ne sont que des apparences jetées en pâture au bon peuple crédule… L’union européenne est massivement rejetée par les peuples : le premier fait au-delà des résultats politiques est que l’Union européenne est massivement rejetée par les peuples ce que dévoile l’évolution de l’abstention à chaque nouvelle élection du Parlement. Les résultats politiques d’apparence : Je vous ai mis deux graphiques pour le même (…) Lire la suite »
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Lettre ouverte au « petit propagandiste » (Pujadas)

On ne réduit pas la vie et l’Europe à une statistique erronée

Fabrice AUBERT
Introduction : L’autre soir, lors de la « grande confrontation » sur LCI, le propagandiste en chef nous a livré son graphique sur le temps de travail, qui montrerait le fait que les « français » travaillent le moins en Europe… Au-delà de discuter philosophiquement, si le sens de la vie est le travail (tripalium en latin), il y a dans la présentation du « propagandiste » une ineptie fondamentale, sur le graphique présenté. Précisons, la politique mérite un débat démocratique, c’est-à-dire un débat sur le choix de société qui se présente à nous. Chacun peut avoir le droit de présenter une analyse politique différente, encore faut-il partir de données incontestables ou alors, car toutes sont discutées, notamment chez les experts, de montrer des graphiques différents en soulignant de fait leurs construction différentes. Tel n’est pas le cas chez le JUDAS des Médias, qui impose un graphique et un seul comme porteur de VERITE. Staline n’aurait pas mieux fait… Temps de travail par (…) Lire la suite »

Europe : Des déclamations aux réalités. Boycotter ou voter blanc est-ce Révolutionnaire ?

Fabrice AUBERT
Introduction : Le 26 mai prochain les électeurs des pays de l’Europe seront appelés à voter pour élire leurs députés. L’objet de ce papier est de dévoiler les matrices sous-jacentes à « l’impérium européen », pour permettre aux « lecteurs-citoyens » de se faire une opinion sur la réalité Européenne et non sur les seules déclamations affichées. Le réel étant souvent gommé par l’idéologie des incantations proclamées. En politique le verbe ne prend de la puissance effective que s’il se matérialise dans les faits. Dans le cas inverse, il n’est qu’idéologie, c’est-à-dire propagande au seul service de ceux qui manient le verbe. Alors l’Europe : Idéologie ou matérialité ? Voter ou ne pas voter ? Où est la Révolution ? L’Europe c’est la Paix : Telle est la première incantation des promoteurs de l’Europe, dont on peut dire que les peuples aspirent en premier au lendemain de la guerre de 1939-1945 ayant payé un lourd tribut avec 80 millions de morts. Il s’agit donc de transformer le (…) Lire la suite »
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Avec le capitalisme l’humanité est en danger

Les profits avant la mer

Fabrice AUBERT
Préambule : Cela fait plusieurs mois que cet article est prêt, mais ayant eu d’autres priorités, je n’ai eu le temps de le proposer. Et puis voilà qu’un nouvel « accident maritime » vient d’avoir lieu, qui là aussi, et sans doute encore plus qu’en Corse, va polluer la mer, la faune et les terres détruisant le fragile équilibre de l’écosystème. Ce coup-ci le bateau est italien au nom de « Grande America », América du « nouveau monde » pour le coup pétri dans les violences coloniales des « alizés porteurs », dénommés « trade-winds » par les anglais ce qui signifie « vents commerciaux » du marché déjà « libre et non faussé » (massacre des indiens et esclavage des noirs). Le navire a coulé laissant échapper ses 2.200 tonnes de fioul lourd qui dérive au grès des flots [30]. A bord se trouvaient aussi 35 conteneurs chargé de matière dangereuse. L’Etat a mis en demeure l’armateur, sans aucune réaction de sa part. Le service public va donc une fois de plus pallié les dégâts d’un système (…) Lire la suite »

« L’école de la confiance » (1), c’est « la défiance du peuple »

Fabrice AUBERT
Facile : parfois, il faut le dire et le reconnaître : les « hommes du Capital », sont tellement surs d’eux, de leur puissance donné par la constitution, protégés par les « dark-vadors » de « l’ordre juste » et les médias associés, qu’ils utilisent des termes, dont l’intitulé même de leur projet de loi, permet de les massacrer sans avoir besoin de chercher les « détails de la loi ». Ainsi en est-il de ce bon ministre Blanquer, dont le projet de loi, qui vise « l’école de la République » s’intitule « Ecole de la confiance ». N’a-t-il donc rien appris à son « école bourgeoise » que les mots ont un sens précis, qui renvoient à des philosophies ? A-t-il à ce point été médiocre, au point d’oublier Rabelais « casser l’os pour trouver la moelle », car derrière les « mots » d’un ministre libéral, récitant la messe, se cachent les « maux » du capitalisme… Qu’est-ce qu’une école ? Dit ainsi, comme on l’a tellement vécu, que tout le monde sait ce qu’est une école… Mais non, on ne sait jamais (…) Lire la suite »
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